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Bruno Coulais - Le Topic

Publié : mer. 10 déc. 2014 12:54
par Hutch
N'ayant pas trouvé de sujet spécifique, je me permets d'en ouvrir un afin de parler de l’œuvre d'un des compositeurs les plus singuliers de musiques de films.
Que l'on aime ou pas son travail, force est de lui reconnaître une personnalité musicale affirmée allant le plus souvent à l'encontre des conventions.
J'ai récemment acheté LE CHANT DE LA MER qui lui a permis de retrouver le groupe irlandais Kila après BRENDAN ET LE SECRET DE KELLS. Il s'agit d'une excellente surprise, évitant les clichés celtico-symphoniques de rigueur, les instruments traditionnels s'insérant dans une palette sonore extrêmement dense et travaillée avec orchestre, sonorités électroniques, voix, solistes (guitare, harpe,...) où le compositeur n'oublie de rendre sa musique accessible par le biais de cellules mélodiques accrocheuses. Au final, un véritable travail d'artisan, élaboré avec grand soin et professionnalisme.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : mer. 10 déc. 2014 13:47
par Citizen Cancre
J'aime beaucoup ses travaux sur Vidocq, Coraline et Sur la Piste du Marsupilami. Un style aisément reconnaissable entre mille !

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : mer. 10 déc. 2014 14:58
par BAF
J'aime bien sa musique pour les Rivières Pourpres.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : mer. 10 déc. 2014 21:35
par Denshaotoko
Hutch a écrit :N'ayant pas trouver de sujet spécifique, je me permets d'en ouvrir un afin de parler de l’œuvre d'un des compositeurs les plus singuliers de musiques de films.
Que l'on aime ou pas son travail, force est de lui reconnaître une personnalité musicale affirmée allant le plus souvent à l'encontre des conventions.
J'ai récemment acheté LE CHANT DE LA MER qui lui a permis de retrouver le groupe irlandais Kila après BRENDAN ET LE SECRET DE KELLS. Il s'agit d'une excellente surprise, évitant les clichés celtico-symphoniques de rigueur, les instruments traditionnels s'insérant dans une palette sonore extrêmement dense et travaillée avec orchestre, sonorités électroniques, voix, solistes (guitare, harpe,...) où le compositeur n'oublie de rendre sa musique accessible par le biais de cellules mélodiques accrocheuses. Au final, un véritable travail d'artisan, élaboré avec grand soin et professionnalisme.
Justement, j'attendais un avis sur ce CD, je te remercie de ce fait pour ce post :)

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : mer. 10 déc. 2014 22:31
par Janus
J'ai réécouté récemment sa partition "Au fond des bois", composée sous la forme d'un concerto pour violon et orchestre d'une allure contemporaine d'une beauté viscérale.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 11 déc. 2014 12:24
par Citizen Cancre
J'ai revu le Lucky Luke avec Jean Dujardin. La musique de Bruno Coulais y est classique (classique pour lui, j'entends) mais efficace.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 11 déc. 2014 18:07
par Denshaotoko
J'aime beaucoup sa musique pour le docu qui passe au Futuroscope, "créatures du ciel et de la mer"…

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 11 déc. 2014 19:13
par Dadid
Microcosmos n'est pas mal non plus, entre "expérimentations" et passage plus classiques... Et à l'opposé Les choristes mérite évidemment d'être cité, surtout du fait qu'il est principalement vocal - on y trouve peu de musique dramatique à proprement parler...

