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Ça commence par de l’atmosphérique chiant. Puis apparaît un thème (sympa) un peu plus dynamique (mais juste un peu) qui se dilue vite en minimalisme chiant. Quand au reste de l’album, c’est essentiellement de l’ambient chiant. En synthèse, donc, c’est chiant…  |
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N’aurait-il pas été avisé de s’appuyer clairement sur les sonorités de métallophones à peine esquissées ici plutôt que de s’en tenir à ces tristes accords de guitares et cet électro pépère bien terne qui, à force de trop planer, finit pas se crasher ?  |
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Comme souvent, le CD est trop long, mais ce score électro à l’ambiance assez prenante, grâce à un joli thème, dépasse d’un cheveu ses innombrables concurrents. Pour les accros curieux aux scores planants, le détour peut s’avérer plaisant.  |
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De l’ambiance, de l’électronique, du djeunisme eeeeeeeeet rien de nouveau sous le soleil. Ni désagréable à écouter ni mal foutu, simplement d’un ennui mortel au bout de trois pistes.  |
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Un score électro assez modeste, mais avec des idées dévoilant ses humeurs au fil de l’écoute. On aurait juste aimé plus de relief et de développement. Paradoxalement cohérent mais inachevé.  |
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Essentiellement électro-accoustique, parfois rejoint par un gamelan indonésien, le score de After The Dark délivre pour ce récit post-apocalyptique juste ce qu’il faut d’effets tantôt planants, tantôt angoissants. Une très agréable surprise.  |