J'ai fait un rêve
Publié : mar. 18 sept. 2012 16:48
Bref, j’ai fait un rêve.
Dans mon rêve Hans Zimmer n’avait jamais existé, ni ses clones d’ailleurs.
Pas de John Powell, Mark Mancina, Nick Glennie-Smith, Harry Gregson-Williams,
Klaus Badelt, Steve Jablonsky et compagnie.
Bref, dans ce monde idéal Basil Poledouris, Jerry Goldsmith, Michael Kamen étaient
toujours vivants et plus actifs que jamais !
Michael Kamen brillait toujours dans le registre de l’action. Ses travaux pour K19,
The Rock, Volte Face, La Recrue ou Broken Arrow en étaient la preuve. Son style
faisait aussi merveille sur certains jeux vidéo comme Metal Gear Solid et Gears of War.
Jerry Goldsmith entamait une fructueuse collaboration avec Tony Scott. On le
retrouvait sur USS Alabama, Ennemi d’Etat, Spy Game et Déjà vu. Il avait signé
aussi les partitions remarquées pour Inception de Christopher Nolan et celle du
film d’animation How to Train Your Dragon.
Grâce au succès de sa splendide partition pour Kingdom of Heaven, Basil Poledouris
avait retrouvé grâce auprès des dirigeants d’Hollywood qui lui confiaient dorénavant
des projets plus ambitieux telle que The Island, Sherlock Holmes, la trilogie des
Jason Bourne ou la série Game of Thrones. Basil Poledouris avait aussi signé pour
le score du remake de Total Recall.
La Grèce n’était pas en faillite et Vangelis retrouvait le goût à composer en signant
les musiques de Da Vinci Code, Gladiator et du très attendu Prometheus pour son
complice Ridley Scott.
James Horner continuait de faire du … James horner sur des productions comme
Kung Fu Panda, Le Dernier Samouraï ou Pearl Harbour.
David Arnold quittait le smoking de James Bond contre celui du justicier
de Gotham pour la trilogie Dark Night. On l’attendait aussi sur la nouvelle
version de Judge Dredd.
John Scott sortait de sa retraite Anglaise et signait son come back grâce
au succès de ses scores pour la franchise Pirates des Caraïbes. Ce succès
public lui permettait enfin d’accéder à des productions plus importantes
telles que King Arthur, Robots ou Anges & Démons.
James Newton Howard et Patrick Doyle n’avaient pas vendu leur âme car
le style RCP (Recyclage Contre Productif) n’existait pas ! Ils continuaient
donc à fournir au cinéma des partitions toujours aussi inspirées. A Propos
d’Henry, Le Prince d’Egypte, La Chute du Faucon Noir, Transformers ou
l’Age de Glace pour le premier. Quant au second, il s’illustrait sur les films
suivants Rangoon, Le Monde de Narnia, Riot ou encore Rango.
Cliff Eidelman n’était plus cantonné aux téléfilms et films familiaux.
Son nom figurait désormais aux génériques de L’Homme au Masque de Fer,
Hancock ou Le Choc des Titans.
Elliot Goldenthal n’était pas tombé sur la tête et avait trouvé en Zack
Snyder un réalisateur de confiance (300, Watchmen, Sucker Punch).
On attendait avec impatience sa nouvelle partition pour le reboot de Superman.
Terrence Malick avait choisi Jonny Greenwood, le génial guitariste de Radiohead
pour The Tree of Life.
Alan Silvestri n’avait pas acheté ses vignes en Californie et continuait à
composer des superbes musiques telles que Shrek, Radio Flyer, Mission
Impossible 2, Iron Man et plus récemment Cowboys et Envahisseurs ou Battleship.
Bref, la musique de film se portait au mieux !
Bref, je me suis réveillé, j’ai allumé mon MP3. J’ai écouté les dernières partitions,
un vrai cauchemar ! Je me suis recouché…
Bref, j’ai fait un rêve.
Dans mon rêve Hans Zimmer n’avait jamais existé, ni ses clones d’ailleurs.
Pas de John Powell, Mark Mancina, Nick Glennie-Smith, Harry Gregson-Williams,
Klaus Badelt, Steve Jablonsky et compagnie.
Bref, dans ce monde idéal Basil Poledouris, Jerry Goldsmith, Michael Kamen étaient
toujours vivants et plus actifs que jamais !
Michael Kamen brillait toujours dans le registre de l’action. Ses travaux pour K19,
The Rock, Volte Face, La Recrue ou Broken Arrow en étaient la preuve. Son style
faisait aussi merveille sur certains jeux vidéo comme Metal Gear Solid et Gears of War.
Jerry Goldsmith entamait une fructueuse collaboration avec Tony Scott. On le
retrouvait sur USS Alabama, Ennemi d’Etat, Spy Game et Déjà vu. Il avait signé
aussi les partitions remarquées pour Inception de Christopher Nolan et celle du
film d’animation How to Train Your Dragon.
Grâce au succès de sa splendide partition pour Kingdom of Heaven, Basil Poledouris
avait retrouvé grâce auprès des dirigeants d’Hollywood qui lui confiaient dorénavant
des projets plus ambitieux telle que The Island, Sherlock Holmes, la trilogie des
Jason Bourne ou la série Game of Thrones. Basil Poledouris avait aussi signé pour
le score du remake de Total Recall.
La Grèce n’était pas en faillite et Vangelis retrouvait le goût à composer en signant
les musiques de Da Vinci Code, Gladiator et du très attendu Prometheus pour son
complice Ridley Scott.
James Horner continuait de faire du … James horner sur des productions comme
Kung Fu Panda, Le Dernier Samouraï ou Pearl Harbour.
David Arnold quittait le smoking de James Bond contre celui du justicier
de Gotham pour la trilogie Dark Night. On l’attendait aussi sur la nouvelle
version de Judge Dredd.
John Scott sortait de sa retraite Anglaise et signait son come back grâce
au succès de ses scores pour la franchise Pirates des Caraïbes. Ce succès
public lui permettait enfin d’accéder à des productions plus importantes
telles que King Arthur, Robots ou Anges & Démons.
James Newton Howard et Patrick Doyle n’avaient pas vendu leur âme car
le style RCP (Recyclage Contre Productif) n’existait pas ! Ils continuaient
donc à fournir au cinéma des partitions toujours aussi inspirées. A Propos
d’Henry, Le Prince d’Egypte, La Chute du Faucon Noir, Transformers ou
l’Age de Glace pour le premier. Quant au second, il s’illustrait sur les films
suivants Rangoon, Le Monde de Narnia, Riot ou encore Rango.
Cliff Eidelman n’était plus cantonné aux téléfilms et films familiaux.
Son nom figurait désormais aux génériques de L’Homme au Masque de Fer,
Hancock ou Le Choc des Titans.
Elliot Goldenthal n’était pas tombé sur la tête et avait trouvé en Zack
Snyder un réalisateur de confiance (300, Watchmen, Sucker Punch).
On attendait avec impatience sa nouvelle partition pour le reboot de Superman.
Terrence Malick avait choisi Jonny Greenwood, le génial guitariste de Radiohead
pour The Tree of Life.
Alan Silvestri n’avait pas acheté ses vignes en Californie et continuait à
composer des superbes musiques telles que Shrek, Radio Flyer, Mission
Impossible 2, Iron Man et plus récemment Cowboys et Envahisseurs ou Battleship.
Bref, la musique de film se portait au mieux !
Bref, je me suis réveillé, j’ai allumé mon MP3. J’ai écouté les dernières partitions,
un vrai cauchemar ! Je me suis recouché…
Bref, j’ai fait un rêve.