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 11 déc. 2014 22:24
par Nameless1138
Microcosmos est le score qui m'a fait découvrir Bruno Coulais et compte parmi les premières BO que je me suis achetées d'ailleurs, à peu près à la même époque que les compil de Williams pour Star Wars et Spielberg. Parmi mes favoris il y a également les Rivières Pourpres et Vidocq, ainsi que le Peuple Migrateur et Oceans. Après j'avoue que je suis loin de tout connaître alors merci pour ce topic, qui va me permettre de m'orienter vers d'autres titres et peut-être des travaux plus récents.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 13 août 2015 09:45
par Walden
écoute du Journal d'une Femme de Chambre et 3 cœurs, disponibles chez Quartet

J'aime l’intensité et l’écriture sombre et inquiétante de la musique composée pour Benoit JACQUOT : ambiance atonale pour le Journal, le piano et le vibraphone dominent, soutenus par des pizzicati tranchants et des tenues de cordes graves, les pistes sont courtes et denses ; belle couleur du cymbalum pour 3 cœurs avec un motif obsédant des contrebasses. Fascinant voyage dans les peintures musicales du compositeur qui compose et orchestre

Les deux partitions sont dirigées par l'excellent Dirk Brossé

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Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 13 août 2015 10:58
par Janus
Je partage ton ressenti sur ces deux B.O. de Bruno Coulais. J'aime aussi l'instrumentarium choisi ainsi que l'ambiance chambriste qui en découle. Toutefois, je suis un peu frustré par le manque de développement des meilleurs passages. Tout comme pour Gemma Bovary qui bénéficie d'un savoureux thème principal - lui aussi d'esprit chambriste - on est quand même un peu trop souvent dans l'échantillon. Bruno Coulais m'avait habitué jusqu'ici à plus de développement, si bien que dans cet esprit chambriste et pourvu d'une certaine intensité, son meilleur opus demeure, selon moi, Les Adieux à la Reine que je trouve plus abouti (d'un point-de-vue strictement musical). Et puisque l'on évoque, l'air de rien, la collaboration très intéressante entre Benoît Jacquot et Bruno Coulais, je ne peux m'empêcher de mentionner Au fond des bois pour violon et orchestre qui en est le plus beau fruit.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 13 août 2015 13:31
par Walden
Janus a écrit :Je partage ton ressenti sur ces deux B.O. de Bruno Coulais. J'aime aussi l'instrumentarium choisi ainsi que l'ambiance chambriste qui en découle. Toutefois, je suis un peu frustré par le manque de développement des meilleurs passages. Tout comme pour Gemma Bovary qui bénéficie d'un savoureux thème principal - lui aussi d'esprit chambriste - on est quand même un peu trop souvent dans l'échantillon. Bruno Coulais m'avait habitué jusqu'ici à plus de développement, si bien que dans cet esprit chambriste et pourvu d'une certaine intensité, son meilleur opus demeure, selon moi, Les Adieux à la Reine que je trouve plus abouti (d'un point-de-vue strictement musical). Et puisque l'on évoque, l'air de rien, la collaboration très intéressante entre Benoît Jacquot et Bruno Coulais, je ne peux m'empêcher de mentionner Au fond des bois pour violon et orchestre qui en est le plus beau fruit.
la musique devant s’apprécier avant tout par rapport au film qu'elle accompagne, je comprends ta frustration de mélomane sur le développement. Gemma Bovery est éminemment plus mélodique. Les Adieux à la Reine semble être à mi-chemin entre l’atonalité tendue du Journal et les respirations mélodiques de Gemma, les solistes londoniens y sont superbement mis en valeur (la flûte !!! La harpe !!!). Il est vrai que des pièces comme "dans les couloirs du château" ou "la Reine lit", qui durent plus de 5mn, sont un vrai bonheur pour les musiciens dans ce contexte ! D'accord sur Au fond des bois en version concert, c'est absolument admirable !!! Je trouve la pièce idéale pour accompagner le concerto pour un ange d'Alban Berg !

