Ecoutez ça. C'est du lourd.

De l'orchestration lourde au premier degré ! Ils ont pas répété une seconde, ils déchiffrent les notes en même temps, d'où le rythme à la 45T sur une vitesse de 33T. Même le Philharmonique de Prague n'aurait pas osé à ses premiers enregistrements

Non, plus sérieusement, la meilleure ré-interprétation, c'est la version chantée de feu Luciano en 2003 :


ou plus récente en 2009, celle d'André Bocelli :

Ca me fait penser à l’orchestre de la MJC ! Beaucoup d’envie et d’enthousiasme mais le résultat n’est pas toujours au rendez-vous. Mais rien que le fait d’avoir des bofs au répertoire je dis bravo.

oui mais massacré comme ça... c'est du travail de cochon....

En même temps, la partition de Gladiator, c'était à leur portée, non ?

Ca me fait penser il y a un petit moment à l'occasion de la sortie de Pirates of the Caribbean: at World's End Sur la grande place du centre commercial (du coté de chez moi) à coté du cinéma un petit orchestre s'y trouvait et jouait une suite du 1 et du 2, c'était pas très long mais ca tournait en boucle pendant longtemps. Une très bonne initiative et l'ensemble était loin d'être dégueu!

Sinon pour en revenir à Gladiator, je me souviens de ceci (d'ailleurs c'était pas ici que ca avait été relevé? )

ça nous manquait le style Richard Clayderman !

Oh misère !

Je préfère ça

Je suis méga-fan de ces deux là ! Et en +, quand ils font du Morricone, c'est top !

La plus belle version de Gladiator, et plus particulièrement du fameux The Battle, objet d'autant de louanges que de critiques véhémentes ? A dire la vérité, les choses sont fort simples. Pour tout ce qui touche aux méchantes percussions, c'est ici que ça se passe ; quant à la conclusion plus élégiaque du morceau, vous seriez tous bien avisés d'aller musarder de ce côté.

Forrester a écrit :Je préfère ça

de l'art de faire sonner les cloches ! (ça tombe bien !) excellent !

Lee Van Cleef a écrit :La plus belle version de Gladiator, et plus particulièrement du fameux The Battle, objet d'autant de louanges que de critiques véhémentes ? A dire la vérité, les choses sont fort simples. Pour tout ce qui touche aux méchantes percussions, c'est ici que ça se passe ; quant à la conclusion plus élégiaque du morceau, vous seriez tous bien avisés d'aller musarder de ce côté.

merci maître Lee de nous rappeler la vacuité du teuton milliardaire ! N'oublions pas tout de même ceci (surtout à partir de 2:44) !

Waouh, merci Walden pour le lien... une jolie perle que ce concert.