"Man Of Steel": bien fait mais assez ennuyeux à mon goût (l'age, sans doute ). Ça bouge beaucoup, ça pose beaucoup de questions, mais ça m'a laissé froid.
Erreur de ma part: j'ai regardé le film en VF; Superman a la même voix que lui
Revu aussi ce "Man of Steel" et cette fois-ci le film n'a pas supporté une seconde vision. La première partie qui m'avait emballée n'a plus autant de force iconique et la seconde est toujours ratée pour moi. Et la musique est extrêmement redondante.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
"Appartment 1303" : Le degrés zéro du film d'appart' hanté. Un remake totalement raté, qui ne fait absolument pas peur et qui donne envie de voir l'original japonnais à base de petite fille aux cheveux sales et mouillé. Ou pas ! à fuir... Ou alors faut être fétichiste des films avec Rebecca de Mornay dedans !
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
"Berberian Sound Studio" : Superbe ambiance "Giallesque" grande époque, dès le début on pense à Argento, un Toby Jones incroyable... La déception n'en est que plus grande. Le film débouche sur... rien. C'est bien beau d'instaurer une atmosphère géniale, encore faut-il raconter une histoire.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
La foire des ténèbres: le film est totalement déséquilibrée: sur 1h30, il y a 1h de mise en place. On sent les remaniements de fin de tournage dus aux désaccords entre Clayton et Bradburry (et Disney?), le jeu approximatif des acteurs (Jason Robards en tête qui part sauver son fils en marchant, les mains dans les poches...), mais n’empêche, il y a quand même un coté attachant à ce film qui reste mineur.
Misquamacus a écrit :"Berberian Sound Studio" : Superbe ambiance "Giallesque" grande époque, dès le début on pense à Argento, un Toby Jones incroyable... La déception n'en est que plus grande. Le film débouche sur... rien. C'est bien beau d'instaurer une atmosphère géniale, encore faut-il raconter une histoire.
Et bin, comparer ces deux films, faut quand même avoir des c... au cul !
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Après "Cube", "Cypher" et "Splice" (J'ai pas vu "Nothing"), Vincenzo Natali se lance dans le film de fantôme. De facture assez classique, "Haunter" fait d'abord penser à "Un Jour sans fin", puis à "Les Autres" avant de bifurquer sur quelque chose de différent, intrigant et enfin original. On se laisse bien prendre par l'histoire. Abigael Breslin qui n'en fini plus de grandir livre une belle prestation.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
"Red 2" Fun et sympathique. Les acteurs s'amusent visiblement et nous avec ! Du niveau de l'opus 1 avec un casting d'enfer.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Ce n'est pas la première fois qu'un film est assimilé à la sainte Trinité de la fresque mafieuse (The Godfather, The Goodfellas et Once Upon a Time in America), et malgré les périls inhérents à de si grandiloquentes comparaisons, force est de reconnaître que l'on n'a pas toujours été déçu du voyage. Le génial Cidade de Deus de Fernando Meirelles et le choc traumatique de la saga Pusher, notamment, faisaient plus que soutenir l'intimidant regard des archi-classiques suscités. En provenance directe de Bollywwod, Gangs of Wasseypur, qui a eu droit à la même tambouille critique lors de son passage cannois l'an dernier, n'est pas tout à fait de cette trempe-là. Le simple fait que sa durée mastoc de cinq heures ne provoque aucun baillement d'ennui atteste pourtant de sacrées qualités, dont les moindres ne sont pas une temporalité gérée de main de maître (le récit se déroule sur plusieurs générations) et un humour nous gratifiant toujours au moment le plus judicieux de quelques gouttes salvatrices. N'empêche qu'il manque un je-ne-sais-quoi, la petite étincelle de folie qui aurait permis à Gangs of Wasseypur de totalement s'embraser. En l'état, le film, "seulement" excellent, reste hautement recommandable auprès des amateurs de gangsters bur(i)nés et de règlements de compte pétaradants.
La guerre selon Charlie Wilson: Du bon boulot de la part de Mike Nichols. Le film va droit au but, pas de fioriture, la ligne est claire, bref, le bonhomme connait bien son boulot. Tom Hanks, parfait comme à son habitude.
Particulièrement intéressant pour connaitre le comment du pourquoi de ce qui a donné le 11-11. Un film qu'on regarde en navigant sur le net pour avoir plus d'info sur telle ou telle personne.
Deux reproches, cependant: la fin est un peu bâclée et que Julia Roberts est laide dans ce film!!!
Le Hobbit, version longue. 15 minutes de scènes supplémentaires qui, contrairement à celles du LOTR, n'apportent strictement rien de plus au film initial. De quoi un peu grincer des dents. Heureusement, les bonus relèvent le niveau.
Ra la la, BAF... Quand même: on a maintenant une origine nettement plus nuancée de l'origine de l'inimitié Elfes/nains, une mise en perspective de toute son aventure par Bilbo au début de film, une justification visuelle de l'impression que Bilbo a fait à Gandalf encore lardon, et une chanson du roi des Gobelins qui pousse assez loin l'audace narrative et transforme Gobelinville en cabaret grotesque. Même si effectivement la scène "n'apporte rien", c'est un sacré moment de délire cinématographique, qui nous rappelle que Jackson est aussi le génie derrière Meet the Feebles. D'ailleurs j'aurai assez aimé qu'il pousse jusqu'au suicide commercial sa démarche et nous fasse un Hobbit entièrement musical et chanté.
