
Malheureusement les paroles et la chorégraphie ne seront pas assurées par A.R. Rahman.

Oliver Stone s'étant fait le thuriféraire des films commençant par un W, il était fatal que je finisse par m'emmêler les pinceaux... C'est bien sûr World Trade Center, cette somptueuse guimauve à l'héroïsme béat, qu'il fallait d'abord lire dans la phrase incriminée.Lee Van Cleef a écrit :vous avez vu Wall Street et W. ? Dieu, qu'il semble loin le temps de Wall Street et Heaven & Earth
Pas de tout le monde.Lee Van Cleef a écrit :... ou le trop oublié Seconds).
nonMisquamacus a écrit :Seigneur, suis-je normal ? Vais-je bien ?
Oui mais non. C'est pas du jeu. Toi tu me connais trop bien, tu sais que je suis à l'ouest. Les autres peut être pas. J'attendais de me faire rassurer !Gizmo a écrit :non
Une histoire tellement machiévélique que j'en ai fait des cauchemards quand j'étais petit!Emissary a écrit :Ce soir, sur FR3, Le Crime de l'Orient Express, aux accents raffinés de la partition signée Richard Rodney Bennett.
Il s'agit là d'une fort jolie partition, sans aucun doute, mais saura-t-elle faire front aux mastodontes cuivrés qui l'entourent de toutes parts ? Il y a en effet du très lourd au menu ce soir, avec le tonitruant Cliffhanger (l'un des meilleurs scores de Trevor Jones dans un registre résolument bourrin), le troisième Back to the Future d'Alan Silvestri (peut-être pas le plus abouti de la saga, mais j'ai un faible prononcé pour ses accents westerniens) et surtout, après le rendez-vous manqué de The Blue Max, l'épique et majestueux First Knight de Jerry the King, atout majeur d'un film au demeurant raté, où Richard Gere, sous la caméra amorphe d'un Jerry Zucker grimé en Richard Thorpe d'opérette, tente désespérément de nous faire croire qu'il incarne le fier Lancelot.Emissary a écrit :Ce soir, sur FR3, Le Crime de l'Orient Express, aux accents raffinés de la partition signée Richard Rodney Bennett.
Il ne faut pas oublier l'immense talent du plus "américain" des réalisateurs Français Mr Henri Verneuil aidé d'un des meilleurs scénaristes de polars à l'époque: J.Giovanni.Lee Van Cleef a écrit :Ennio Morricone est de sortie avec son classique Le Clan des Siciliens. Sa partition inventive est d'ailleurs le grand atout d'un film robuste et carré, mais bizarrement peu captivant. Dans le domaine très fourni du polar français, Gabin, Ventura et Delon ont fait nettement mieux chacun de leur côté.