|
Quelques passages vraiment réussis se retrouvent noyés dans une masse étouffante de clichés déjà mille fois entendus, la faute à un album trop long. Mais on décèle cependant chez le compositeur un potentiel qu’on espère voir éclore dans le futur. |
|
Il y a un peu à boire et à manger dans cette bande-son, l’intérêt est donc inégal selon l’esprit adopté, mais on doit reconnaître à Gesqua un vrai désir d’offrir quelque chose de plus excitant qu’un simple fond sonore. |
|
L’horreur peut être l’un des genres les plus forts, quand les scores sont habités et cherchent des émotions au-delà du coup de cordes coupe-gorge. Ambitieux, Gesqua nous raconte une histoire horrible, oui, mais aussi lyrique, tordue et envoûtante… |
|
La note est plus basse que prévue, la faute à un album troooooop long. Du coup, tout ce qui est intéressant dans le disque se retrouve noyé dans le médiocre. Dommage. |
|
Certes exécuté avec des moyens limités, Aux Yeux des Vivants se montre parfois original et se fait remarquer par quelques trouvailles sympathiques. |
|
En mai, giboulées de scores horrifiques à forte tendance ambiant. On commence avec un score frenchie très bien fait, mais pas forcément très agréable à écouter. Les passages au violoncelle et chœur vous réveilleront à point nommé. |
|
Un sifflement (émis par le compositeur lui-même) et des samples imitant divers instruments de l’orchestre pour aboutir à un ensemble satisfaisant, mais où la prédominance du sound design pourra laisser dubitatif… |