La fin est abrupte, mais je pense qu'ils ont du couper toute la partie où Enola découvre qui est réellement sa mère — d'ailleurs j'ai trouvé ça plutôt malin d'aborder le sujet sans vraiment l'aborder, c'est une bonne porte d'entrée pour découvrir ce pan de l'histoire…

Et Netflix qui met son nom devant tous les films et les séries, c'est un grand classique. Ils ne se gênent pas.

On me dit tellement de bien de Pemberton que je veux, je DOIS en écouter quelques uns.
Que conseillez-vous d'excellent de lui, sans synthétique proéminent ?

La question est plutôt, quel Pemberton ne pas écouter?
Si tu veux du symphonique, tu peux essayer The Awakening, mais je te conseille également All The Money In The World, The Counselor, Mark Felt, The Game, bref tout ce que le bonhomme fait. en fait.

Merci pour toutes ces recommandations, les gars !

Ne reste plus qu'à les trouver et les écouter.

Varese va édité The Trial of the Chicago 7. Je ne connais pas et pas d'extraits à écouter

L'album est sorti en numérique ce matin et c'est une partition très énergique qui passe d'un ton presque comique — pas très loin du score pour le film précédent de Sorkin — à des choses plus sombres comme cet extrait :

J'aime beaucoup, comme d'habitude, même s'il se retrouve à devoir faire de la musique un peu plus classique par instant (la fin est clichée au possible).

"The Trial of the Chicago 7" Mine de rien Pemberton devient quasiment le compositeur attitré des productions Netflix. Et franchement, vu le boulot fourni, ce n'est pas pour me déplaire ! Encore une BO réussie avec de supers morceaux de bravoure - "Take the Hill", quel punch ! - Attention cependant Danny boy. Ne va pas te crever à la tâche.

Je me suis acheté mon premier Daniel Pemberton The Man from Uncle, après avoir vu le dvd. Musique sublime, qui rappelle les James Bond de Barry, seul bémol : pas de reprise du thème de Goldsmith, on se demande bien pourquoi.
Dans la BO, des chanteurs italiens des sixties que je connaissais déjà : Luigi Tenco et Peppino Gagliardi.
J'espère découvrir d'autres Pemberton à l'avenir.

Sans oublier une inspiration morriconienne assez évidente sur certains morceaux ! Très chouette album en effet ! Si tu découvres seulement Pemberton alors tu es bien chanceux car pas mal de bonnes surprises t'attendent, c'est un compositeur rarement pris en défaut.

Un nouvel opus de Pemberton pour Disney + mais j'ignore s'il y a un cd à a clé :

Il y a un album en digital, je ne sais pas pour le CD.

Pour une série documentaire je ne vois pas trop qui pourrait sortir ça en CD. Peut-être Intrada ?
J'ai écouté les extraits sur Amazon et c'est pas du tout ma tasse de thé. On dirait un mélange entre du bruitage et du New Age.
J'ai vu qu'il était sur Spider-Man: Across the Spider-Verse, un film d'animation en deux parties. C'est encore en post production et devrait sortir en 2022. A moins que ça passe directement sur une chaine ou en VOD. Par les temps qui courent on ne sait plus trop.

En écoute de "The Bad Guys". Encore une fois avec Pemby c'est très énergique, bourré d'idées et toujours ce sens aigu des percussions. Un score hyper fun qui n'est hélas pas prévu en CD....

... Et c'est bien dommage parce qu’effectivement, c'est vachement bien ! Une selection des thèmes sur une galette serait vraiment bienvenue. (En l'état, c'est juste un poil trop long)

Un score de The Bad Guys que j'ai pris plaisir à écouter, seulement j'aurais bien aimé que la musique évolue plus à mesure que les personnages évoluent. On a une petite amorce sur les pistes "Who Said It Was The End" et "Redemption" justement. Mais dans l'ensemble çà reste bien avec un Daniel Pemberton toujours aussi généreux musicalement.

Vu le film ce soir "The Bad Guy" et la musique, que j'avais beaucoup aimé en écoute seule, fonctionne du tonnerre !

Pemberton is back sur un polar qui s'annonce tout simplement savoureux, avec un casting de ouf' ! Comme d'habitude, le compositeur est extrêmement versatile et aligne les extraits comme on enfile des perles différentes sur un même collier. Entre jazz, suspens, comédie, et une utilisation des rythmes vraiment épatante. Hâte d'entendre ça sur les images.

Pitié l'ami, de ce côté de l'atlantique "versatile" ne veut pas dire "polyvalent". Si tu ne le fais pas pour la langue, fais-le pour moi (et en l’occurrence pour Pemberton) ! A part ça, c'est vrai, il sait épouser différents styles et partage ce talent avec pas mal d'autres "jeunes" compositeurs, je trouve.

Ouais, éclectique, quoi

Dadid a écrit : ↑dim. 18 sept. 2022 11:58 Si tu ne le fais pas pour la langue, fais-le pour moi.

Non. Je refuse. Na.

Misquamacus a écrit : ↑dim. 18 sept. 2022 18:13

Dadid a écrit : ↑dim. 18 sept. 2022 11:58 Si tu ne le fais pas pour la langue, fais-le pour moi.

Non. Je refuse. Na.

"Okay, Grand Sachem. Soumettons sur l'heure tes réticences à un autre type d'argument."

Toujours pas. Même pas peur. Walou. Macache. Que tchi. Nibe !

Le sorcier indien n'est sensible ni aux caresses ni aux menaces.

Le Yéti a écrit : ↑ven. 16 oct. 2020 09:40 L'album est sorti en numérique ce matin et c'est une partition très énergique qui passe d'un ton presque comique — pas très loin du score pour le film précédent de Sorkin — à des choses plus sombres comme cet extrait :

J'aime beaucoup, comme d'habitude, même s'il se retrouve à devoir faire de la musique un peu plus classique par instant (la fin est clichée au possible).

Plutôt sympa... par contre je trouve juste un peu dommage que tous les compositeurs cèdent à la structure Zimmerienne qui consiste à répéter des progressions d'accords de plus en plus fort et avec de plus en plus d'instrumentations. C'est un peu la facilité...

Maaza a écrit : ↑dim. 18 sept. 2022 22:12 qui consiste à répéter des progressions d'accords de plus en plus fort et avec de plus en plus d'instrumentations.

C'est la description du Boléro de Ravel là

L'ami Dan nous revient avec Enola Holmes 2, très très bon. Si vous avez aimé la musique du premier film, celle-ci vous plaira sans l'ombre d'une hésitation. Il arrive à passer à la vitesse supérieure, ajouter de la profondeur et de l'ampleur, tout en conservant la fraîcheur apportée au genre. S'ils refont d'autres films, qu'ils ne songent surtout pas à changer de compositeur, Pemby a maintenant un univers musical bien identifié sur les Holmes. Les thèmes du précédent reviennent, de nouveaux apparaissent. Bref, c'est exquis !