Restera plus que The Man (1972) et Black Patch (1957). Pour ce dernier, on peut lire à la fin du livret de Face of a Fugitive : In 2011, Intrada presented the world premiere release of City of Fear. Now, in 2021, we offer the first ever release of Face of a Fugitive. With regard to Black Patch, i am reminded of the phrase, "Hope springs eternal" Douglass Fake. Je pense donc que l'on peut espérer l'entendre prochainement. Rendez-vous en 2031 ??
Plus quelques tv-films composés dans les années 70's, Goldsmith aura été l'un des rares compositeurs à avoir eu sa filmographie éditée en quas-intégralité sur support physique. Un record !
Il faut ce qu'il faut pour le compositeur le plus imaginatif de tout les temps.
Ce "Chat-mousse", comme dirai notre ami l'emplumé , est une surprise inattendue : je croyais les bandes perdues, comme celles de "Don Angelo est mort".
Apparement comme ce dernier ce n'etait pas le cas : on va bientôt avoir l'intégrale des partitions "film" du grand Jerry
Bmcready a écrit :Plus quelques tv-films composés dans les années 70's
Et le vieux Van Cleef se prend soudain à rêver de l'exhumation, aussi bienheureuse qu'inattendue, de quelque musique rivalisant de prestance et d'énergie brute avec le redoutable Contract on Cherry Street... Reste-t-il seulement, perdu dans les méandres aux circonvolutions chaotiques de son oeuvre, un titre d'un pareil calibre ?
Quel succulent double-programme vintage, digne d'un drive-in emmitouflé dans de soyeuses ténèbres, nous aurait-on concocté aux temps glorieux du toujours aussi mélancoliquement regretté FSM !
Ce "Shamus" m'intrigue, je ne connaissais absolument pas, les extraits me font vraiment penser à du John Barry mode "Follow me !". Dans la discographie de Goldsmith, cela pourrait peut-être relever d'une filiation lointaine avec "Rent-a-cop" voire "The Russia house". La brièveté du score ne saurait être dissuasive, et je pense même qu'il s'agit désormais pour moi d'un argument massif de qualité musicale, car la synthèse d'un trait esthétique vaut mieux parfois qu'une pénible démonstration bavarde et vaine.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Verdict : c'est trop couuuurt ! Chouette thème, et des distortions du son étranges et sympas. 25mn, c'est short, mais quand on aime, on réécoute !
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »