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Tyler offre un chouette canevas thématique, mais dirige son orchestre à coups de Mjölnir, fracassant tout à grand renfort de cuivres, de percussions et d’un chœur massif. Tout en finesse donc (avec du poil de Viking autour).  |
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« Tiens Brian, voilà le cahier des charges, que de l’habituel : gros son, chœur et orchestre, la totale, tout ça quoi, fais-toi plaisir… » « Pardon ? Boum-boum ? » « Ouais, c’est ça : boum-boum… »  |
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Le thème est aussi entraînant qu’une chanson à boire viking, répété aussi souvent qu’à un banquet de retour de pillage, et aussi subtil qu’un coup de hache en pleine face. Le meilleur de Tyler : lourdeur pachydermique et héroïsme bien pompier.  |
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Histoire de marteau oblige, Tyler sort sa grosse caisse à outils et démolit les cloisons à grands coups de masse. Si l’ampleur des travaux ne vous rebute pas…  |
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Tyler, c’est tout l’un ou tout l’autre. Soit on se tape de la soupe RC, soit il se décarcasse et nous pond un score bourrin orchestral sympa. De quoi éjecter de nos tristes mémoires le raté de Doyle. Bon après, ça passe le temps, mais de là à le réécouter…  |
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Comment Tyler pouvait servir le fils d’Odin, sinon en bourrinant sévère ? Cette remuante fantasy, qui en a dans ses braies de cuir, ne serait pas désagréable si le compositeur, comme d’hab’, ne la martelait pas jusqu’à perdre haleine.  |
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C’est bourrin, pas vraiment original mais Tyler est un malin, même s’il est capable d’enfiler une douzaine de mesures insipides, il convoque assez souvent son thème principal pour relancer l’auditoire. Sans doute un de ses meilleurs scores.  |