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Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : jeu. 20 oct. 2011 17:03
par Edern
Oui mais la musique de Franz Liszt a été abondamment utilisée dans des dessins animés (la rhapsodie hongroise n°2) et ça, ça n'a pas de prix pour un béophile biberonné à "ça cartoon" :mrgreen:

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : jeu. 27 oct. 2011 02:10
par Lepithec
le score sonne comme un mélange entre The Four Feathers et Troy.
Aïe... TROY et moi, on n'est pas copains. J'aime beaucoup la version longue du film, mais pas le score. Je préfère la version Yared (je ne dois pas être le seul)... J'ai le souvenir (encore très vif) que le score de Horner m'avait tellement crispé pendant le film que je me demandais sérieusement si je n'allais pas quitter la salle (chose que je ne fais jamais, encore moins parce que la musique me gêne). Souvenir douloureux, donc. Mais peut-être que la BO mériterait une nouvelle écoute isolée, ce que je n'ai jamais fait je crois, ayant été traumatisé par la vision en salles...

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : jeu. 27 oct. 2011 11:27
par Wyatt Earp
J'adore moi aussi la version longue du film mais également le score de Horner. Cela dit, pour Black Gold, son influence se ressent essentiellement dans le love theme.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : sam. 5 nov. 2011 16:24
par Adequacy
Je permets, pour ceux que ça intéresse, de copier coller ici mes impressions sur la musique entendue dans le film :

Dix sept mois… C’est le temps qu’il nous a fallu attendre depuis The Karate Kid pour écouter une nouvelle partition de James Horner. Une attente longue comme une traversée du désert. Toutefois, dès le début du film, notre patience est récompensée par un moment envoûtant : les noms du générique défilent sur un fond noir, et ce durant plus de deux minutes, laissant la musique seule s’exprimer. A travers le développement de celle-ci, James Horner nous empreigne petit à petit de l’univers du film comme s’il nous ouvrait une fenêtre sur celui-ci. Tout se joue dans le contraste entre la chaleur de la voix de Fahad Al Kubaisi, proche de celle déployée par Rahat Nusrat Fateh Ali Khan dans Frères Du Désert, et le son cristallin, fragile du piano. La première image n’est pas encore arrivée mais les émotions apparaissent déjà. Les vingt cinq premières minutes du film confirmeront ce premier ressenti positif : la musique omniprésente mise en avant aide le réalisateur à présenter ses personnages et son histoire. L’absence de silence ou de pause s’avère significative tant elle démontre sa confiance envers le compositeur.
Puis, tout comme The Karate Kid qui présentait à chacun des premiers morceaux une grande diversité dans les orchestrations, James Horner nous offre également ici au cours des 100 minutes qui semblent avoir été composées pour le film, tout un panel de couleurs : la gravité (à travers un long et magnifique solo de cor), quand les deux fils Saleeh et Auda sont séparés de leur père, la douceur quand ils grandissent dans les jardins de la cité d’Hobeika, la beauté des grands espaces lorsque un avion survole cette dernière, l’ironie pour représenter les dépenses désintéressées de Nesib (Antonio Banderas) qui s’enrichit en trahissant le pacte passé avec son rival Amar (Mark Strong), père des deux garçons…
C’est donc le premier élément à retenir : James Horner, en grande forme, porte magnifiquement toutes les émotions qui traversent chaque scène du film, et cela même si des moments de musique se retrouvent repris et collés à l’identique à plusieurs endroits : les violons entendus dans la bande annonce (à 1’26), sont ainsi repris près de quatre fois afin d’illustrer un moment tragique, tout comme les cordes agitées (1’03) suivies de trombones grondants (1’14) interviennent dès qu’une menace surgit.

L’autre point important à retenir est que Or Noir est peut être la partition de James Horner qui se base le plus sur l’utilisation répétée d’un même thème tout au long du film. Ce thème, reprise obsédante de notes malheriennes (présentes dans Les Experts, Balto, Apollo 13 et Titanic), et qui s’épanouissait déjà pleinement au sein du chaos de Stalingrad, poursuit ainsi sa migration au sein de l’œuvre hornerienne. Sa signification identique suivant les films évoque la souffrance des corps et des êtres, le point de rupture entre espoir et désespoir. De tels moments se retrouvent fréquemment ici, notamment quand les personnages égarés dans le désert meurent de soif les uns après les autres. Toutefois, Or Noir pousse encore plus loin cette migration thématique, puisqu’à travers ses multiples variations James Horner s’approprie encore plus largement ce thème, l’intègre à son langage et développe avec lui des nouvelles couleurs : l’amour entre un prince et une princesse, la joie éprouvée suite à la découverte d’une source d’eau, une chevauchée épique… Ainsi, à la sortie du film, cette mélodie presque addictive nous reste à l’esprit et nous rappelle toute la gamme des émotions ressenties durant la séance.

