Stelvio Cipriani
Re: STELVIO CIPRIANI.
Tu vas rigoler, c'est une fonction que je n'utilise jamais même si j'enrage en entendant un score super redondant.
Re: STELVIO CIPRIANI.
Je ne programme jamais lorsque j'écoute pour la première fois un cd, ensuite, suivant ce qui en ressort, j'utilise la programmation car je ne suis pas masochiste non plus. L'auto-flagellation, ce n'est pas mon truc!Scorebob a écrit :Tu vas rigoler, c'est une fonction que je n'utilise jamais même si j'enrage en entendant un score super redondant.


Sinon, revenons à Cipriani avant que Rodolphe vienne nous tirer l'oreille.

Re: STELVIO CIPRIANI.
Parfois tu finis par croire que le cd est rayé mais non: c'est l'alternate cue # 27.
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Re: STELVIO CIPRIANI.
tu sais cipriani decline au même titre que d'autre compositeur italien le faisait a la même époque ,mais je n'ai jamais trouvé chez un autre compositeur cette classe ! jamais....... donc je ne te dirais pas que il diavolo ne me plaît pas mais la réédition ressemble vraiment a du remplissage " sous cette forme uniquement" toujours le même theme decliné jusqu'a plus soif ! cela peux être interessant pour les fondus du theme " et j'en suis" mais a écouté pour un melomane cela n'as résolument aucun interêt.....Janus a écrit :Je suis bien d'accord, toutefois, il arrive aussi que je trouve certaines éditions cd frustrantes. C'est ce qui m'est arrivé en réécoutant IL DIAVOLO NEL CERVELLO du même MORRICONE, très belle partition, seulement, le cd en ma possession (le japonais) qui contient l'équivalent du 33tours de l'époque, ne me semble pas assez complet, trop court. A vrai dire, beaucoup de ces musiques méritaient bien quelques rajouts utiles. C'est une affaire de Juste milieu qui n'est pas toujours respecté. Sans ce respect d'un juste milieu, on passe ainsi d'un cd trop court à un cd trop long!Scorebob a écrit :Et c'est pourquoi je ne court pas derrière les versions expanded de Morricone qui sortent à la pelle en ce moment, leur redondance a tendance a rendre leur écoute lassante et a nuire à la qualité de l'oeuvre. Une bonne présentation de l'essentiel comme le préconisait Jerry Goldsmith suffit parfois amplement. Du coup certaines premières éditions sont largement plus écoutable.
Je suis entièrement d'accord avec Rodolphe sur l'art de la déclinaison qui, selon moi, est une qualité importante que j'aime retrouver chez un compositeur, et avec MORRICONE (je connais beaucoup moins CIPRIANI) je suis généralement servi étant donné qu'il est un véritable maître dans ce domaine.
Je trouve totalement approprié que dans une partition de cinéma, un magnifique thème bénéficie de déclinaisons, que ce soit sur le plan du rythme, de l'instrumentarium ou encore de l'instrument soliste s'il y en a un. L'art de la déclinaison est un travail de composition à part entière. Maintenant, je préférerai toujours un cd répétitif qui contient des thèmes forts, marquants, à un cd où se succèdent 15 thèmes différents tous aussi fades les uns que les autres. Après, il arrive parfois (même chez Morricone) de tomber, à l'écoute d'une B.O., sur un superbe thème et de n'y trouver, hélas, aucune reprise, aucune déclinaison. C'est quelque chose de très frustrant aussi, en tout cas pour moi.
et c'est vrais que des scores comme ca il en a fait un paquet quand même....... c'est toujours pareil c'est tres aléatoir... autant il y a des choses qui ressortent et il y a un vrais travail derriere par l'editeur... autant tu peux tomber sur ce genre de B.O qui n'ont qu'un interêt relatif et s'adresse peux être aux collectionneur.....ce qu'ils ont fait sur" cosi come sei" est vraiment formidable par exemple ! c'est un delice...... je crois qu'il faut se fier au travail de l'editeur GDM en particulier, je n'ai jamais été deçus " je touche du bois"
Re: STELVIO CIPRIANI.
La première édition cd de IL DIAVOLO NEL CERVELLO (la Japonaise) n'est pas du tout répétitive puisqu'elle est l'équivalent du 33tours. J'ignorais même qu'ils en avaient sorti une version à rallonge. Maintenant, il est clair que je vais m'en contenter. C'est une très bonne B.O. au demeurant. Comme je l'ai écrit plus haut, je ne cours pas systématiquement après les versions à rallonge. C'est au cas par cas.
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Re: STELVIO CIPRIANI.
j'ai le CD 22 titres edité chez dagored... il semble même qu'il y en ai un autre de sortie chez le même editeur de 15 titres... j'avoue que j'ai moi même du mal a m'y retrouvé parfois
Ah oui, c'est du grand art répétitif