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : dim. 30 août 2015 13:07
par Walden
Bruno COULAIS revient dans la salle de concert avec un oratorio lors du festival Berlioz !

http://www.festivalberlioz.com/webdoc/b ... oz_17.html


http://brunoserrou.blogspot.com/2015/08 ... oz-et.html
Création mondiale de l’oratorio Nabulio de Jean-Claude Acquaviva et Bruno Coulais

Si Hector Berlioz était totalement absent du concert du soir au Château Louis XI, c’est pour s’effacer devant son impériale majesté Napoléon Bonaparte, qui, rappelons-le une fois de plus, suscitait son admiration sans ombre. Cette soirée constituait le deuxième rendez-vous phare de l’édition 2015 du Festival Berlioz. Il s’agissait en effet de la création mondiale d’une œuvre de quatre vingt dix minutes pour récitant, six voix d’hommes et orchestre (bois par deux, cor, deux trompettes, trombone, piano, harpe, célesta, timbales, percussion, cordes [10 premiers et 8 seconds violons, six altos, quatre violoncelles, trois contrebasses]). Dirigée du piano et du célesta par Jean-François Heisser à la tête de son Orchestre Poitou-Charentes, cette œuvre épique intitulée Nabulio, diminutif que les Corses insulaires donnaient à Napoléon Bonaparte enfant, se fonde sur des lettres de l'empereur et sur ses mémoires, de son enfance à Ajaccio jusqu’à sa mort à Sainte-Hélène en passant par ses conquêtes et défaites amoureuses, politiques et territoriales, l’évocation de la naissance de son fils, l’Aiglon, et de l’avenir de ce dernier, de la postérité que Bonaparte allait laisser à la France et à l'Histoire… Deux compositeurs se sont associés pour illustrer ces textes, Bruno Coulais (né en 1954), auteur de plus de deux-cents musiques de film, dont les Choristes et les Rivières pourpres, et l’auteur-compositeur-interprète corse Jean-Claude Acquaviva (né en 1965), chanteur et compositeur du groupe de polyphonies corse « A Filetta » fondé en 1978 dont il est l’une des six voix, également signataire des textes en langue corse de Nabulio.

Commençant sur une longue introduction au piano de style atonal sonnant de loin en loin comme du Stockhausen, joué avec sérénité par Jean-François Heisser, la partition de Bruno Coulais qui use intelligemment du micro-intervalle tend à se faire de plus en plus tonale au fur et à mesure que se dessine le destin de Napoléon. Les polyphonies corses écrites par Jean-Claude Acquaviva ponctuent a capella les pages de Coulais, qui s’approchent de plus en plus du style de son comparse corse. Sans être novatrice, cette épopée musicale a pour elle l’originalité d’un mixage intelligent entre deux écritures musicales savantes apparemment antinomiques mais qui se fondent dans un même moule pour engendrer une œuvre particulièrement évocatrice. Surtout grâce à la présence du comédien metteur en scène Didier Sandre, pensionnaire de la Comédie Française, qui, soutenu avec attention par le pianiste-chef d'orchestre, dit avec un engagement de chaque instant servi par une diction exemplaire d'une sa voix grave et posée les textes de Napoléon, qu’il incarne avec une intensité saisissante. Seule petite réserve, l'orchestre couvre parfois le récitant au risque de le rendre incompréhensible, voire quasi inaudible.

Le groupe A Filetta s’est imposé par la beauté des voix et la maîtrise extraordinaire de leur chant qui se s’entrecroisent, s’enchevêtrent et se détachent avec une dextérité inouïe. Sous la direction ferme et claire de Jean-François Heisser, les musiciens de l’Orchestre Poitou-Charentes a servi avec assurance cette partition qui rappelle opportunément que le Festival Berlioz est naturellement ouvert à la création et qui, souhaitons-le, sera reprise au plus tôt en d’autres lieux, notamment en Corse...

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : dim. 30 août 2015 16:07
par Janus
Si l'association Bruno Coulais/A Filetta a pu faire grincer les oreilles de certains béophiles, elle fut dès le départ aux miennes, c'est-à-dire dès Don Juan, une combinaison providentielle. Walden, sur un autre fil tu évoques l'extase en musique: outre Bach et Morricone, je l'ai connu ici, précisément dans cette rencontre - A Filetta, ce sont des voix exceptionnelles - le point culminant ayant sans doute été pour moi le thème principal de Himalaya. Orgasmique. Tu ne seras donc pas étonné de mon impatience de découvrir cet oratorio.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 3 sept. 2015 09:49
par Walden
je te comprends ami Janus, j'avais compris que tu avais connu des extases avec le Dracula de W. Kilar également à l’époque ! :D