Deux autres thèmes, secondaires, sont à signaler : dès que l’enfance et la perte d’un être cher sont évoquées, des notes jouées par un piano ou un violon soliste, évoquant Casper’s Lullaby, accompagnent la voix plaintive du chanteur qatarien, instaurant ainsi une musique intimiste et mélancolique du plus bel effet. Puis un motif hérité de Troie (pour l’entendre il vous faut réécouter par exemple The Wooden Horse And The Saking Of Troy de 8’56 à 9’16) résonne à plusieurs reprises quand l’enjeu se concentre sur la conquête du pouvoir.

« Tout ce qui a de la valeur ne se gagne que par l’amour ou par le sang. » dit le personnage principal du film. Tombé amoureux des images réalisées par son ami Jean-Jacques Annaud au cours des longues semaines que celui-ci a passé dans les dunes des déserts tunisiens, James Horner signe avec Or Noir une nouvelle musique majestueuse et de grande valeur, en symbiose avec les messages et les idées du film.

Note : le thème à 4 notes fait une apparition très discrète (comme celle à la fin de Harry’s Resignation dans Frères Du Désert) lors de l’annonce de la mort d’un personnage au cours de la deuxième scène du film.

Source : http://jameshorner.fr/or-noir-de-james- ... j-j-annaud

Si vous cliquez sur le lien vous pourrez lire et entendre Jean-Jacques Annaud qui s'exprime sur sa collaboration avec le compositeur.
Merci de m'avoir lu.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : sam. 5 nov. 2011 16:34
par Alien7
Perso, le résumé d'Adequacy sur BLACK GOLD ne me rassure absolument pas concernant le nouveau travail d'Horner...

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : lun. 7 nov. 2011 16:55
par Wyatt Earp
Adequacy a écrit :Je permets, pour ceux que ça intéresse, de copier coller ici mes impressions sur la musique entendue dans le film :

Dix sept mois… C’est le temps qu’il nous a fallu attendre depuis The Karate Kid pour écouter une nouvelle partition de James Horner. Une attente longue comme une traversée du désert. Toutefois, dès le début du film, notre patience est récompensée par un moment envoûtant : les noms du générique défilent sur un fond noir, et ce durant plus de deux minutes, laissant la musique seule s’exprimer. A travers le développement de celle-ci, James Horner nous empreigne petit à petit de l’univers du film comme s’il nous ouvrait une fenêtre sur celui-ci. Tout se joue dans le contraste entre la chaleur de la voix de Fahad Al Kubaisi, proche de celle déployée par Rahat Nusrat Fateh Ali Khan dans Frères Du Désert, et le son cristallin, fragile du piano. La première image n’est pas encore arrivée mais les émotions apparaissent déjà. Les vingt cinq premières minutes du film confirmeront ce premier ressenti positif : la musique omniprésente mise en avant aide le réalisateur à présenter ses personnages et son histoire. L’absence de silence ou de pause s’avère significative tant elle démontre sa confiance envers le compositeur.
Puis, tout comme The Karate Kid qui présentait à chacun des premiers morceaux une grande diversité dans les orchestrations, James Horner nous offre également ici au cours des 100 minutes qui semblent avoir été composées pour le film, tout un panel de couleurs : la gravité (à travers un long et magnifique solo de cor), quand les deux fils Saleeh et Auda sont séparés de leur père, la douceur quand ils grandissent dans les jardins de la cité d’Hobeika, la beauté des grands espaces lorsque un avion survole cette dernière, l’ironie pour représenter les dépenses désintéressées de Nesib (Antonio Banderas) qui s’enrichit en trahissant le pacte passé avec son rival Amar (Mark Strong), père des deux garçons…
C’est donc le premier élément à retenir : James Horner, en grande forme, porte magnifiquement toutes les émotions qui traversent chaque scène du film, et cela même si des moments de musique se retrouvent repris et collés à l’identique à plusieurs endroits : les violons entendus dans la bande annonce (à 1’26), sont ainsi repris près de quatre fois afin d’illustrer un moment tragique, tout comme les cordes agitées (1’03) suivies de trombones grondants (1’14) interviennent dès qu’une menace surgit.

L’autre point important à retenir est que Or Noir est peut être la partition de James Horner qui se base le plus sur l’utilisation répétée d’un même thème tout au long du film. Ce thème, reprise obsédante de notes malheriennes (présentes dans Les Experts, Balto, Apollo 13 et Titanic), et qui s’épanouissait déjà pleinement au sein du chaos de Stalingrad, poursuit ainsi sa migration au sein de l’œuvre hornerienne. Sa signification identique suivant les films évoque la souffrance des corps et des êtres, le point de rupture entre espoir et désespoir. De tels moments se retrouvent fréquemment ici, notamment quand les personnages égarés dans le désert meurent de soif les uns après les autres. Toutefois, Or Noir pousse encore plus loin cette migration thématique, puisqu’à travers ses multiples variations James Horner s’approprie encore plus largement ce thème, l’intègre à son langage et développe avec lui des nouvelles couleurs : l’amour entre un prince et une princesse, la joie éprouvée suite à la découverte d’une source d’eau, une chevauchée épique… Ainsi, à la sortie du film, cette mélodie presque addictive nous reste à l’esprit et nous rappelle toute la gamme des émotions ressenties durant la séance.

Deux autres thèmes, secondaires, sont à signaler : dès que l’enfance et la perte d’un être cher sont évoquées, des notes jouées par un piano ou un violon soliste, évoquant Casper’s Lullaby, accompagnent la voix plaintive du chanteur qatarien, instaurant ainsi une musique intimiste et mélancolique du plus bel effet. Puis un motif hérité de Troie (pour l’entendre il vous faut réécouter par exemple The Wooden Horse And The Saking Of Troy de 8’56 à 9’16) résonne à plusieurs reprises quand l’enjeu se concentre sur la conquête du pouvoir.

« Tout ce qui a de la valeur ne se gagne que par l’amour ou par le sang. » dit le personnage principal du film. Tombé amoureux des images réalisées par son ami Jean-Jacques Annaud au cours des longues semaines que celui-ci a passé dans les dunes des déserts tunisiens, James Horner signe avec Or Noir une nouvelle musique majestueuse et de grande valeur, en symbiose avec les messages et les idées du film.

Note : le thème à 4 notes fait une apparition très discrète (comme celle à la fin de Harry’s Resignation dans Frères Du Désert) lors de l’annonce de la mort d’un personnage au cours de la deuxième scène du film.

Source : http://jameshorner.fr/or-noir-de-james- ... j-j-annaud

Si vous cliquez sur le lien vous pourrez lire et entendre Jean-Jacques Annaud qui s'exprime sur sa collaboration avec le compositeur.
Merci de m'avoir lu.
C'est pas possible, tu as passé la projection du film à prendre des notes !

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : lun. 7 nov. 2011 18:57
par Adequacy
:D
Et encore le chargé de traduction m'a dit de faire court...

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mar. 8 nov. 2011 00:49
par Dadid
Cette description a au minimum le mérite d'être adéquate. :mrgreen: On sent l'oeuvre d'un fan (inconditionnel ?), le côté dithyrambe est un peu too much (la musique de Horner attire les poètes), mais le but est tout de même atteint : ça me donne envie de l'écouter.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mar. 8 nov. 2011 12:30
par Scorebob
J'AIME beaucoup James Horner et je suis curieux d'entendre son Or noir aussi, si l'homme a la réputation d'être un grand recycleur du patrimoine classique il a l'art de bien le faire et cela nous évite au moins l'utilsation à tours de bras des Carmina Burana et autres gros morceaux du répertoire a toutes les sauces dans quinzes films différents.
Sa version revisitée pour Glory est franchement réussie, si le temp track repose sur des airs classiques c'est quand même mieux que la revisitation de morceaux Rc par des compositeurs de la trempe de PATRICK DOYLE.
Le pillage du répertoire classique est excusable s'il est fait intelligemment.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 01:54
par Lepithec
Excuse-moi Adequacy, mais tu serais pas un ancien de feu la revue DREAMS TO DREAMS ? Aaah, que de souvenirs ! A chaque couverture l'affiche du nouveau Horner et son interview sur 5 pages (et les titres sur la couv avec des jeux de mots plus douteux les uns que les autres !)... :roll:

