Il est clair que cela fait plaisir d'entendre un nouveau Young de ce niveau, même si le reste du score n'est pas dans le même registre.

Quel pied même ! Je vous conseille de virer les premiers morceaux pour n'écouter que ces 10 dernières minutes follement Youguesque. ça fait un bien fou d'entendre le compositeur dans ce registre. Et ça file des frissons ! On pense à "Hellraiser" bien sûr, mais encore plus au superbe "Bless the Child" je trouve.

Hum... j'y ai retrouvé le son classique de Young mais pas ses mélodies. Une deuxième écoute est prévue.

Pour ceux qui ont un compte Face de bouc le généreux Chris Young offre aux participants d'un tirage au sort (?) une ribambelle de ces compositions paraphées de sa main griffue:


"Hi friends, on my Facebook page (https://bit.ly/2HCt9Bk) I'm doing my own version of Black Friday. Giving away 46 signed CDs this Fri. 11/27/20
@noon
(PT) for free. Go there, follow the instructions to be in the running. Stay safe!

Your friend,
Chris"

Entretien de 7 pages et filmo commenté dans le dernier "Mad Movies", par Alexandre Poncet. Et c'est très bien !

Avis aux amateurs:

voici un post FB de Christopher Young:

"Great news friends!
My CD soundtrack to 50 States Of Fright is now available for pre-order. Thank you to my manager Peter Hackman and his business partner Bryon Davis for persevering on getting this out on their label Notefornote Music. For those that stream, it's coming to you soon.
Oh yah, if you order before March 11 at midnight PT I will personalize your copy with whatever name you want on it. Follow the link below for the 4-1-1 my friends.
Grab it here https://tinyurl.com/5h8uhhv3
Your friend,
Chris"

Pour les non-anglophones, sortie par Notefornote du score de Chris Young pour l'épisode "Michigan" de l'anthologie horrifique "50 States of Fright", série initiée par Sam Raimi. Le tirage est de 500 exemplaires. Ce que j'en ai écouté pour l'instant est très bien (fait gentiment le grand écart entre les expérimentations à la Sinister et le Young classique à la Flowers in the Attic), bref ça me plait beaucoup.

Pour toute commande passée entre maintenant et le 11 mars, Young propose de dédicacer l'album.

Frais de port compris, cela revient à 31 dollars quelque chose.

Info complémentaire, la seule condition (en dehors des dates) pour obtenir la dédicace est de répondre au mail de confirmation de commande en signifiant à quel nom on souhaite indiqué sur la pochette.

Merci pour l'info !
Commandé, bien évidemment

Merci pour l'info

Merci Pileyre !!!!

Commandé ici aussi

Pileyre a écrit :Info complémentaire, la seule condition (en dehors des dates) pour obtenir la dédicace est de répondre au mail de confirmation de commande en signifiant à quel nom on souhaite indiqué sur la pochette.

J'ai fait comme tu l'indiques, mais je n'ai pas eu de confirmation à cette réponse au mail heu.... de confirmation.

Moi non plus ! J'ai juste reçu un second mail pour télécharger le score. Je préfère le découvrir sur CD

https://www.youtube.com/watch?v=q4JfDgP9Haw

Chris Young en concert espagnol... je sais pas comment la violoniste a pris le bisou !

Merci, ça dégage bien derrière les oreilles.

Je viens de recevoir mon exemplaire de 50 STATES OF FRIGHT.
Le tout, avec une dédicace personnalisée. Merci Chris

Reçu mon exemplaire itou !!!! Content je suis. Avec une dédicace perso, merci Mr Young !

