Si c'est un poisson d'avril, c'est un jour trop tard...
Je pense qu'il y a en effet fort à parier que cela en soit un.
C'est un texte assez répugnant.
Une fois n'est pas coutume, je suis d'accord avec Emissary

.... J'ajoute que je ne comprends pas pourquoi Onfray, par ailleurs souvent capable d'excellente vulgarisation philosophique, prend la peine d'écrire de la sorte contre un critique qui visiblement ne l'appréciait guère (et réciproquement). Il a cependant la "décence" de ne pas nommément dévoiler son identité. Mais enfin, tout de même, Onfray vaut mieux que cela. Je crains qu'une des pensées de Montaigne (qui disait en substance qu'"il ne se voit pas d'âmes qui, en vieillissant, ne sentent l'aigre et le moisi") n'ait déjà rattrapé notre "universitaire populaire."