"Le cinéma, c'est comme l'amour, quand c'est bien fait, c'est merveilleux, quand c'est mal fait, c'est un petit peu merveilleux aussi." S.Donen
Pierrebrrr a écrit :qui nous rappelle que Jackson est aussi le génie derrière Meet the Feebles.
Oh, à propos mon cher Peter, c'est pour quand ce Bad Taste 2 que tu nous as fait miroiter à maintes reprises ces dernières années, hein ? Nan, mais rassure-toi, j'déconne, là. Personne n'irait échanger son baril de hobbits aux gros orteils contre dix barils d'aliens à la tronche de pneu et aux vomissures fécondes...
Pierrebrrr a écrit :Ra la la, BAF... Quand même: on a maintenant une origine nettement plus nuancée de l'origine de l'inimitié Elfes/nains, une mise en perspective de toute son aventure par Bilbo au début de film, une justification visuelle de l'impression que Bilbo a fait à Gandalf encore lardon, et une chanson du roi des Gobelins qui pousse assez loin l'audace narrative et transforme Gobelinville en cabaret grotesque. Même si effectivement la scène "n'apporte rien", c'est un sacré moment de délire cinématographique, qui nous rappelle que Jackson est aussi le génie derrière Meet the Feebles. D'ailleurs j'aurai assez aimé qu'il pousse jusqu'au suicide commercial sa démarche et nous fasse un Hobbit entièrement musical et chanté.
Moi j'aurais préféré une présentation plus détaillée des nains. J'en suis encore à essayer d'associer les noms avec les visages. Je trouve d'ailleurs que certains ne sont là que pour faire de la figuration. Mais bon, c'était déjà pas simple avec une communauté de neuf personnes, alors 14... Le pire dans cette histoire, c'est qu'il faut vraiment regarder les bonus pour avoir des renseignements sur les nains, leurs liens de parenté..., chose qui n'est absolument pas faite dans le film en lui-même.
Black Sunday (1977)
Film un peu longuet, mais avez une finale assez soutenue (merci à la musique de John Williams), quoique techniquement dépassée.
Goodbye, Mr. Chips (1969)
Superbe film dont j'ignorais l'existence jusqu'à tout récemment, avec John Williams au générique... Moi qui ne suis pas particulièrement fan de comédies musicales, celle-là est assez émouvante et m'a tiré quelques larmes...
12 ans d'age avec Patrick Chesnais et François Berleand. ( Deux copains fraichement retraités font les 400 coups)
Poussif passé les 5 premières minutes (et encore). On attend en vain un sursaut qui pourrait faire que le film soit attachant....
Bref passez votre chemin....
Dredd : Prenez The Raid, ajoutez-y une pincée de Punisher War Zone, et de Robocop, et vous obtenez ce film ni original, ni convaincant avec un Karl Urban qui fait des efforts surhumains pour tirer une tronche de cent pieds de long.
Essentiellement cité pour ses collaborations avec nos gros bras préférés (The Lock Up et surtout Out for Justice, le meilleur film du dalaï-lama au catogan Steven Seagal), John Flynn a méthodiquement charpenté une carrière exemplaire à bien des égards dans la série B. Wild Side, grâce à sa collection de grand luxe Classics Confidential, a la riche idée de nous en faire goûter aujourd'hui un beau morceau. L'intérêt est même double, puisque The Outfit (Echec à l'Organisation), polar autant dégraissé de toute matière superfétatoire que ne le sont les bouquins de Richard Stark dont il s'inspire, balaye d'un seul revers le fâcheux souvenir de Jason Statham (dés)incarnant Parker. Ici, le héros fétiche du romancier, rebaptisé Macklin pour l'occasion, trouve en Robert Duvall un interprète de choix, subtilement monolithique. Et les rouages de la mécanique supervisée par Flynn tournent et s'emboîtent les uns dans les autres avec une efficacité toute seventies.
"Aux deux colombes" de Sacha Guitry. Du théâtre filmé un peu longuet (1h27) et une fin un tantinet bâclée comme souvent chez Guitry, mais les bons mots fusent et font toujours mouche presque 65 ans plus tard. Et Pauline Carton toujours excellente au second plan.
"Les femmes ont bien de la chance de vivre avec des hommes".....
Le Territoire des Ombres (La Herencia Valdemar). Une première partie plus ou moins réussie, grâce à une ambiance et une photographie maîtrisée. Malheureusement la deuxième partie détruit tous les efforts accomplis, la faute à des acteurs peu investis, une intrigue brouillonne dont certaines péripéties tombent comme un cheveu sur la soupe, et des effets spéciaux plus digne d'une PS3 que d'un film de cinéma. Certes, il y a plus honteux, mais on nous vend ces deux films comme "la meilleure adaptation de l'oeuvre de Lovecraft"... Ben désolé, je préfère de loin Dagon, Alien ou encore the Thing.