J'en ai lu quelques-uns. Il y a bien l'album d'Elia Cmiral avec ses musiques de films revisitées pour "trio classique" qui m'intrigue, même si, jusqu'ici, je n'ai jamais été charmé ni marqué par l'une de ses B.O.. A voir éventuellement...

Merci pour le beau boulot les gars (et la fille )... Je me doute que ça a du vous prendre un sacré paquet de minutes pour digérer tout ça !

Excellente surprise que ce Genius d'Adam Cork. Très belle écriture, très joli final, quelque part entre Thomas Newman et Rachel Portman. Je dis oui !
Merci Undescores!

Un grand merci à l'UnderScorama d'avoir porté mon attention sur "Hurry Sundown" d'Hugo Montenegro.
Achat immédiat après l'écoute de la première piste...

Pas de vacances non plus en août sur UnderScores... et l'UnderScorama d'août est là pour le rappeler !

YES.

Merci, camarades, de penser à nous.

Et je suis bien d'accord avec vous quant à la musique de l''Eté de Kikujiro". C'est clairement un de mes cinq scores préférés du Maître. Et le film est une véritable pépite, qui fait lui aussi partie de mes films préférés.

Concernant "Nine Lives, dommage qu'il n'existe pas de CD, car je l'aurais instantanément acheté. Allez savoir pourquoi...

C'est la rentrée aussi pour l'UnderScorama, que voici donc dans sa version de septembre...

Toujours un plaisir de vous lire <3

Certains ont même réussi à caser le nom de Goldenthal quelque part

Vu, noté et approuvé.

Surtout, gentlemen, n'hésitez pas à retourner chiner parmi les colonnes du tableau de ce mois-ci : sans tambour ni trompette, un nouveau chroniqueur stakhanoviste (ou qui ne tardera plus à le devenir, s'il tient à rester dans les petits papiers du diablotin écarlate...) s'est impétueusement jeté dans l'oeil du cyclone appelé UnderScorama, ses deux têtes toutes prêtes à ingurgiter de la partoche en quantités pantagruéliques !

Et voici, pas vraiment en avance, l'UnderScorama d'octobre !

Merci, je le lis avec toujours autant d'intérêt
Bien tenté par un "petit" Velazquez...

Je lis une page. Je cherche l'album dans Apple Music. Je le mets en écoute. Je passe à la page suivante...

Chaque mois, ce petit rituel m'emplit de joie <3

Suite à la lecture comme toujours religieuse du nouvel UnderScorama, j'adresse un vibrant appel à mes estimés et stakhanovistes collègues. Ceci afin d'obtenir une définition claire, rigoureuse et sans équivoque d'un terme particulièrement usité dans leur jargon : "pro". Rien que ce mois-ci, je l'ai vu employé à une fréquence affolante, avec pour résultat de jeter dans mon esprit le trouble quant à son appréciation. Prétendre d'un score qu'il est "pro" semble, a priori, révélateur de formidables qualités. Néanmoins, l'hypothèse s'effrite face aux scores concernés, presque tous des résidus de fausse couche qui martyrisent les oreilles au lieu de leur conter fleurette. Par ailleurs, les musiques tenues pour de grandes réussites par mes confrères ne sont jamais, elles, qualifiées de "pros". Conclusion : sous leur plume, ledit vocable aurait donc plutôt valeur de grief assassin — ce que je ne peux m'empêcher de trouver malgré tout antithétique. Qui sait, peut-être que le rapport à l'image entre de façon décisive en ligne de compte ? Mais non, décidément non, tout ces scores ayant été écrits, en majorité, pour des films récents que mes honorables camarades ne peuvent avoir vus et ne verront certainement jamais... Ma lanterne vient donc de rendre l'âme, me laissant perdu au milieu des épais tourbillons d'un brouillard effroyablement opaque. Frères, volez au secours du vieux Van Cleef ! Mais qu'est-ce que c'est, bon sang, un score "pro" ?

Pour ma part, ami Lee, lorsque j'utilise le terme "pro" c'est pour désigner un score fonctionnel, écrit correctement mais sans imagination. Bref, un score "pro" est un score qui ne brille guère que par sa fonction : soutenir l'image, sans la transcender ni lui apporter une autre signification. Je t'accorde que cela revêt aussi (venant de moi) un petit caractère "péjoratif"... J'admets aussi bien volontiers que je suppute pas mal en disant qu'un score est "pro" : je l'imagine en effet soutenir l'image de manière basique, tout en reconnaissant que pour utiliser un pareil vocable, il eut fallu que je puisse voir les films en question... Bref, ami Lee, tu nous poses une bien belle colle, c'est vrai...

La définition de Sam est assez appropriée, un score "pro" est en effet un score troussé avec le professionnalisme de celui qui met ce qu'il faut où il faut sans trop chercher plus loin. Pas forcément de côté péjoratif en ce qui me concerne par contre, il y a les scores "pro" **, **1/2 et ***. Disons que c'est une figure de style, mais je pense aussi que Lee nous taquine gentiment car il doit bien se douter de la signification de la chose selon la tournure des notules... J'ajouterai qu'il me semble n'avoir utilisé le terme qu'une seule fois ce mois-ci et pour un film qu'en l'occurrence j'ai bel et bien vu...

Pro ou pas pro la critique du Debbie Wiseman a attisé ma curiosité au point de commander le CD. Merci à vous de me faire dépenser des sous, vous êtes des pros

Mortimer a écrit :Merci à vous de me faire dépenser des sous, vous êtes des pros

Prends garde à toi, Morty ! Eu égard à la définition grisâtre qu'ils ont de ce terme, les hérauts de l'UnderScorama pourraient prendre offense de ton compliment.

Finalement, "pro" c'est comme "efficace", une appréciation fluctuante qui n'engage pas à grand-chose, mais sous-entend au moins du savoir-faire, à défaut d'inspiration musicale. Ce n'est pas si flou, finalement...

Lee Van Cleef a écrit :

Mortimer a écrit :Merci à vous de me faire dépenser des sous, vous êtes des pros

Prends garde à toi, Morty ! Eu égard à la définition grisâtre qu'ils ont de ce terme, les hérauts de l'UnderScorama pourraient prendre offense de ton compliment.

Dadid a écrit :Finalement, "pro" c'est comme "efficace", une appréciation fluctuante qui n'engage pas à grand-chose, mais sous-entend au moins du savoir-faire, à défaut d'inspiration musicale. Ce n'est pas si flou, finalement...

Parfaitement, c'est comme un prof qui fait obséquieusement son programme (contrairement à certains qui ne finissent jamais le leur) mais sans âme (contrairement à d'autres qui communiquent autre chose qu'un programme ; une souplesse dans l'interactivité et une créativité). Parachever le programme tout en le dépassant, c'est là le coup de génie.

Un bon faiseur quoi.

Et effectivement "pro" n'a rien de péjoratif, c'est le fait d'avoir du talent, de faire son travail avec application et méthode, de répondre aux attentes de l'époque et d'avoir la reconnaissance du public et même des critiques lorsqu'elles estiment que la valeur d'un homme se mesure au succès remporté. Rares sont déjà ceux qui ont du talent. Alors pour ceux qui toisent le firmament d'un mètre singulier, on peut toujours "se brosser" pour les comprendre et les repérer.