Oui, ils sont amis. Et Sucker Punch, surtout les ponts orchestraux, doivent énormément à Bates, De Vries s'est surtout concentré sur les chansons proprement dites.McBain a écrit :Ils sont potes Snyder et Bates? En tout cas, je trouve son travail sur Sucker Punch excellent, mais je ne sais pas si c'est grâce à lui ou à De Vries
Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
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Wyatt Earp
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Conan 3D va démarré certainement à 11 millions de dollars. Pour un budget de 90 millions, donc adieu Conan 2. Nispel est plus chanceux au box office avec les films d'horreur que les films épiques dit donc...
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Lee Van Cleef
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Sans vouloir t'offenser le moins du monde, mon pauvre Apocaly, ils ne risquent guère d'être nombreux, ceux qui, comme toi, verseront des larmes de dépit sur cette séquelle morte-née. Car je viens de découvrir la chose au cinéma, et c'était, heu, comment dire... Diantre, les mots me font défaut ! C'est bien la première fois, tiens.Apocaly a écrit :donc adieu Conan 2.
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Liquid Snake
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
C'est vrai que les chiffres sont catastrophiques!
Pire que Green Lantern, c'est dire!
D'un côté, je suis content de voir un bousin se viander mais, en même temps, ça coule tout espoir de voir un bon Conan au ciné avant des décennies.
Quoi que si Schwarzenegger est libre pour King Conan...
Je sais, je rêve debout
Pire que Green Lantern, c'est dire!
D'un côté, je suis content de voir un bousin se viander mais, en même temps, ça coule tout espoir de voir un bon Conan au ciné avant des décennies.
Quoi que si Schwarzenegger est libre pour King Conan...
Je sais, je rêve debout
Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
NON MAIS C'EST PIRE, il a fait 3,7 millions en deux jours, tous les films qui sont sortie le meme jour n'ont pas fait 5 millions (Spy Kids 4, Le remake de Vampire vous avait dit Vampire, le mélo drame Un Jour avec Anne Hataway), une massacre totale, Conan qui a couté quasiment 100 millions risque de faire meme pas 30 millions o'O Ils aurait pu faire mieux par la suite en proposant un autre réalisateur (bien que Nispel est bon, son Massacre a la Tronçonneuse est excellent) mais là, en plus vu les critiques ils va perdre de jours en jours, et bref c'est la cata :'(
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Pierrebrrr
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
ah ! ça va me faire la journée ça....Apocaly a écrit : (bien que Nispel est bon(
bien fait pour ce Conan ssridi. Un bon Conan au ciné, il en a déjà eu un, à quoi bon un autre ?
"Le cinéma, c'est comme l'amour, quand c'est bien fait, c'est merveilleux, quand c'est mal fait, c'est un petit peu merveilleux aussi." S.Donen
Octobre 2014: 31 jours, 31 films :http://trainfantome.blogspot.com/
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Liquid Snake
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
King Conan : Crown of Iron inutile?Pierrebrrr a écrit :ah ! ça va me faire la journée ça....Apocaly a écrit : (bien que Nispel est bon(
bien fait pour ce Conan ssridi. Un bon Conan au ciné, il en a déjà eu un, à quoi bon un autre ?
Pour avoir lu le scénario, c'était énorme, presque aussi fort que le premier.
Dommage que Schwarzie soit devenu gouverneur et que Poledouris ait disparu entre temps...
Quoi que, comme le Conan a bidé, les producteurs pourraient revenir vers Schwarzie en échange d'un cachet moindre...
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Lee Van Cleef
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Si tu n'y vois pas d'inconvénient, Liquid, j'apprécierais infiniment que tu m'en dévoiles un peu plus à propos de ce script dont je n'ai jamais su grand-chose.Liquid Snake a écrit :King Conan : Crown of Iron inutile?
Pour avoir lu le scénario, c'était énorme, presque aussi fort que le premier.
Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
ALORS en fait c'est Conan qui revient dans son village natal et ô stupéfaction les villageois et ses parents sont tous devenus des ZOMBIES qu'il se fait un devoir de massacrer alors une deuxième fois... 
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Liquid Snake
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Aucun problème maintenant, le script est tellement dense (le film aurait fait facilement 3h) que j'ai peur de te spoiler un max en formulant une simple phrase.Lee Van Cleef a écrit :Si tu n'y vois pas d'inconvénient, Liquid, j'apprécierais infiniment que tu m'en dévoiles un peu plus à propos de ce script dont je n'ai jamais su grand-chose.Liquid Snake a écrit :King Conan : Crown of Iron inutile?