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 13:43
par Leary
Eh bien malgré la rhétorique pompeuse et le manque d'objectivité de certains rédacteurs, j'étais bien content de lire Dreams to dreams avec son lot d'analyses (qui ont rapidement concerné tous les compositeurs) et surtout d'interviews (Williams, Goldsmith, Kamen et tous les autres grands....) !! Je conserve précieusement chacun des numéros et serais heureux de continuer à lire à tel magasine.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 13:59
par Lepithec
Bien sûr, moi aussi. James Horner était la mascotte du magazine mais c'était vraiment complet et varié, et ce fut bien le seul magazine à proposer des interview exclusives et en français de Williams ou Goldsmith... C'est juste que les propos toujours dithyrambiques sur la musique d'Horner et la quasi-sacralisation du personnage étaient un peu ridicules, surtout quand Horner a commencé sérieusement à se répéter à la fin des années 90, après TITANIC... il était devenu parfois indéfendable, et pourtant ! Bien sûr tous les magazines de BO, même ceux aujourd'hui en ligne (UnderScores, Cinezik, Filmtracks...) ont leurs défauts et leurs chouchous, mais je constate toujours que James Horner a une sérieuse base de fans qui trouvent toujours du génie dans son moindre travail. Mais bon, je ne veux pas relancer le débat interminable et récurent pro/contre Horner... on l'a assez lu.

Attendons d'écouter BLACK GOLD ! Malgré mes réserves sur Horner (comme alien7), je suis quand même impatient d'écouter ça, car Horner reste un des grands maîtres de la BO de ces 30 dernières années.

Tiens c'est marrant je tombe par hasard sur la review de la musique de TROY sur Filmtrakcs avec une comparaison Horner/Yared : pas de pitié pour James, malgré le fait que je considère un peu ce site comme pro-Horner (d'après mes souvenirs) http://www.filmtracks.com/titles/troy.html

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 14:27
par Leary
Je suis d'accord, c'était parfois un peu ridicule. Je ne leur en veux pas trop car c'est eux qui m'ont plus ou moins fait "découvrir" Horner. J'adhérais à leurs propos car ça m'avait fait prendre avec un peu de retard plusieurs claques successives (Braveheart, Legendes d'automnes, Sneakers, Land before time, Fievel...) et on arrivait à son apogée en terme de succès auprès du public (Titanic, Zorro...). J'ai continué d'acheter vaillamment chacune des nouveautés, mais arrivé à Windtalkers et The Four Feathers, c'est devenu plus dur pour moi ! :lol: Depuis c'est plus parcimonieux (j'ai beaucoup aimé the new world et avatar, mais le reste...). Et comme ça, par pur feeling, j'attends beaucoup plus Cristiada que Black Gold (qui ne semble pas apporter de grandes nouveautés...).

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 17:42
par Krull
Lepithec a écrit :Bien sûr tous les magazines de BO, même ceux aujourd'hui en ligne (UnderScores...) ont leurs défauts
Ah tiens ? Lesquels ? :mrgreen:

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 19:35
par Lepithec
Et leurs qualités aussi bien sûr ! 8-)

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mer. 9 nov. 2011 20:24
par Manu
Et il sort quand ce Cd pour qu'on puisse juger vraiment de la qualité de l'oeuvre.... J'ai beau fouiner je ne vois pas de date .

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : jeu. 10 nov. 2011 15:07
par Lepithec
Et bien pour l'instant, il ne sort pas !

Pas d'infos en tout cas... Starfe, des pistes ?

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : lun. 14 nov. 2011 20:55
par Starfe
annoncé nulle-part...

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : lun. 14 nov. 2011 21:48
par Manu
J'espère qu'il va sortir ce CD... Ca devient lourd les éditions de musique de film !

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mar. 15 nov. 2011 13:59
par Dadid
Ou alors ça devient léger, au contraire ! :mrgreen:

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mar. 15 nov. 2011 21:27
par Manu
C'est bien joué !

Moi je trouve cela frustrant de devoir se dire qu'il y a une chance sur deux pour qu'une partition soit éditée. Je hais ce système de téléchargement vers lequel on on nous pousse de plus en plus. Je suis un collectionneur et me dire que peut-être un jour il n'y aura plus de choix....

Ca me déprime.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : mar. 22 nov. 2011 14:41
par Starfe
veille de la sortie du film et toujours rien en vue. peut-être pour sa sortie aux Etats-Unis qui aura lieu, apparemment, dans un mois.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : sam. 26 nov. 2011 08:02
par Walden
Making of du film BLACK GOLD sur le site Warner ou l'on entend pas mal de musique ou et l'on voit quelques images de l'enregistrement a Abbey Road


http://www.warnerbros.fr/making-of-or-n ... 2011-11-24

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : sam. 26 nov. 2011 10:43
par Shardar
OK, il nous faut un CD là ! Comme le dit Starfe, faut espérer que la sortie américaine fera bouger les choses.

Re: Horner sur Black Gold (Annaud)

Publié : sam. 26 nov. 2011 16:09
par Pazu
Oh pétard, mais c'est qu'elle a l'air vraiment bien la musique là dis donc ! Faut vraiment que j'aille voir le film :mrgreen: