Georges Delerue

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Mortimer
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Re: Georges Delerue

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En fait Tendre Poulet c'est pratiquement toute la musique qu'il y avait sur le 33 de l'époque. Sauf que certains morceaux ont été modifiés. Ainsi les morceaux "Gloria in Excelsis Deo" et "Agnus Dei" deviennent sur le CD Une chorale sous la pluie, et "Le Meurtre" et "Christine en Bicyclette" deviennent Meurtre et bicyclette sur le CD
Pour Chère Louise il n'y a eut qu'un 45 tours avec deux morceaux. Ces deux morceaux on les retrouve sur la compilation Odéon ainsi que sur le CD Le Cinéma De Philippe De Broca. Sur le dernier cd Playtime il y a 8 morceaux
Enfin le dernier titre, Le diable par la queue on trouve 6 titres sur le "CD Le Cinéma De Philippe De Broca" contre 9 sur le CD Playtime.
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Mortimer
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Re: Georges Delerue

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Music Box va sortir deux CD de Georges Delerue, à l'occasion des trente ans de sa disparition.

Je cite :
• Music Box Records proposera deux CD consacrés à Georges Delerue :
Pour la première fois et en version intégrale, l'édition française de la bande originale du film d'aventures de Philippe de Broca L'HOMME DE RIO (1964)
Un deuxième CD regroupant les bandes originales des films UN HOMME AMOUREUX (1987) réalisé par Diane Kurys et pour la première fois en version intégrale, PREMIER VOYAGE (1980) réalisé par Nadine Trintignant
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Scorebob
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Re: Georges Delerue

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Cool! Je me demande quelles seront le différences avec l'édition Kritz de L'Homme de Rio.
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PatrickB
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Re: Georges Delerue

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Très bonne nouvelle !
Moi qui cherchais à acheter "Un homme amoureux" à prix raisonnable (et je dois pas être le seul), ça tombe à pic. Alors en plus un petit film inédit, même si forcément plus court, c'est idéal... Titre exact : "Premier voyage", qui a un thème dans le coffret 4CD Delerue.

Il fallait marquer la célébration des 30 ans de la disparition du rand Georges. D'ailleurs, ça peut évoquer un double hommage/disparition, avec Marie Tringnant, que je découvre être au générique.
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Lee Van Cleef
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Re: Georges Delerue

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Le grand Georges est peut-être passé à côté d'un truc, en 1964, dans le court-métrage Èves Futures. Si les plans liminaires de mannequins réduits à l'état de tronçons blafards au coeur d'un entrepôt silencieux le jettent sur la piste, pas dénuée d'intérêt, d'une série noire que traverse tête basse une trompette solo, la suite a tôt fait de crouler sous d'inoffensives joliesses romantiques à base de cor anglais, de piano et des arpèges d'une harpe bien timide. Face à cette singulière procession, où les susdits mannequins, sur le chemin (de croix) devant les conduire aux vitrines des magasins, subissent tous les outrages entre les mains d'ouvriers diligents — ébarbés, poncés, trépanés, énucléés, violentés au plus profond de leur intimité... Face à pareilles images, disais-je donc, opérer les premières répétitions des lancinantes messes noires de Quelque Part, Quelqu'un et Police Python 357 eût été pour Delerue on ne peut mieux indiqué.
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Dadid
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Re: Georges Delerue

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Je n'ai pas vu ce court, mais vu ce que j'en ai lu je suis tenté d'abonder dans ton sens. Seulement, en 1964, il était sans doute préférable de ne pas trop s'écarter des rails d'une sensualité romantique et convenable, vu les images. :mrgreen:
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Mortimer
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Re: Georges Delerue

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En précommande chez Music Box
Un titre de CD presque de circonstance.
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Starfe
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Re: Georges Delerue

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Mortimer a écrit : jeu. 24 nov. 2022 11:44 En précommande chez Music Box
Un titre de CD presque de circonstance.
Le CD "La Musique Classique de Georges Delerue" est aussi dès maintenant disponible chez Gibert (Paris 6ème).

Cet album fait suite au concert qui a eu lieu le 2 avril dernier à l’église Sainte-Marie des Batignolles (Paris 17ème). C'était un très beau concert, c'est un très bel album !

http://www.georges-delerue.com/oeuvres- ... n-concert/
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Lee Van Cleef
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Re: Georges Delerue

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Joe Versus the Volcano : avec un titre pareil, rien ne serait plus facile que d'imaginer l'une de ces farces patapouf, au choix savoureusement régressive ou tragiquement amputée de son lobe frontal, dont les Américains aiment à s'enticher. Quoique, la présence dans le rôle-titre (celui de Joe, hein, pas celui du volcan, précisons au cas où) du Tom Hanks première manière, c'est-à-dire flanqué de sa bouille ronde sur laquelle flotte un éternel air candide, bouscule un tantinet la donne en laissant penser à un ton plus inoffensif, voire benoît. Mais le film désamorce ces a priori en s'engouffrant dans une voie tout autre, celle de la comédie, comme prévu, mais mâtinée de finesses existentialistes, de romance tripartite et de surréalisme en Technicolor. Une recette bourrée de charme, dont je viens juste de grandement réévaluer les vertus après sa découverte d'antédiluvienne mémoire, qui m'avait laissé de glace.

Hélas, le film et son esprit assez particulier n'eurent jamais réellement droit à une digne descendance, la faute au colossal gadin par lequel toute l'entreprise se solda au box-office. Chienne de vie, va ! Delerue lui-même aurait pu lâcher un juron de dépit identique. Car à l'écran, sa musique fait les frais de mufleries répétées de la part du réalisateur John Patrick Shanley, qui lui préfère la chaleur de Ray Charles ici, où là Sergio Mendes et le hit intergalactique que demeure sa reprise de Jorge Ben Jor. Moult indélicatesses que le vieux Van Cleef, plutôt soupe au lait à l'encontre de quiconque s'avise de bousculer ses vaches sacrées, a souhaité corriger au moyen de ses armes létales :




N'empêche, Joe Versus the Volcano constituait pour le grand Georges un projet en or massif. Peut-être déjà affaibli par la maladie, mais nullement freiné dans les élans romantiques qui l'auréoleront d'une gloire sublime jusqu'à ce que s'époumonent les trompettes du Jugement Dernier (et même encore après), il offre au voyage supposément fatidique du prénommé Joe un thème bien moins funèbre que melliflu, et apaise les bleus à l'âme en les enduisant du baume revigorant de ses bois ciselés en maître primat ; puis, après avoir déchaîné l'ire de ses cuivres féroces sur le grain de fin du monde qui expédie droit vers les abysses le yacht de notre héros, le voici jaugeant d'un oeil amusé une peuplade d'indigènes de fête foraine, lesquels se voient gratifiés, en guise de chant tribal, d'une très fantaisiste variation de When Johnny Comes Marching Home. N'en jetez plus ! Pour Delerue, c'est carton résolument plein. Même constat en ce qui concerne le pavillon de mon oreille, tout gondolé de joie.



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Mortimer
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Re: Georges Delerue

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Autre réédition chez Silva, The Escape Artist
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moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
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Odelay
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Re: Georges Delerue

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Même contenu que le Percepto. Par contre ce sera difficile de faire un meilleur livret qui comme souvent chez Percepto était très riche dans son contenu (celui du Jour du dauphin était tellement épais -et passionnant- qu'on avait du mal à le remettre à sa place).
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Mortimer
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Re: Georges Delerue

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Oui le Percepto est excellent. C'est même surprenant de revoir ce titre car il a été réédité il n'y a pas si longtemps et on le trouve encore facilement
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
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Lee Van Cleef
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Re: Georges Delerue

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Vous aussi, gentlemen d'invulnérable vertu, possédez forcément une liste de films que vous espérez aux degrés divers de la curiosité et de l'impatience découvrir un jour. Des films avec lesquels l'on a d'abord noué connaissance par le truchement de leur musique — des albums suffisamment aguichants pour ouvrir un bel appétit à l'endroit de leur réceptacle de pellicule. De mon côté, je viens juste de cocher un nouveau titre sur ma propre liste, à savoir Quelque Part, Quelqu'un, la première réalisation de Yannick Bellon (une femme, ainsi que son prénom n'en fait guère mention). Depuis ma première fois, il y a de cela des années, avec l'électrisante partition de Delerue, je rêvais de voir le film qui avait poussé le grand homme, maître du raffinement mélodique, vers des rivages à ce point chargés d'une terrible angoisse. La réponse m'a déconcerté et fasciné tout en même temps.

À l'unisson d'une poignée de personnages modérément enclins à la joie de vivre, dont un Roland Dubillard aux faux airs de Claude Piéplu mélancolique, une caméra omnisciente, fendant les tranchées qui béent entre les immeubles agglutinés, s'engouffrant sans vergogne dans l'intimité des appartements, nous offre un panorama déprimant du Paris des seventies. Ici, la ville n'est plus qu'une vieille bête décrépite, aux portes de la mort, qui semble étouffer ses habitants en surnombre dans l'ultime étreinte péristaltique de ses bras nécrosés. L'audace de la musique, délivrée du moindre compromis, flirte avec une messe funéraire écrite à l'intention seule d'une humanité exsangue. On en hoquetterait presque de stupeur quand, l'espace d'une parenthèse éclair, Delerue réduit au silence ses choeurs d'outre-tombe pour accorder un brin de place à la joliesse douce-amère d'un accordéon, fragile rai de lumière.
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Haricolin
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Re: Georges Delerue