Plus de vingt ans auparavant, la découverte de ce sympatoche petit B à l'apocalyptique taux de précipitations qu'est Hard Rain ne m'avait guère fait dresser l'oreille, Christopher Young ou pas. De ce qu'il m'avait semblé saisir au vol ici ou là, il s'agissait surtout d'une musique d'action charpentée avec savoir-faire, mais sans l'étincelle farouche qui l'aurait avantageusement différenciée de ses consoeurs dont les années 90 regorgent. L'écoute de l'intégrale sortie chaude et fumante du four, à laquelle j'ai cédé sur une impulsion au parfum de caprice, vient tout juste d'entériner ces a priori antédiluviens. Ça pulse, ça dépote, ça file à toute berzingue, toutes sortes de choses constituant en soi autant de prétextes de frétiller du chef et taper du pied en cadence, mais ça s'enkyste également un peu trop vite à mon goût dans une pyrotechnie symphonique un tantinet machinale, qui finit à court terme par se répéter et bégayer. J'aime bien à l'arrivée, mais Hard Rain n'abandonnera pas sur mon pavillon auriculaire une empreinte indélébile.

Bien que curieux (et appréciant Young), c'est un peu ce que je présageais. Accablé d'une prudence inaccoutumée (largement aiguillonnée par le prix import de cette version luxe), j'ai donc commandé un exemplaire de l'album d'origine dûment recyclé à 9 centimes (3.60€ avec le port)... Une manière économe et probablement pas con de faire connaissance avec cette partoche.

Même si la version simple est déjà très bien, j'ai carrément redécouvert ce score grâce à cette nouvelle édition.

Dadid a écrit :Bien que curieux (et appréciant Young), c'est un peu ce que je présageais. Accablé d'une prudence inaccoutumée (largement aiguillonnée par le prix import de cette version luxe), j'ai donc commandé un exemplaire de l'album d'origine dûment recyclé à 9 centimes (3.60€ avec le port)... Une manière économe et probablement pas con de faire connaissance avec cette partoche.

Parfois la nature, le destin, ou, qui sait, le dieu de la BO, s'amuse à punir au hasard Balthazar une brebis égarée, un pauvre hère qui, croyant pouvoir se passer d'un soutien pécuniaire aux nobles trousseurs de poches que sont LLL et quelques autres, se voit puni pour sa naïveté. Ô combien. Car, ivre d'une commande passée sans doute à la va-vite et dans un brouillard mental des plus épais, après une longue attente de surcroit, voilà ce que je reçois aujourd'hui.
Une erreur peu coûteuse, mais tout de même. Symboliquement, ça m'a fait mal.

En tous cas un album LLL devenu rare et cher. Bonne pioche malgré tout.

Tu te trompes, l'ami : à ce prix, c'est la compil Virgin !

Flûte ! Je croyais que tu avais commandé chez LLL.

Dadid a écrit :Une erreur peu coûteuse, mais tout de même. Symboliquement, ça m'a fait mal.

Mon pauvre cher vieux Dadid ! Je conçois sans mal la stupeur qui t'a assailli en ondes térébrantes... Sans doute y a-t-il eu si douloureusement maldonne par la faute de cette proximité sinistre entre Young et Zimmer dans les pages de l'annuaire béophile.

Je ne sais même pas quels mots je pourrais utiliser pour décrire "50 States Of Fright"
Une chose est certaine, c'est que ça sort de l'ordinaire. Des effets sonores en tout genre, des voix lointaines pas très rassurantes, des coups de piano qui jouent avec nos nerfs et qui par des effets stéréos sont un coup à droite puis à gauche, de la musique de fête foraine. Et puis un petit thème nostalgique toujours au piano qui tourne vite au LP rayé, un peu à ce qu'on peut entendre dans les jeux Silent Hill. Des craquements, des bruissements et puis des chœurs juste accompagné par deux notes de piano si cher au Young des débuts.
50 States Of Fright c'est comme un poème qu'on ne comprend qu'après plusieurs lectures. Ou une vieille bâtisse au fond d'une forêt qui ne livre ses secrets qu'au fur et à mesure que l'on ouvre les portes des chambres. Attention, quelque chose de maléfique pourrait surgir de l'une d'elle.