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Une partition gothique et malicieuse où Shaiman fait du Elfman avec la verve et l’humour qui caractérise aussi ses musiques de comédie. L’album d’époque était fort bien produit, et les ajouts sont donc anecdotiques. Mais quel score ! |
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Trop souvent réduite à tort à ses influences, cette partition haute en couleurs fait au contraire montre d’un romantisme nocturne, d’une truculence, d’un panache, bref d’une verve qui n’appartient bel et bien qu’à son jovial auteur. |
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Un score qui remplit parfaitement son rôle, avec aussi peu de vraie folie spontanée que le film, qui décalquait le cinéma de Burton. Shaiman se coule logiquement dans le moule d’Elfman. Plaisant, mais loin du chef-d’œuvre méconnu. |
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Petit chef-d’œuvre souvent oublié et injustement comparé à un Elfman mineur qu’on retrouve ici dans son plus bel écrin. Un album que j’attendais depuis longtemps. Toute la magie du score est intacte après toutes ces années. |
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Pour moi, c’est un classique absolu de la musique gothique aux influences diverses telles que le jazz tzigane. Ce qu’à fait Shaiman alors qu’on lui demandait du « Elfman-like » est juste impressionnant. Mamushka ! |
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S’il n’utilise quasiment pas la mélodie mythique de Vic Mizzy, Shaiman pastiche le style d’alors de Danny Elfman. Lyrique et romantique, le score repose sur trois thèmes principaux que Shaiman varie tout du long. Mamushka ! |