Pour avoir lu le scénario, c'était énorme, presque aussi fort que le premier.
Pour tout dire sans rien dire, Conan, âgé et encore traumatisé par les évènements du premier film, devient roi du royaume de Zamora, alors sous la coupe de l'Aquilonie.
Ce faisant, notre barbare, objet de haines et de jalousies exacerbées, prend conscience de la futilité du pouvoir alors qu'il a du renoncer à ce qui comptait le plus à ses yeux pour l'obtenir : son fils...
Voici le lien pour le script :
http://www.mypdfscripts.com/unproduced/ ... wn-of-iron
Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Nispel est pas une brelle, son Massacre a la Tronçonneuse est excellent, mais j'oublié c'est un remake....
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Misquamacus
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Bon je vais encore faire mon vieux grognon, mais franchement, le "Massacre" de nipsel... Si c'est pour voir une bimbo en tee-shirt mouillé dans une cave... Non merci ! J'étais mort de rire pour cette scène. J’espère que ce n'était pas le but recherché... Parce que, ôtez moi d'un doute... C'était pour faire peur ce remake ?
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
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Pierrebrrr
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Pareil.
Sinon, pour Crown of Iron, je veux bien rêver debout avec vous, mais il n'y a absolument aucune chance qu'un tel film se fasse, aucune.
Déjà, si Milius parvient à réaliser à nouveau quoi que ce soit, ce sera une sorte de miracle... ou bien il faudrait retrouver le genre de producteur inconscient qui filait des brouzoufs à Harlin à une époque...
Je ne suis pas si surpris de l'échec de Conan,et je ne parle pas au niveau artistique. ça n'a jamais empêché un succès public ça. Je crois qu'il y a toujours eu une profonde incompatibilité au cinéma (disons depuis les années 60) entre le genre de personnage qu'incarne Conan, les valeurs que ses histoires interrogent (ou glorifient quand c'est mauvais ), et le grand public.
Conan prend sa source dans les années 30, quoi qu'on y fasse, et c'est un personnage qui n'évolue pas autant que sa longévité (relative et limitée: elle concerne surtout le domaine de la bande dessinée et de l'édition littéraire, avec des hauts et des bas ) peut le faire croire.
A son époque, Conan est le représentant d'un genre littéraire, le récit d'aventure, dont c'est le bref âge d'or au moment ou Howard écrit, et qui sera notamment supplanté par la BD, d'abord d'aventure, puis de Super Héros. Les archétypes véhiculés dans Conan sont d'un autre âge: sans entrer dans les détails, cette figure même du barbare, à la morale instinctive, présenté dans le cadre d'un monde féodal, est volontairement coupé par Howard de tout lien avec ce qui l'entoure: dans les nouvelles originales, Conan est le seul Cimmérien que l'on croise. Il finit même par une reconnu par les autres personnages comme LE Cimmérien. Il n'a pas vraiment de pays natal: il ne retourne jamais en Cimmérie, un pays qu'il dit lugubre, ou rien ne le rappelle. il n'a pas de femme, pas d'enfant, pas de famille. Pas de peuple, ne reconnait pas de loi, ne reconnait pas de chef, pas de loi. Ne s'attache pas d'ami, mais a parfois des associés. Ce personnage, d'une certaine manière est un vrai défi pour un auteur. Qu'en faire ? Howard, parfois génialement, l'utilise comme une "force qui va", un corps en mouvement, tout entier voué à la pure joie d'agir. Est-ce qu'on peut aujourd'hui bâtir un film grand public là dessus ? A mon avis, c'est bien trop abstrait, et les nouvelles de Howard ne sont pas des best-sellers, et sont aujourd'hui bien moins lues que la fantasy "moderne".
Car ce qui interesse sans aucun doute le grand public, aujourd'hui, c'est que, d'une façon ou d'une autre, un personnage comme Conan soit relié à quelque chose, une société l'entourant, et qu'étant ce qu'il est, il en interroge les valeurs. Pour le dire simplement: on ne peut plus embarquer les spectateurs modernes dans une simple suite de péripéties.
