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Cette partition monothématique toute en demi-teintes, guidée par une harpe omniprésente, fait preuve d’une sensibilité à fleur de peau. La délicatesse extrême de l’ensemble ira droit au cœur des fans de la douce Rachel. |
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Une partition où la sensibilité bien connue de Portman fait des merveilles au travers notamment de la simplicité des mélodies et d’une luminosité des timbres (celui de la harpe notamment, omniprésente) qui ravit l’oreille. |
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La quintessence de Portman : une musique qui se passe totalement du film pour déployer ses propres images, où la harpe évoque le ruissellement des pluies d’octobre, la guitare le claquement des tuiles soulevées par le vent. |
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De très belles mélodies qui donnent l’impression d’être coincé dans un album photos. Un album sépia qui n’est certes pas le plus original de Portman, mais reste d’une qualité irréprochable. |
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Un score simple, très beau, doux, à l’image des compositions de Portman. Ça pourrait être un score de film indé de plus, avec orchestre, piano et guitare. Mais le talent est là, indéniablement, et nous enchante. |
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Certes, Portman ne révolutionne en rien son style, mais entendre de nos jours un score si délicat, sublime de simplicité et de beauté, mélodieux sans sombrer dans le pathos ou le cliché, relève de la gageure. Chapeau bas ! |