Ah oui, c'est du grand art répétitif

Re: STELVIO CIPRIANI.
Bien moi j'ai la version japonaise à 10 titres que je trouve un peu courte... J'en déduis donc que l'édition raisonnable est de 15 titres. 

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Re: STELVIO CIPRIANI.
d'ou le quiproquo
oui je crois que,que le 15 titres serais suffisant.........

Re: STELVIO CIPRIANI.
Bon revenons à Cipriani en effet et j'en reviens à mes moutons. J'ai écouté l'extrait de Théorème mais je pensais en fait à des morceaux beaucoup plus sirupeux comme par exemple ce qu'avait fait Francis Lai sur Love Story ou certains passages de Cosi Come Sei de Morricone. Ce style très particulier, assez romantico-kitsh, entre musique classique et variété. En fait je crois que dés la fin des années 60, Cipriani ainsi que Morricone ou Francis Lai d'ailleurs, ont clairement était influencés par les compositeurs brésiliens de la Bossa Nova comme par exemple Tom Jobim qui mêlait souvent des mélodies populaires à des arrangements orchestraux très feutrées. Je suis pas trop expert dans le domaine (Si K Figaro était là, il se régalerait je pense) mais il me semble que l'inspiration à trouver dans ce domaine est certainement là-dedans. A la différence que les compositeurs de musiques de films, et particulièrement les italiens, ont pas mal rajoutés de sirop et de kitsch en forçant délibérément le trait sur la simplicité des orchestrations. Je pense par exemple à tout un tas de partitions de ce genre comme celles de Riz Ortolani sur Non si sevizia un paperino ou Pippo Caruso avec Maladolesenza.) La première musique de ce style là, composé par Cipriani, il me semble que c'était d'ailleurs Anonimo Veneziano, composé en 1970.
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Re: STELVIO CIPRIANI.
Pour ce que tu cherche il y as de belle chose sur la compil dont je parle plus haut… je ne trouve pas les pistes sur internet… il s’agit de la piste 06 de la polizia chiede auto.
Pour le sirupeux façons bossa, là aussi il faut se retourner sur Morricone avec le fabuleux morricone & Chico Buarque… je ne suis pas sur a cent pour cent mais presque….. il a fait chanté d’ailleurs pas mal d’artiste dans ce genre là a l’epoque dont « le casse »
De Cipriani tu as ça !
apres tout le monde y a mis un peu sa patte… DE NICO FIDENCO A VLADIMIR ……
Pour le sirupeux façons bossa, là aussi il faut se retourner sur Morricone avec le fabuleux morricone & Chico Buarque… je ne suis pas sur a cent pour cent mais presque….. il a fait chanté d’ailleurs pas mal d’artiste dans ce genre là a l’epoque dont « le casse »
De Cipriani tu as ça !
apres tout le monde y a mis un peu sa patte… DE NICO FIDENCO A VLADIMIR ……
Re: STELVIO CIPRIANI.
En fait ma question initiale c'était surtout de savoir si c'était Stelvio Cipriani qui était un peu à l'origine de ce genre musical dans la musique de film. Mais je pense en fait que c'est dû principalement à Francis Lai car déjà en 1967 avec Vivre pour vivre, ou La Leçon Particulière en 1969 il composait dans ce style là. Cipriani a certainement dû reprendre le procédé ; par contre il a apporté certaines améliorations je pense, notamment au niveau du jeu pianistique, qui me parait plus virtuose et aérien. C'est surtout cet aspect là à mon avis qui fait se démarquer Cipriani des autres compositeurs.
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Re: STELVIO CIPRIANI.
Je pense qu'il te faut te procurer theoreme de morricone..... je n'ai pas trouvé sur le web les pistes que je voulait te faire écouté , mais si ta question etait connaître qui est a l'origine du bossa dans la musique de film il y as de forte chance qu'en effet cela tourne autour de ses trois là ! maintenant pour son jeu au piano, je ne vois pas trop ce que cela a a voir avec le style bossa a l'ecran
comme te l'as dis janus , morricone n'est pas un pianiste de formation, cle ne l'as pas empecher d'être un tenor du genre quasiment au depart...
En fait je ne comprends pas trop ou tu veux en venir......

