Ecoute de Starman après avoir vu l'assez émouvant film. Bon... Le thème principal est vraiment beau pour le coup, vraiment émouvant et assez marquant sur la scène finale. Mais le reste... Un motif de tension fonctionnel sur les images mais oubliable autrement, le thème principal n'est jamais développé, juste repris sans quasiment aucune variation, à part deux trois mélanges avec le motif de tension et il y a plusieurs pistes de synthé qui ne font que monter et qui n'ont aucun intérêt. Heureusement que le thème principal est marquant et que l'album est bien foutu. Car sinon ça aurait déjà été oublié...

Même sentiment. Joli hymne synthétique d'influence Vangelis, de mémoire (je n'ai jamais écouté hors du film) le reste relève de l'ambiant mais puise sa force à l'image de cette épure quasi religieuse (ou cosmique) permise par les synthés. Je ne sais plus pourquoi Carpenter ne s'en est pas occupé, mais c'était un film de commande (ressorti des tiroirs du studio en réaction à E.T.) dont il n'avait pas la complète maitrise.

Dadid a écrit : ↑sam. 21 sept. 2024 12:43 Je ne sais plus pourquoi Carpenter ne s'en est pas occupé, mais c'était un film de commande (ressorti des tiroirs du studio en réaction à E.T.) dont il n'avait pas la complète maitrise.

Selon l'article d'Olivier sur la carrière de Carpenter en général sur Underscores, Nitzsche avait été imposé par le studio en même temps que la commande.

La version orchestrale par le City of Prague