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Un score joli mais un peu mièvre, bien écrit, comme toujours chez Ross, et qui offre une écoute plutôt agréable, mais dont on retient peu de choses, si ce n’est que c’est joli mais un peu mièvre. Pas de quoi se relever la nuit, donc.  |
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Ambiance feutrée et tendre ? Guitare sèche et piano, what else ! C’est tellement professionnel qu’on pourra trouver ce score subtil et délicatement émouvant, ou ennuyeux, sans âme et cousu de fil blanc, ce qui est mon cas.  |
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Ce serait être de mauvaise foi que de mettre en dessous. Mais bon sang, qu’est ce que je me suis ennuyé… En même temps ce n’est pas de sa faute au père Ross, il fait avec ce qu’on lui met devant les yeux.  |
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Alors là, sortez les serpillières : Ross a décidé de faire du marouflage larmoyant. C’est tellement cucul la praline que ça donne envie de tuer.  |
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Pour cette bluette anodine, Ross construit son score sur les cordes, les bois, le piano et la guitare. Lorgnant, parfois de façon éhontée vers Horner et Thomas Newman, ce score très professionnel pêche hélas par ces décalques du temp track.  |