En fait je ne comprends pas trop ou tu veux en venir......
Re: STELVIO CIPRIANI.
Bon je sais c'est un peu embrouillé ma question... En fait je me demandais surtout si Cipriani avait apporté des choses fondamentales à la musique de film, comme l'a pu faire par exemple Morricone où s'il s'était juste contenté de reprendre les formules des autres. Bon je pense pas qu'il ait véritablement innové c'est évident mais il a sans doute dû améliorer certains procédés, notamment grâce à son style pianistique qui me parait plus maitrisé que ceux des autres compositeurs susnommé.
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Re: STELVIO CIPRIANI.
oh, je crois qu'ils y ont tous un peu contribué...... mais pour ce qui est de l'innovation je te dirais plutôt que c'est dans la musique de polar italien qu'il s'est distingué des autres jusqu'a lancé une mode... il est d'ailleurs resté nettement au dessus de ses corelegionnaire " morricone y compris !"
Son jeu au piano ou ses veritables compositions avec cet instrument sont a allé cherché dans ses B.O de veines un peu plus classique comme Piccole Labbra dont on parl ait plus haut , Dedicato a una Stella etc etc….
Son jeu au piano ou ses veritables compositions avec cet instrument sont a allé cherché dans ses B.O de veines un peu plus classique comme Piccole Labbra dont on parl ait plus haut , Dedicato a una Stella etc etc….
Re: STELVIO CIPRIANI.
Tout ça me semble juste effectivement. C'est de cette façon que je vois les choses aussi. Et avec le recul, ça me paraît encore plus limpide.Julien a écrit :Bon je sais c'est un peu embrouillé ma question... En fait je me demandais surtout si Cipriani avait apporté des choses fondamentales à la musique de film, comme l'a pu faire par exemple Morricone où s'il s'était juste contenté de reprendre les formules des autres. Bon je pense pas qu'il ait véritablement innové c'est évident mais il a sans doute dû améliorer certains procédés, notamment grâce à son style pianistique qui me parait plus maitrisé que ceux des autres compositeurs susnommé.
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Re: STELVIO CIPRIANI.
Tu peux developpé stpJanus a écrit :Tout ça me semble juste effectivement. C'est de cette façon que je vois les choses aussi.Julien a écrit :Bon je sais c'est un peu embrouillé ma question... En fait je me demandais surtout si Cipriani avait apporté des choses fondamentales à la musique de film, comme l'a pu faire par exemple Morricone où s'il s'était juste contenté de reprendre les formules des autres. Bon je pense pas qu'il ait véritablement innové c'est évident mais il a sans doute dû améliorer certains procédés, notamment grâce à son style pianistique qui me parait plus maitrisé que ceux des autres compositeurs susnommé.

Re: STELVIO CIPRIANI.
Il n'y a rien à développer puisqu'il n'y a pas photo...rodolphe738 a écrit :Tu peux developpé stpJanus a écrit :Tout ça me semble juste effectivement. C'est de cette façon que je vois les choses aussi.Julien a écrit :Bon je sais c'est un peu embrouillé ma question... En fait je me demandais surtout si Cipriani avait apporté des choses fondamentales à la musique de film, comme l'a pu faire par exemple Morricone où s'il s'était juste contenté de reprendre les formules des autres. Bon je pense pas qu'il ait véritablement innové c'est évident mais il a sans doute dû améliorer certains procédés, notamment grâce à son style pianistique qui me parait plus maitrisé que ceux des autres compositeurs susnommé.