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J'ai une question. J'ai récemment vu a l'occasion de la poursuite de la filmographie de Belmondo "Les Morfalous" avec donc la sympathique musique de Delerue. Et une musique m'a sérieusement intrigué car elle m'a rappelé une autre musique. Est-ce que vous trouvez pas que la piste Nocturne après la bataille (j'ai pas de vidéo YT donc j'espère que vous avez l'album pour la réécouter mais on l'entend au tout début de cette vidéo (superbe réplique d'Audiard d'ailleurs) :


et The Kraken de Zimmer partage la même petite mélodie qui est d'un côté à l'accordéon et de l'autre a l'orgue ?


Soupçons... [monkey]
Scorebob
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Re: Georges Delerue

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Difficile d'en juger avec les dialogues par dessus, il faut donc essayer de voir ça ave la bof de Delerue si le morceau est listé bien sûr mais il y a comme un petit air en effet de ressemblance.
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Haricolin
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Re: Georges Delerue

Message non lu par Haricolin »

Le nom du morceau de Delerue c'est "Nocturne après la bataille" mais je n'ai pas d'extraits réellement sauf le début sur ce site
https://music.apple.com/fr/album/cent-m ... 1444213738
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Ratatouille
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Re: Georges Delerue

Message non lu par Ratatouille »

Lee Van Cleef a écrit : sam. 4 févr. 2023 20:25 Joe Versus the Volcano : avec un titre pareil, rien ne serait plus facile que d'imaginer l'une de ces farces patapouf, au choix savoureusement régressive ou tragiquement amputée de son lobe frontal, dont les Américains aiment à s'enticher. Quoique, la présence dans le rôle-titre (celui de Joe, hein, pas celui du volcan, précisons au cas où) du Tom Hanks première manière, c'est-à-dire flanqué de sa bouille ronde sur laquelle flotte un éternel air candide, bouscule un tantinet la donne en laissant penser à un ton plus inoffensif, voire benoît. Mais le film désamorce ces a priori en s'engouffrant dans une voie tout autre, celle de la comédie, comme prévu, mais mâtinée de finesses existentialistes, de romance tripartite et de surréalisme en Technicolor. Une recette bourrée de charme, dont je viens juste de grandement réévaluer les vertus après sa découverte d'antédiluvienne mémoire, qui m'avait laissé de glace.

Hélas, le film et son esprit assez particulier n'eurent jamais réellement droit à une digne descendance, la faute au colossal gadin par lequel toute l'entreprise se solda au box-office. Chienne de vie, va ! Delerue lui-même aurait pu lâcher un juron de dépit identique. Car à l'écran, sa musique fait les frais de mufleries répétées de la part du réalisateur John Patrick Shanley, qui lui préfère la chaleur de Ray Charles ici, où là Sergio Mendes et le hit intergalactique que demeure sa reprise de Jorge Ben Jor. Moult indélicatesses que le vieux Van Cleef, plutôt soupe au lait à l'encontre de quiconque s'avise de bousculer ses vaches sacrées, a souhaité corriger au moyen de ses armes létales :




N'empêche, Joe Versus the Volcano constituait pour le grand Georges un projet en or massif. Peut-être déjà affaibli par la maladie, mais nullement freiné dans les élans romantiques qui l'auréoleront d'une gloire sublime jusqu'à ce que s'époumonent les trompettes du Jugement Dernier (et même encore après), il offre au voyage supposément fatidique du prénommé Joe un thème bien moins funèbre que melliflu, et apaise les bleus à l'âme en les enduisant du baume revigorant de ses bois ciselés en maître primat ; puis, après avoir déchaîné l'ire de ses cuivres féroces sur le grain de fin du monde qui expédie droit vers les abysses le yacht de notre héros, le voici jaugeant d'un oeil amusé une peuplade d'indigènes de fête foraine, lesquels se voient gratifiés, en guise de chant tribal, d'une très fantaisiste variation de When Johnny Comes Marching Home. N'en jetez plus ! Pour Delerue, c'est carton résolument plein. Même constat en ce qui concerne le pavillon de mon oreille, tout gondolé de joie.



Vu le film en VHS quand j'avais 10 ans et j'ai directement accroché et doncpeut-être est-ce pour cela que je suis bibliothaicaire... avec des néons qui vous piquent les yeux, qu'il ne vous ait pas possible d'avoir un fleur car attention cela peut attirer les insectes... et qu'au final on tombe ou on croit tomber malade...

Merci pour ce rappel...

Et on part se sacrifier... avec toujours les mêmes dames... jusqu'à la tempête... intérieure ou extérieure... et ce lever de lune...

Ce film est incompris...



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