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 3 sept. 2015 09:53
par Walden
N’empêche, je regrette toujours l'absence d’intérêt pour les œuvres de concert des compositeurs connus pour leur travail pour le cinéma, le concerto pour flûte de Desplat, l’opéra de JC Petit, cet oratorio de Coulais, les œuvres classiques de Cosma, etc, etc...Peu d’œuvres sont disponibles...elles sont en général jouées une fois et rarement enregistrées, c'est une calamité !

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 3 sept. 2015 11:00
par Janus
Walden a écrit :je te comprends ami Janus, j'avais compris que tu avais connu des extases avec le Dracula de W. Kilar également à l’époque ! :D
C'est exact et j'avais aussi été fortement séduit par le Comte de Monte-Cristo de Bruno Coulais qui, justement, avait quelque chose d'assez "kilarien" dans la forme.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 3 sept. 2015 11:43
par Janus
Walden a écrit :N’empêche, je regrette toujours l'absence d’intérêt pour les œuvres de concert des compositeurs connus pour leur travail pour le cinéma, le concerto pour flûte de Desplat, l’opéra de JC Petit, cet oratorio de Coulais, les œuvres classiques de Cosma, etc, etc...Peu d’œuvres sont disponibles...elles sont en général jouées une fois et rarement enregistrées, c'est une calamité !
C'est souvent le cas, effectivement. Chez certains d'entre eux, leur musique de concert est très proche de leur musique de film. Je pense à Wojciech Kilar ou encore à Carlo Crivelli. J'allais citer Per Norgard, mais chez lui, c'est plutôt sa musique de film qui est proche de sa musique de concert. En fait, tout cela dépend généralement, me semble-t-il, où le compositeur gagne en succès ou en célébrité et, par ce fait, de l'étiquette qui lui colle à la peau. Par exemple, Howard Shore et Bruno Coulais connurent le succès et la célébrité par le biais de leur musique de film, un peu comme un compositeur qui est principalement connu pour ses opéras, cette partie de son oeuvre couvrira à coup sûr l'autre, la plupart du temps. Quand tu penses à la grande prolixité d'un Antonio Vivaldi, toutes les oeuvres qu'il composa alors que seulement deux/trois de ses opus sont rabâchés en concert, un en particulier...Quand tu penses au célèbre Adagio attribué à Albinoni qui a été interprété un nombre incalculable de fois alors que les oeuvres de ce dernier ne sont presque jamais jouées...John Williams pourra composer tous les concertos qu'il veut, un opéra, etc..., son succès en tant que compositeur de film couvrira toujours cette partie de son oeuvre. Pareil pour Ennio Morricone, et cela-même si Ut, son concerto pour trompette, aura été joué plus de cinquante fois!! Son étiquette de "compositeur de western" élude presque déjà tout le reste, alors...Après, il y a les cas Toru Takemitsu et Alfred Schnittke qui seraient plus dans la situation inverse. Et puisque l'on est sur le fil "Bruno Coulais", je terminerai avec son concerto pour violon Les villes invisibles qui, sans être une musique de film, est une sorte d'hommage au cinéma. Alors certains parmi ceux qui ont eu l'occasion de l'écouter diront que c'est moins accessible que sa musique de film. Tout dépend avec quoi on le compare: moins mélodique et moins accessible que Les Choristes, sans aucun doute, mais pas plus difficile d'accès dans l'absolu que ce qu'il composa sur Au fond des bois qui est aussi une sorte de concerto pour violon épousant une forme contemporaine.Le plus ironique dans tout ça, c'est que lorsque j'écoute son concerto Les Villes invisibles, j'ai l'impression d'entendre une musique de film et lorsque j'écoute sa musique de film Au fond des bois, qui a réellement été conçue pour le cinéma, en l'occurrence celui de Benoît Jacquot, j'ai l'impression d'écouter un concerto à part entière écrit pour le concert. Personnellement, les créations "hors-cinéma" des "faiseurs" de B.O. m'ont toujours intéressé, et je pense comme Antoine Duhamel lorsqu'il disait qu'un compositeur de cinéma ne devrait pas se limiter à ne composer que de la musique de film. Avant d'être des compositeurs de musiques de films, tous ces noms que je viens de citer, sont des compositeurs tout court. Je viens d'ailleurs de me procurer Pas de Deux de James Horner.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : ven. 4 sept. 2015 17:45
par Walden
Janus a écrit : Et puisque l'on est sur le fil "Bruno Coulais", je terminerai avec son concerto pour violon Les villes invisibles qui, sans être une musique de film, est une sorte d'hommage au cinéma. Alors certains parmi ceux qui ont eu l'occasion de l'écouter diront que c'est moins accessible que sa musique de film. Tout dépend avec quoi on le compare: moins mélodique et moins accessible que Les Choristes, sans aucun doute, mais pas plus difficile d'accès dans l'absolu que ce qu'il composa sur Au fond des bois qui est aussi une sorte de concerto pour violon épousant une forme contemporaine.Le plus ironique dans tout ça, c'est que lorsque j'écoute son concerto Les Villes invisibles, j'ai l'impression d'entendre une musique de film et lorsque j'écoute sa musique de film Au fond des bois, qui a réellement été conçue pour le cinéma, en l'occurrence celui de Benoît Jacquot, j'ai l'impression d'écouter un concerto à part entière écrit pour le concert. Personnellement, les créations "hors-cinéma" des "faiseurs" de B.O. m'ont toujours intéressé, et je pense comme Antoine Duhamel lorsqu'il disait qu'un compositeur de cinéma ne devrait pas se limiter à ne composer que de la musique de film. Avant d'être des compositeurs de musiques de films, tous ces noms que je viens de citer, sont des compositeurs tout court. Je viens d'ailleurs de me procurer Pas de Deux de James Horner.
ce concerto a l'air bien sympathique en effet

