Loin de la fusion Bernstein/rock du film de 1981, ce score électronique multiplie les ambiances pour mieux servir la diversité des univers présentés dans la série. Intriguant et varié, à défaut de s’avérer totalement convaincant.
Tout électronique, le score de Kyd a tout pour agacer. Pourtant, la nature anthologique de la série spatiale illustrée permet au compositeur de nous balader d’un genre à l’autre et, revenu sur terre, on en garde pas un souvenir désagréable.
Un score de série varié qui réserve de belles surprises. Entre modernité et accents 80’s, le Kyd nous fait vivre ces chroniques musicalement agréables et loin d’être fauchées.