On peut se laisser contaminer par les pièces d’action solides ou par le contagieux thème romantique qui y fait plusieurs belles apparitions, mais les morceaux qui font excessivement appel à un renfort électronique sont basiques et sans grand intérêt.
Du piano, des cordes au romantisme fatigué entre deux coups d’archets tendus, une touche d’électro façon Thomas Newman, encore un boulot bien propret mais d’une lassante banalité.
Tiens, des ambiances intéressantes dans lesquelles il se passe des choses, musicalement parlant ! Oh un joli thème ! On croirait parfois entendre du Roque Baños, mais non. Ah, de l’électronique moche… Et merde…