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Re: STELVIO CIPRIANI.
tu t'en sors pour se coup là mais ne reitere pas trop quand même !
tiens ! l'une et brune et l'autre blonde ! ce seras ton lot de consolation... vilain garnement

tiens ! l'une et brune et l'autre blonde ! ce seras ton lot de consolation... vilain garnement

Re: STELVIO CIPRIANI.
Elles sont superbes effectivement!...je parle des filles bien sûr...rodolphe738 a écrit :tu t'en sors pour se coup là mais ne reitere pas trop quand même !![]()
tiens ! l'une et brune et l'autre blonde ! ce seras ton lot de consolation... vilain garnement![]()

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Re: STELVIO CIPRIANI.
j'en sais trop rien, mais je me servirais bien de mon chizebouque pour aller beugler avec elles
mais on peux invité se Valdambrini ! il mettras de l'ambiance .......

Re: STELVIO CIPRIANI.
il est mort. Il fut soliste sur pas mal de thèmes composés par Morricone, notamment dans les années 80.rodolphe738 a écrit :j'en sais trop rien, mais je me servirais bien de mon chizebouque pour aller beugler avec ellesmais on peux invité se Valdambrini ! il mettras de l'ambiance .......
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Re: STELVIO CIPRIANI.
oui j'ai vus ca sur le net... je ne connaissait pas se bonhomme. sur quelle partition il oeuvre mon bon janus ? que j'aille ecouté cela tout de suite......
Re: STELVIO CIPRIANI.
En fait, pour être plus précis, on touche là à tout ce qui fait la différence entre la vraie et grande bossa nova et le lounge, celui-là même qui a fait les beaux jours du cinéma des années 60-70. La différence donc, se situe en particuliers sur le plan de l'harmonie, car si la grande bossa, celle de Jobim, Valle, Lobo et tant d'autres s'est souvent construite autour d'une matrice faite d'harmonies, d'accords directement issus de Debussy, Ravel, Koechlin, et même Messiaen (ainsi que d'orchestrations en conséquence, donc très impressionnistes elles aussi), harmonies savantes auxquelles ils ont mêlé des rythmes issus du folklore sud-américain pour enfin obtenir l'alchimie que nous connaissons depuis...Julien a écrit :En fait je crois que dés la fin des années 60, Cipriani ainsi que Morricone ou Francis Lai d'ailleurs, ont clairement était influencés par les compositeurs brésiliens de la Bossa Nova comme par exemple Tom Jobim qui mêlait souvent des mélodies populaires à des arrangements orchestraux très feutrées. Je suis pas trop expert dans le domaine (Si K Figaro était là, il se régalerait je pense) mais il me semble que l'inspiration à trouver dans ce domaine est certainement là-dedans. A la différence que les compositeurs de musiques de films, et particulièrement les italiens, ont pas mal rajoutés de sirop et de kitsch en forçant délibérément le trait sur la simplicité des orchestrations. Je pense par exemple à tout un tas de partitions de ce genre comme celles de Riz Ortolani sur Non si sevizia un paperino ou Pippo Caruso avec Maladolesenza.) La première musique de ce style là, composé par Cipriani, il me semble que c'était d'ailleurs Anonimo Veneziano, composé en 1970.
... et bien pour le lounge, et en particuliers le lounge de cinéma (celui de Mancini, Morricone, Rota, Lai et consort) c'est assez distinct, puisque celui-ci s'articule, dans 90% des cas, autours d'harmonies beaucoup plus simples en réalité, beaucoup plus consonantes, et même d'avantage proches des harmonies baroques ou classiques (voir parfois romantiques) que des harmonies impressionnistes et post-impressionnistes des grandes bossa.
En très très schématique bossa nova = impressionnisme/harmonies modales et lounge = harmonies plus simples et moins modernes.
Cela dit, chez un gars comme Schifrin (et pas seulement lui d'ailleurs) c'est souvent beaucoup plus compliqué, et il lui est souvent arrivé, lorsqu'il donnait dans le genre de composer des morceaux beaucoup plus proches de la bossa que du lounge au niveau de la complexité et du travail harmonique.
PS: Tiens, en rapport à cette discussion, en ce moment je me réécoute d'ailleurs Travolti da un Insolito Destino nell'Azzurro Mare d'Agosto de Piccioni et c'est toujours aussi beau

