Je suis persuadé que beaucoup de béo-phile ou autres … sont très content de voir sortir une B.O comme Quo Vadis sur un support digne de ce nom et avec une orchestration enfin a la hauteur de l’œuvre…. Surtout dans la qualité sonore, c’est sur que pour ceux qui sont rebuté par de mauvais enregistrement sur de mauvais support, vont découvrir cela avec passion et c’est tant mieux……
Pour certain autre ça passe moins bien, je suis heureux avec mon vinyle moi.
Mais je n’en dégoûte pas les autres, j’émet une opinion qui est la mienne rien de plus.
Quand au loto ! arf ……. Je me verrais bien en train de me faire une play liste de tout ce que je voudrais voir jouer en concert par morricone, louerais la meilleurs salle de Paris et me paierais le maestro pour moi et les amoureux de sa music ! Jusqu’à là, je me contenterais de son concert d’Anvers……… tu vois, je me contente de joie simple !

Enfin reçu et écouté. Je vais faire simple: j'avais adoré le ré-enregistrement de El Cid, il en est de même pour cette autre splendeur épique de Rozsa. Je connais mal le film (devant lequel il est difficile de ne pas pioncer...), donc l'écoute de ce score se fait pour ma part uniquement pour la musique, et non pas pour la réminiscence de passages de l'oeuvre pour laquelle cette composition est dédiée, d'où l'idéal d'un ré-enregistrement au son puissant et à l'interprétation de qualité, le tout emballé dans un double album qui a l'intelligence de se conclure par les suites condensant le tout en quelques mouvements magiques.

Que la collection se poursuive !

(Le voleur de Bagdad ?)

en me replongeant dans cet enregistrement du groupe Atrium Musicae de Madrid, MUSIQUE DE LA GRECE ANTIQUE, j'ai reconnu deux sources mélodiques des thèmes de Miklos Rozsa pour QUO VADIS. Histoire romaine certes, mais en l'absence de fragment de musique romaine ( si ce n'est le fragment d'Hecyra de Terence, qui, reconstitué dure...20 secondes...) et la culture grecque ayant été adaptée par les Romains, Rozsa a puisé dans les quelques fragments reconstitués.

hymne à Némésis pour l'hymne à la résurrection dans Quo Vadis ( a 2mn25)


épitaphe de Seikilos (la chanson de Néron : )



A noter que Gabriel Fauré avait en son temps harmonisé un hymne a Apollon découvert par l’école d’Athènes a Delphes (opus 63bis)