Quelle ingratitude, tu mériterais un bon coup de sabre (un katana ?)... tu avais à ta disposition une eau d'Evian millésimée pour étancher ta soif !!

C'est à dire que le Vieux était en hypoglycémie et, après avoir finalement avalé l'entrecôte tant convoitée, il tomba dans une léthargie de laquelle il a eu bien du mal à émerger !

Décidément, la sobriété du Vieux finira par lui jouer de méchants tours !

Krull a écrit :après avoir finalement avalé l'entrecôte tant convoitée, il tomba dans une léthargie de laquelle il a eu bien du mal à émerger !

Je ne vois vraiment pas ce que le fait de s'accorder une sieste digestive peut avoir de répréhensible. A plus forte raison quand on est parvenu à un âge aussi pharaonique que le mien, jeune impertinent !

Greg a écrit :Décidément, la sobriété du Vieux finira par lui jouer de méchants tours !

Et voici que l'infâme Greg, ce faux frère que j'ai pourtant toujours supporté contre vents et marées, se joint à son tour avec une délectation sournoise au concert de lazzis dont je suis l'innocente victime ! Après m'avoir si sadiquement poignardé dans le dos, tu mériterais que je te fasse faux bond au sujet des "vandammeries" de Paul Hertzog. Mais puisque je suis malgré tout très curieux de savoir ce que tu pourrais bien bricoler autour de ces titres, qui répondent à tous tes critères de sélection les plus rigoureux (les films comme leur enrobage sonore sont assez emblématiques, je trouve, des mignardises auxquelles tu voues un amour dévorant), il ne me reste plus qu'à ravaler mon amertume et t'aiguiller vers ce très représentatif échantillon.

Cher vieux cow-boy, lire ta prose sera toujours un délice !
Maintenant, écouter du Paul Herzog le sera peut-être moins, mais puisque c'est toi, je veux bien essayer...

Compte rendu un de ces quatre si je survis !

Lee Van Cleef a écrit :Si je ne devais retenir qu'un seul fait saillant de cette UnderScores Party, aussi sympathique qu'à l'accoutumée en dépit des fielleuses tentatives de certains de détourner la conversation sur Trevor Rabin, ce serait l'expression extatique de Walden dévorant du regard le grand bock mousseux qu'on lui avait diligemment apporté. Il fallait le voir, le bougre, empli d'une gratitude muette, des larmes de joie perlant aux coins de ses yeux écarquillés par l'émotion... C'est en cet instant que nous avons tous mesuré le calvaire inhumain que représente, pour notre "Hornerien" de toujours, une vie de privations en tous genres sous l'inexorable ciel du Koweïtt.

elle etait belle la binouse c bien vrai !