La série télévisée, le canon de la narration moderne, est toujours psychologique. Conan, tel que l'écrit Howard est le contraire de ça. Pour le rendre interessant au spectateur moderne, il faut faire ce que Milius a fait: le trahir génialement. Milius, en racontant l'enfance de Conan, le relie a un père. De la sorte, il donne une porte psychologique au spectateur, et place Conan dans un rapport filial- inimaginable pour Howard, c'est même un contre sens complet. A partit de là, il est possible à Milius d'oser 30 minutes opératiques sans dialogues: tout ce qui suit est un drame de cette filiation brisée. Je suis persuadé que pour tout ceux ici qui adorent le film de Milius, l'ouverture du garçon avec son père est aussi inoubliables que tous les exploits physiques à suivre.
On peut admirer comment James Cameron, dans Avatar va lui aussi s'emparer d'un récit et d'un ensemble de conventions directement prises dans les fictions des années 20-30 et les rendre opératoires et accessibles au spectateur cotemporain (encore une fois, au très grand public, et pas aux seuls "fans" de SF ). Avatar, à la base, c'est Princess of Mars, de Burroughs, un truc bien plus proche de Jules Vernes que de Robin Hobb. Le coup de génie, c'est de faire du héros un soldat (un homme de l'état) et un infirme (un homme qui a raté quelque chose, qui porte une faille, en termes psychologiques, un traumatisme) et de faire d'un couple de femme les vecteurs de la guérison du traumatisme.
On comprends d'ailleurs très bien le geste des producteurs de Princess of Mars, qui vont à coup sûr aller à fond dans la voie ouverte par Cameron (n'ont il pas fait, eux aussi, du héros un vétéran ?)
Hors cette torsion psychologique, si on veut utiliser une fiction du type de celles de Conan, il n'y a guère que la voie de la semi-parodie, de l'humour qui semble viable: c'est la Momie et consort...
Je ne sais pas qu'elle voie ont choisi les producteurs du nouveau Conan, il semblerait bien que ce soit celle du suicide commercial, et du récit au premier degré comme si on était encore en 1932...
Je l'ai déjà dit, mais une des voies possibles de cette nécessaire trahison vis à vis de Conan a été très bien pensée dans le comics actuel, par Kurt Busiek, qui présente les aventures du barbare comme un récit dans le récit. Elles sont racontées par un chambellant récalcitrant à son Prince, qui est l'opposé de Conan, et bien sûr, le point d'identification du lecteur. Et l'occasion de justifier d'une manière habile et moderne le fameux "Know, O Prince..."
Bon, j'ai réussi à vous en coller une belle tartine et je n'ai même pas vu l'effort de Nispel. Qu'est ce que ça va être si j'y vais !
Sinon, pour Crown of Iron, je veux bien rêver debout avec vous, mais il n'y a absolument aucune chance qu'un tel film se fasse, aucune.
Déjà, si Milius parvient à réaliser à nouveau quoi que ce soit, ce sera une sorte de miracle... ou bien il faudrait retrouver le genre de producteur inconscient qui filait des brouzoufs à Harlin à une époque...
Je ne suis pas si surpris de l'échec de Conan,et je ne parle pas au niveau artistique. ça n'a jamais empêché un succès public ça. Je crois qu'il y a toujours eu une profonde incompatibilité au cinéma (disons depuis les années 60) entre le genre de personnage qu'incarne Conan, les valeurs que ses histoires interrogent (ou glorifient quand c'est mauvais ), et le grand public.
Conan prend sa source dans les années 30, quoi qu'on y fasse, et c'est un personnage qui n'évolue pas autant que sa longévité (relative et limitée: elle concerne surtout le domaine de la bande dessinée et de l'édition littéraire, avec des hauts et des bas ) peut le faire croire.
A son époque, Conan est le représentant d'un genre littéraire, le récit d'aventure, dont c'est le bref âge d'or au moment ou Howard écrit, et qui sera notamment supplanté par la BD, d'abord d'aventure, puis de Super Héros. Les archétypes véhiculés dans Conan sont d'un autre âge: sans entrer dans les détails, cette figure même du barbare, à la morale instinctive, présenté dans le cadre d'un monde féodal, est volontairement coupé par Howard de tout lien avec ce qui l'entoure: dans les nouvelles originales, Conan est le seul Cimmérien que l'on croise. Il finit même par une reconnu par les autres personnages comme LE Cimmérien. Il n'a pas vraiment de pays natal: il ne retourne jamais en Cimmérie, un pays qu'il dit lugubre, ou rien ne le rappelle. il n'a pas de femme, pas d'enfant, pas de famille. Pas de peuple, ne reconnait pas de loi, ne reconnait pas de chef, pas de loi. Ne s'attache pas d'ami, mais a parfois des associés. Ce personnage, d'une certaine manière est un vrai défi pour un auteur. Qu'en faire ? Howard, parfois génialement, l'utilise comme une "force qui va", un corps en mouvement, tout entier voué à la pure joie d'agir. Est-ce qu'on peut aujourd'hui bâtir un film grand public là dessus ? A mon avis, c'est bien trop abstrait, et les nouvelles de Howard ne sont pas des best-sellers, et sont aujourd'hui bien moins lues que la fantasy "moderne".
