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Une partition de thriller hitchcockien construite autour d’un concerto pour piano qui, si elle tient avant tout du pastiche, est aussi romantique, dramatique, intense et flamboyante. Une magnifique découverte, et l’un des indispensables du mois !  |
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Rien à redire sur le fond, le contrat est parfaitement rempli avec un vrai/faux concerto comme moteur du récit. Seule ombre sur la forme : si le langage pianistique séduit, l’accompagnement orchestral ne cache pas une nature un peu trop fruste.  |
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Un beau score, parfaitement académique, puisqu’il s’agit ni plus ni moins que d’un concerto pour piano des plus classiques, adapté aux contraintes de l’écran, avec talent et mordant. Pas plus ? Pas moins !  |
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Je n’avais jamais entendu parler de Victor Reyes (honte à moi sûrement) mais quelle claque ! L’un des gros coups de cœur du mois. Chef-d’œuvre instantané ! Rhaaaaaaaa ce thème…  |
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Quand la forme classique tutoie le récit cinématographique, les courants musicaux que certains voudraient antagonistes se nourrissent mutuellement. Brillant.  |
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Si vous écoutez ça juste après un Junkie XL, vous risquez direct la crise de tétanie. Le torrent continu de notes, de mélodies, d’accords en voie de disparition, sous forme d’un concerto pour piano, devient très dangereux pour la santé.  |
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Voilà un pari gonflé que cet ample concerto, si loin des modes évanescentes. Et si elle n’avait été lestée d’épaisses orchestrations jaillies tout droit, hélas, de notre morne époque, l’œuvre aurait pu prétendre au statut de vrai incontournable.  |
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Même si Reyes s’en sort très honorablement, proposant un score orchestral ample et bien construit, l’ensemble manque peut-être de nuances, de légèreté dans l’écriture, pour totalement emporter l’adhésion.  |