Re: Ce soir sur VIRGIN 17 !
Publié : jeu. 13 août 2009 15:27
Ce doc est franchement catastrophique.
De l'art d'éviter de parler de John Williams (bon, allez, on évoque une partition pré-76), de virer toutes les cinq minutes au making of spécifique (que viennent faire les coulisses de Ni pour ni contre et l'itv promo de Taxi 3 là-dedans ?!), de s'emmêler les pinceaux avec le sujet de départ (c'est quoi le point de vue éditorial, en fait ?), de limiter l'oeuvre de Morricone aux films de Bebel, d'étaler comme de la confiture les réflexions philosophiques de Lerouge et Saada (pas des mauvais bougres du tout, mais ils ont besoin de contrepoint !), de se la jouer bobo du 16ème arrondissement (qui est cette fille qui écoute de la zik dans son canapé, puis fait cuire des pâtes ?)... Le tout filmé dans une louche, souvent flou ou dans le noir, ou de biais, ou sous une télé, ou contre un meuble, ou près d'une nappe à carreaux rouges de 1962.
Bref, c'est exactement l'exemple de documentaire sur la musique de film pour ceux qui refusent tout aspect "populaire" de la musique de film. Sûr qu'il vaut mieux parler de trois clampins qui bidouillent sur leurs ordis et leurs guitares pendant des heures, plutôt que d'évoquer les Goldsmith, Poledouris, Herrmann ou autres. Beurk de chez beurk !
De l'art d'éviter de parler de John Williams (bon, allez, on évoque une partition pré-76), de virer toutes les cinq minutes au making of spécifique (que viennent faire les coulisses de Ni pour ni contre et l'itv promo de Taxi 3 là-dedans ?!), de s'emmêler les pinceaux avec le sujet de départ (c'est quoi le point de vue éditorial, en fait ?), de limiter l'oeuvre de Morricone aux films de Bebel, d'étaler comme de la confiture les réflexions philosophiques de Lerouge et Saada (pas des mauvais bougres du tout, mais ils ont besoin de contrepoint !), de se la jouer bobo du 16ème arrondissement (qui est cette fille qui écoute de la zik dans son canapé, puis fait cuire des pâtes ?)... Le tout filmé dans une louche, souvent flou ou dans le noir, ou de biais, ou sous une télé, ou contre un meuble, ou près d'une nappe à carreaux rouges de 1962.
Bref, c'est exactement l'exemple de documentaire sur la musique de film pour ceux qui refusent tout aspect "populaire" de la musique de film. Sûr qu'il vaut mieux parler de trois clampins qui bidouillent sur leurs ordis et leurs guitares pendant des heures, plutôt que d'évoquer les Goldsmith, Poledouris, Herrmann ou autres. Beurk de chez beurk !