Lucifer tout-puissant ! Qui parle d'écrire quoi que ce soit ? A propos de tels films, le commun des mortels a le sarcasme fécond et la désinvolture pendouillant à la commissure des lèvres. Leur visionnage n'en demeure pas moins une expérience sans pareille, qui rappelle et entérine de la plus fulgurante manière que le cinéma est d'abord un art
intensément visuel.
Nom d'un katana en porcelaine de Vienne ! En faisant hier le récapitulatif de mes (petites) corrections et (infimes) rajouts divers, j'ai bien failli passer à la trappe le seul véritable morceau saillant du lot :
un huitième extrait dont il m'a pris, comme une foucade, de grossir le cycle
Aliens. Par-delà l'efficacité viscérale que déploie feu Jamie, la musique plaquée intacte (ou presque. Allez, j'ai tout de même été contraint d'en sacrifier quelques secondes pour rétablir l'équilibre narratif) sur les étouffantes images des Marines descendant sans le savoir aux enfers, démontre, pour la énième fois, qu'il n'y avait jamais eu le réel besoin de l'éparpiller aux quatre coins de la planète LV-426 façon puzzle. Quel vandale, ce Cameron !