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Une volonté évidente de donner dans l’épopée épique rend l’entreprise éminemment sympathique. Mais l’abus de mickey mousing et une utilisation excessive du thème principal contribuent à rendre l’écoute un peu longuette. Dommage.  |
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S’il apparaît d’abord robuste comme il faut, l’effort symphonique s’essouffle néanmoins sur la longueur faute de ménager les respirations adéquates pour faire valoir favorablement ses arguments.  |
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Belle surprise que ce score brandissant haut le glaive de la fantasy antique, tout juste assaisonnée à la sauce d’aujourd’hui. Symphonique, romantique, exaltant… Une de ces pépites dont le petit monde béophile peut assurer la postérité…  |
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De belles orchestrations symphoniques, un sens de l’aventure et de la fantasy qui se dégage de chaque instant, c’est tout ce que j’aime. Étonnant ces petites prods qui font preuve de beaucoup plus d’imagination musicale que les majors…  |
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« Petit » score orchestral méritant, sa générosité ne frise néanmoins pas le génie.  |
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Le gros problème de cette fantasy 100% viande rouge, qui bourrine avec un entrain certain, c’est qu’elle débarque en même temps que le dantesque Lair dans les rayonnages. Et au petit jeu de la comparaison…  |
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Une écriture symphonique traditionnelle fortement influencée par le Elfman des années 90. Forcément, Bateman vient d’orchestrer pour Danny sur Mr. Peabody & Sherman, dont il a signé la musique additionnelle.  |