John Cacavas vient de nous quitter.
AIRPORT 1975 fut l' un de mes premiers LP acheté dans les 70's.
Assez méconnu et oeuvrant aussi sur des téléfilms ou séries, son oeuvre a été peu éditée.
Espérons que l' édition saura lui rendre hommage.
AIRPORT 77 par exemple serait sympa.

Le "End titles" de Terreur dans le Shanghaï express


RIP

Emissary a écrit :De toute façon, John Cacavas aura un jour des comptes à rendre pour avoir composé cette chose, en remplacement du thème de Billy Goldenberg.

L'aristocratique Emissary visait bien sûr de ses foudres le second thème de Kojak, à cent lieues de rivaliser avec l'original de Goldenberg (sans parler de l'arrangement à la berlue qu'avait fait Cacavas du leitmotiv de son prédécesseur). Prions cependant que l'homme aux sabots fourchus ne fasse pas montre d'une sanglante sévérité à l'endroit de feu John, dont le curriculum vitae compte un certain nombre de pièces appelant sans conteste à la clémence. Tel, par exemple, un Mortuary à la fois noir et velouté.

Je trouve son Satanic Rites Of Dracula fort sympathique, de mon côté.

Edern a écrit :Je trouve son Satanic Rites Of Dracula fort sympathique, de mon côté.

Bonne pioche, assurément, mon vieux Trooper.

Et pourtant, le parti pris gothico-jazz-pop du score était franchement un choix casse-gueule, mais je trouve que le résultat a de la tenue.

j'aime bien sa compil' "Beyond the scene" ou l'on trouve un bon échantillon de ses compositions avec Notamment un Columbo et le thème du pilote consacré à la série de la femme de ce cher inspecteur : http://www.soundtrackcollector.com/titl ... s.+Columbo

Difficile à trouver (en CD) mais intéressant

Lee Van Cleef a écrit :

Edern a écrit :Je trouve son Satanic Rites Of Dracula fort sympathique, de mon côté.

Bonne pioche, assurément, mon vieux Trooper.

Celui-là aussi je l'aime bien. Peut-être même que c'est ce qu'il y a de mieux dans le film... Comme quoi les bandits de BSX le jour sont aussi de grands muséographes de la musique du cinéma bis. Un poil longuet peut-être, sur disque, quand ça le regard n'est pas hypnotisé par la crou... la grâce naturelle de Caro Munro.