John Rambo
Publié : mer. 31 déc. 2008 02:05
Exploration de titres récents en blu-ray....
je ne sais pas si beaucoup d'entre vous apprécient des films comme JOHN RAMBO mais j'étais surpris de voir comment Sly Stallone était capable d'utiliser son icône populaire (après ROCKY BALBOA), de la transporter vers un univers bien différent de la série B / BD dans laquelle il nous avait laissé 20 ans auparavant (affligeant RAMBO III)...Nous confronter à la brutalité la plus cruelle, à une réalité politique (le ministre des affaires étrangères français, Bernard Kouchner, le héros de l'ingérence humanitaire, est l'auteur d'un rapport favorable sur le rôle de Total en Birmanie - et admet publiquement aujourd'hui que les Droits de l'Homme - comble du comble - ne servent à rien), à une forme de naïveté dramatique, à une confrontation entre l'idéalisme humaniste chrétien et la brutalité d'une dictature militaire abominable afin de mettre un terme à la signification de son personnage, de le lier à une forme de réalité...d'une perception du monde
Certes, RAMBO n'est pas un essai approfondi sur la diplomatie ou la géopolitique, mais il y a dans ce film quelque chose sur la mythologie du guerrier, sur la conscience
et ma foi, à choisir entre un discours hypocrite sur la paix dans le monde et une fiction sur ce qu'est la cruauté primaire et la conscience populaire de cette cruauté...............Il y a des étapes que le spectacle populaire peut nous faire passer, non ?
enfin, le rôle de BrianTyler après Jerry Goldsmith....c'est le rôle de l'instinct sans sophistication, sans culture....chaque fois que Jerry Goldsmith est cité, l'émotion apparaît...
je ne sais pas si beaucoup d'entre vous apprécient des films comme JOHN RAMBO mais j'étais surpris de voir comment Sly Stallone était capable d'utiliser son icône populaire (après ROCKY BALBOA), de la transporter vers un univers bien différent de la série B / BD dans laquelle il nous avait laissé 20 ans auparavant (affligeant RAMBO III)...Nous confronter à la brutalité la plus cruelle, à une réalité politique (le ministre des affaires étrangères français, Bernard Kouchner, le héros de l'ingérence humanitaire, est l'auteur d'un rapport favorable sur le rôle de Total en Birmanie - et admet publiquement aujourd'hui que les Droits de l'Homme - comble du comble - ne servent à rien), à une forme de naïveté dramatique, à une confrontation entre l'idéalisme humaniste chrétien et la brutalité d'une dictature militaire abominable afin de mettre un terme à la signification de son personnage, de le lier à une forme de réalité...d'une perception du monde
Certes, RAMBO n'est pas un essai approfondi sur la diplomatie ou la géopolitique, mais il y a dans ce film quelque chose sur la mythologie du guerrier, sur la conscience
et ma foi, à choisir entre un discours hypocrite sur la paix dans le monde et une fiction sur ce qu'est la cruauté primaire et la conscience populaire de cette cruauté...............Il y a des étapes que le spectacle populaire peut nous faire passer, non ?
enfin, le rôle de BrianTyler après Jerry Goldsmith....c'est le rôle de l'instinct sans sophistication, sans culture....chaque fois que Jerry Goldsmith est cité, l'émotion apparaît...