Je serai curieux (dans un autre topic) de savoir ce que tu penses du Pas de Deux de feu James [love]

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : ven. 4 sept. 2015 19:19
par Janus
Walden a écrit :Je serai curieux (dans un autre topic) de savoir ce que tu penses du Pas de Deux de feu James
C'est prévu dans un avenir proche mais pour le moment je suis sous l'emprise de Manuel de Falla et, entre autres merveilles, de son "Amour Sorcier". :D

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : sam. 3 mars 2018 16:57
par Scorebob
Encore une bof de film d'animation pour Bruno COULAIS:



et quel sujet!

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : sam. 3 mars 2018 21:02
par Dadid
Alléchant ! L'animation laisse en général une belle place à la musique et à l'originalité, et ça Coulais sait faire. 8-)

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 16 mai 2019 16:13
par Sam Lowry
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Je ne sais pas trop quoi penser de BLANCHE COMME NEIGE, le dernier Coulais (déjà que le précédent m'avait un peu laissé de marbre). Entre quelques plages à l'ambiance austère et quasi-religieuse (voulu, bien entendu), avec force sonorités étranges, surnagent deux trois morceaux intéressants (dont l'ouverture, alléchante, mais qui ne débouche que sur un soufflé qui retombe très vite)... mais... c'est à peu près tout.
Votre avis ?

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 23 sept. 2021 15:53
par Mortimer
Wolfwalkers est magnifique, magique. Une merveille...Oui j'en parle seulement maintenant car je marche parfois au ralenti. Ô vieillesse ennemie et cœur en charpie, c'est dure de vieillir. Mais foncez tant que ce CD est encore disponible.

Re: Bruno Coulais - Le Topic

Publié : jeu. 23 sept. 2021 17:14
par Misquamacus
Complètement d'accord. dans mon top 10 de l'année dernière. Et (joli) CD reçu en 4 jours après commande.