 |
Aussi inspiré, subtil et résolument moderne que le très beau film de Luc Besson. Nan, je rigole : c’est plat, grossier et bardé de samples qui semblent provenir des 80’s. Bref, pas de (bonne) surprise : le tandem Serra/Besson a encore frappé.  |
 |
Quelques passages orchestraux assez plaisants. Dommage que l’ensemble soit vite plombé par une électro de la plus triste banalité, voire un peu ringarde.  |
 |
Par moment, un développement jazzy ou une envolée de cordes très mélodique accrochent l’oreille, mais sinon, c’est du thriller électro-percussif générique. Et on se demande si Serra, coincé avec Besson, a vraiment envie d’écrire tout ça.  |
 |
Hahahahahahahahahahahahahaha ! Qu’il est con ce Serra ! Ce n’est pas une blague ? Ah merde… Bon bah du coup, hop : Bouze of the month.  |
 |
Serra sera et restera Serra : il compose comme dans les années 90, et cette Lucy poétique s’en trouve illustrée de quelques moments de grâce et de quelques autres assez laids.  |
 |
Résumé de ce qui se passe dans mes neurones lors de l’écoute de ce truc : ……………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………  |
 |
Dès le début, on cherche les dauphins. Comment ça, ce n’est pas Le Grand Bleu ? Bah non, c’est la belle blonde ! Blagues à part, on reconnaît sans peine le style du compositeur, entre auto-pastiche et sound design, pour un résultat efficace.  |