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Comme toujours lorsque Delerue composait pour une romance, les mélodies sont belles à pleurer, et la pureté des sentiments qui nimbe la partition toute entière d’une aura lumineuse ne lasse jamais malgré un aspect ici un peu répétitif. Que voulez-vous, au jeu de l’amour, Delerue est un prince rarement égalé, y compris depuis sa disparition.
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On connaît sur le bout des doigts les ficelles du grand Delerue et pourtant… Entre douce tendresse quelque peu champêtre et mélancolie insondable, cette musique qui trouve parfaitement sa place dans son style à l’époque (on pense à Agnes Of God ou Steel Magnolias) coule de source et ne peut qu’émouvoir tant elle vient du cœur.
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Delerue lyrique, émotif, écorché parfois : irrésistible pour qui aime par dessus tout, comme moi, cette veine déchirante et presque mélodramatique du compositeur.
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Une bluette mélodramatique certes, mais une bluette par Delerue. Alors on ferme les yeux, on s’imagine jeune et beau et on respire bien. On se retrouvera dans quelques années…
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Comme je le dis souvent, Delerue c’est de la grosse balle. Wesh. Mais là, c’est très joli. Ensuite c’est très joli encore. Juste après aussi. Et ainsi de suite. Bref, au final, on s’emmerde un peu. Ça manque un peu de sel tout ça.
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