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Re: STELVIO CIPRIANI.
Traviolti da un Insolito Destino nell'Azzurro Mare d'Agosto ca prendras jamais une ride une partition intemporel de piccioni.
Lounge, lounge vous en avez de bonne vous les jeunes de maintenant ! tu vas au boudha bar ou a l’hotel coste il t’appele ca du lounge aussi et crois moi que ca n’as vraiment rien a voir avec les partitions de morricone ou de lalo ..... qui soit dit en passant mêle plus des influence lié au tango argentin qu’autre chose…… essaye d’ecouté les 3 ou quatre plage de thx1138 « SOURCE 1, 2, et 3 » pour t’en convaincre.
et pour en revenir au lounge c’est un terme tres nouveau aussi, les mancini , morricone et consorts ne se posait pas la question de savoir si ce qu’il composait etait « lounge » ou pas, ils mêlait plusieurs influence très a la mode a l’époque et 40 ans plus tard, un type plus intelligent que les autres a sortis le mot « lounge » et voila que s’en était ! quand a nino rota faisant du lounge alors là je veux écouté ca !

Lounge, lounge vous en avez de bonne vous les jeunes de maintenant ! tu vas au boudha bar ou a l’hotel coste il t’appele ca du lounge aussi et crois moi que ca n’as vraiment rien a voir avec les partitions de morricone ou de lalo ..... qui soit dit en passant mêle plus des influence lié au tango argentin qu’autre chose…… essaye d’ecouté les 3 ou quatre plage de thx1138 « SOURCE 1, 2, et 3 » pour t’en convaincre.
et pour en revenir au lounge c’est un terme tres nouveau aussi, les mancini , morricone et consorts ne se posait pas la question de savoir si ce qu’il composait etait « lounge » ou pas, ils mêlait plusieurs influence très a la mode a l’époque et 40 ans plus tard, un type plus intelligent que les autres a sortis le mot « lounge » et voila que s’en était ! quand a nino rota faisant du lounge alors là je veux écouté ca !

Re: STELVIO CIPRIANI.
Oui, je connais bien THX 1138, puisqu'il s'agit d'une de mes BO favorites de Shifrin avec Hell in the Pacific ainsi que les Les Félins, et bien sûr que Shifrin a parfois été influencé par le tango de son pays d'origine et même fabuleusement inspiré (une piste comme "La Represion" dans sa BO pour le film sobrement intitulé Tango ça déchire
).
Concernant Rota, lorsqu'il fait dans le lounge (et il l'a fait à de nombreuses reprises), c'est dans un lounge très typé "à la manière de" ce qu'on peut entendre dans les films de Jacques Tati mis en musique par Romans, Barcellini, Lemarque et Dumont. Par exemple dans Boccaccio 70 t'as la piste "Radiolina", du moins les 2 premières minutes (puisque la piste dure 4min), qui en sont très caractéristiques. Mais c'est vrai que c'est assez vaste le lounge finalement
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Concernant Rota, lorsqu'il fait dans le lounge (et il l'a fait à de nombreuses reprises), c'est dans un lounge très typé "à la manière de" ce qu'on peut entendre dans les films de Jacques Tati mis en musique par Romans, Barcellini, Lemarque et Dumont. Par exemple dans Boccaccio 70 t'as la piste "Radiolina", du moins les 2 premières minutes (puisque la piste dure 4min), qui en sont très caractéristiques. Mais c'est vrai que c'est assez vaste le lounge finalement
