Sondage : John Williams (1970-1979)
Publié : ven. 20 mars 2009 10:03
				
				Fini de batifoler dans les swinging sixties ! Passons au choses sérieuses, avec la première grande décennie de John Williams.
			
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  Comme le temps passe...
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 "franchise" ?BigJ. a écrit :sur 3 licences importantes (anglicisme, mais je ne me souvviens plus de l'équivalent français)
 Mais je te rassure, j'emploie aussi, et quasiment uniquement d'ailleurs, le terme de "licence".
 Mais je te rassure, j'emploie aussi, et quasiment uniquement d'ailleurs, le terme de "licence". 
 
 

 
  
Mais de rien !Edern a écrit :Que rajouter ? Shardar a fait tout le boulot pour moi
Merci !

"Franchise"!DarkCat a écrit :"franchise" ?BigJ. a écrit :sur 3 licences importantes (anglicisme, mais je ne me souvviens plus de l'équivalent français)Mais je te rassure, j'emploie aussi, et quasiment uniquement d'ailleurs, le terme de "licence".

Ah bon? J'ai pourtant lu que Yamashta a improvisé sur/à la suite des compositions de Williams.Gordon Pym a écrit : Mais Stomu Yamash'ta n'a rien cosigné, tout y est composé par Williams.

 ! Ma partition préférée chez Williams, tous corpus confondus ! Et de très loin encore ! Et c'est pas près de changer, tant cette musique, céleste, demeure proprement magique
 ! Ma partition préférée chez Williams, tous corpus confondus ! Et de très loin encore ! Et c'est pas près de changer, tant cette musique, céleste, demeure proprement magique  ! Cette œuvre est une sorte de somme de tous les courants de la musique du XXème siècle, de l’impressionnisme à la musique spectrale (ne serait-ce que par réminiscences esthétiques), en passant par le post-romantisme (passionné comme jamais dans la dernière partie de ce final complètement fou) et l’atonalité, le tout vampirisé par la personnalité et l’inspiration, ici divine, de Williams.
 ! Cette œuvre est une sorte de somme de tous les courants de la musique du XXème siècle, de l’impressionnisme à la musique spectrale (ne serait-ce que par réminiscences esthétiques), en passant par le post-romantisme (passionné comme jamais dans la dernière partie de ce final complètement fou) et l’atonalité, le tout vampirisé par la personnalité et l’inspiration, ici divine, de Williams.  ).
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  .Si si j'insiste, même ta remarque au sujet de la première partie du score de Superman me correspond tout à faitShardar a écrit : Mais de rien !

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