Le documentaire sur
Werner Richard Heymann était assez intéressant, notamment sur les méthodes de travail de la
UFA avant la Seconde Guerre.
Par contre, je regrette que le travail du compositeur en Amérique ou encore sa relation professionnelle avec Ernst Lubitsch n'aient pas été abordés.
En tout cas, c'est toujours agréable de redécouvrir un compositeur qui a bossé sur plus de 80 films, dont certains furent d'immenses succès en leurs temps, et qui est aujourd'hui totalement oublié.
Et pour ceux qui, comme moi, ne connaissaient pas vraiment le compositeur, voici deux de ses plus grands tubes du cinéma :
Le Chemin du Paradis et
Le Capitaine Craddock.
Et outre les chansons, ses musiques de films ménagent aussi de bonnes choses, comme l'utilisation du jazz notamment. Un compositeur que j'aimerai pouvoir découvrir... même si cela restera un vœu pieux vu le peu d'éditions CD.