Un formidable mélodiste vient de disparaitre; Marvin Hamlish 68 ans. Même s'il est resté discret, ces thèmes restent à jamais des partitions de haute qualité mélodique: SOPHIE's CHOICE, The Swimmer (à redécouvrir), The Way we were et l'incontournable et excellent thème de The Spy who Love Me qui est l'un des plus beaux thèmes des 007, sur ce coup JBarry a été surclassé

Il manque un "c".

Sinon, en jetant un coup d'oeil rapide sur sa filmo, j'y ai vu qu'il avait composé le score de D.A.R.Y.L. (1985). Quelqu'un se souvient de la musique ?

Sinon, dans mon souvenir, son Bananas était aussi sympa.

Compositeur rare, mais aux mélodies toujours élégantes.

Ah ben merde alors... Il m'avait épaté aussi récemment avec THE INFORMANT de Soderbergh (bien inspiré, pour une fois).

Toujours aimè et ecouté regulierement Chorus Line

Je retiens surtout "Nos plus belles années" et "le choix de Sophie". Le reste je ne connais pas trop même son James Bond.

R.I.P

c'était un compositeur important, son premier score, the Swimmer restant pour moi un score magnifique (je l'écoute très souvent) tout comme le touchant Choix de Sophie. Je retiendrai également la très belle chanson générique de Nos plus belles années et le "Nobody Does It Better" de l'espion qui m'aimait.

"Nobody does it better" est ma chanson Bond préférée avec "you only live twice". Un grand mélodiste. Je ne saurais trop conseiller "le choix de Sophie" que j'écoute aussi régulièrement.

L'occasion (funèbre) semble belle de revoir The Swimmer, dont je me souviens assez vaguement comme d'un film bourré d'audace presque avant-gardistes. Surtout, je vérifierai alors par moi-même le bien-fondé des complaintes de ses nombreux admirateurs, qui paraissent s'accorder tous à juger exagérément abondante la musique, pourtant formidable, de feu Marvin.

Abondante alors qu'il y a un demi-heure de musique ? En tous cas c'est un des plus beau film "sous-estimé/méconnu" que je connaisse

Un petit tribute;

Gizmo a écrit :Abondante alors qu'il y a un demi-heure de musique ?

c'est aussi le genre de pensée interloquée qui m'assaille lorsque j'entends des cohortes de cinéphiles, pourtant admiratifs du film de Frank Perry, vitupérer après un score qui soi-disant gâterait leur plaisir de spectateur par sa présence trop appuyée. Y' a pas à dire, il faut vraiment que je revoie The Swimmer pour étudier ce mystère de plus près.