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La danse des molécules de l’amour, c’est sûrement autre chose que ces zigzags jazzy sans substance qui semblent tombés de la plume d’un sous-Rolfe Kent. Difficile donc de tomber amoureux de cette musique. En ce qui me concerne, l’alchimie ne prend pas.
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C’est dans ses bulles les plus agréablement jazzy et sixties que cette musique rafraîchit le mieux. Mais le pétillant s’évapore malheureusement beaucoup trop vite.
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Bien sûr, il y a là tout l’attirail de la comédie indé, mais l’ensemble est varié, pétillant, vraiment agréable à écouter. Dans 30 ans, ce genre de score aura peut-être les mêmes auditeurs nostalgiques indulgents que les comédies italiennes des 60’s et 70’s ont aujourd’hui ?
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L’ambiance latin jazz n’étant déjà pas ma tasse de thé, lorsqu’en plus de ça, ça n’apporte rien d’original, je m’ennuie très vite. Mais ne vous y trompez pas, c’est un album qui reste très écoutable. Parfait pour une soirée bobo-hype. Pas terrible à vélo.
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À comédie romantique gentiment décalée, score détendu et un brin loufoque sur les bords. De quoi bien commencer une journée de travail (ou de glande).
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Bienvenue dans l’énième musique de comédie ricaine qui ressemble à toutes les autres sans exception. Et vous ne devinerez jamais : les deux compositeurs ont choisi de lui donner un ton jazzy, un peu de guitare et compagnie. Vous y croyez, vous ?
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