Trente ans plus tard, la flamboyante partition de Broughton n’a rien perdu de sa fraîcheur. Une véritable liqueur de jouvence pour ceux qui l’ont découverte à l’époque, et une révélation majeure pour les autres. Indispensable pour tout le monde ! |
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Rien de moins que l’une des plus entreprenantes et élégantes partitions de mystère et d’aventure, enfin à la portée de toutes les bourses. Faut-il être à ce point insensible au style pourtant admirable de Broughton pour ne pas y succomber ? |
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Un pur classique de la musique de film, l’exacte image musicale de tout ce que nous aimons des années 80. Et que nous pensons désormais perdu… On peut aujourd’hui la réentendre, intacte, dans cet irréprochable coffret, magnifié du parfum empoisonné de la nostalgie. |
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« Il faut vraiment que je donne mon avis ? » « Ben oui, si je ne te paye pas, c’est pour une raison » « Ok » Hum…. CHEF-D’ŒUVRE. Voilà. Et bravo pour le livret permettant de lire une belle interview du grand Broughton. |
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Et on raye de nouveau un titre de la liste des Graals injustement boudés par les éditeurs. Le chef-d’œuvre de Broughton, rien de moins, un fleuron orchestral typique de la musique de film des années 80. |
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Imaginez donc, un « Sherlock Begins » martelé ad nauseam par les ostinati façon Zimmer ! Dieu merci, la besogne est revenue à un Broughton sous haute influence de Williams. Trente ans après, le résultat demeure l’un des plus somptueux archétypes du symphonique 80’s. |
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C’est LE score de Broughton pour toute la génération qui a grandi avec les productions Spielberg. Un must servi dans un écrin exceptionnel. Lire la chronique |