Car ce qui interesse sans aucun doute le grand public, aujourd'hui, c'est que, d'une façon ou d'une autre, un personnage comme Conan soit relié à quelque chose, une société l'entourant, et qu'étant ce qu'il est, il en interroge les valeurs. Pour le dire simplement: on ne peut plus embarquer les spectateurs modernes dans une simple suite de péripéties.
La série télévisée, le canon de la narration moderne, est toujours psychologique. Conan, tel que l'écrit Howard est le contraire de ça. Pour le rendre interessant au spectateur moderne, il faut faire ce que Milius a fait: le trahir génialement. Milius, en racontant l'enfance de Conan, le relie a un père. De la sorte, il donne une porte psychologique au spectateur, et place Conan dans un rapport filial- inimaginable pour Howard, c'est même un contre sens complet. A partit de là, il est possible à Milius d'oser 30 minutes opératiques sans dialogues: tout ce qui suit est un drame de cette filiation brisée. Je suis persuadé que pour tout ceux ici qui adorent le film de Milius, l'ouverture du garçon avec son père est aussi inoubliables que tous les exploits physiques à suivre.
On peut admirer comment James Cameron, dans Avatar va lui aussi s'emparer d'un récit et d'un ensemble de conventions directement prises dans les fictions des années 20-30 et les rendre opératoires et accessibles au spectateur cotemporain (encore une fois, au très grand public, et pas aux seuls "fans" de SF ). Avatar, à la base, c'est Princess of Mars, de Burroughs, un truc bien plus proche de Jules Vernes que de Robin Hobb. Le coup de génie, c'est de faire du héros un soldat (un homme de l'état) et un infirme (un homme qui a raté quelque chose, qui porte une faille, en termes psychologiques, un traumatisme) et de faire d'un couple de femme les vecteurs de la guérison du traumatisme.
On comprends d'ailleurs très bien le geste des producteurs de Princess of Mars, qui vont à coup sûr aller à fond dans la voie ouverte par Cameron (n'ont il pas fait, eux aussi, du héros un vétéran ?)
Hors cette torsion psychologique, si on veut utiliser une fiction du type de celles de Conan, il n'y a guère que la voie de la semi-parodie, de l'humour qui semble viable: c'est la Momie et consort...
Je ne sais pas qu'elle voie ont choisi les producteurs du nouveau Conan, il semblerait bien que ce soit celle du suicide commercial, et du récit au premier degré comme si on était encore en 1932...
Je l'ai déjà dit, mais une des voies possibles de cette nécessaire trahison vis à vis de Conan a été très bien pensée dans le comics actuel, par Kurt Busiek, qui présente les aventures du barbare comme un récit dans le récit. Elles sont racontées par un chambellant récalcitrant à son Prince, qui est l'opposé de Conan, et bien sûr, le point d'identification du lecteur. Et l'occasion de justifier d'une manière habile et moderne le fameux "Know, O Prince..."
Bon, j'ai réussi à vous en coller une belle tartine et je n'ai même pas vu l'effort de Nispel. Qu'est ce que ça va être si j'y vais !
"Le cinéma, c'est comme l'amour, quand c'est bien fait, c'est merveilleux, quand c'est mal fait, c'est un petit peu merveilleux aussi." S.Donen
Octobre 2014: 31 jours, 31 films :http://trainfantome.blogspot.com/
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Soundtrackman
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- Inscription : ven. 22 mai 2009 09:44
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Mais foncez-y cher ami !!!!
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Soundtrackman
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Re: Conan The Barbarian (again)- Nispel, 2011
Bon ben voila...
Je pense que je n'irais plus beaucoup au cinéma apres ce CONAN...
Déja le film est d'une nullité atomique mais les conditions de projections deviennent carrément insupportable... Sur 150 personnes on devait etre 4 a ne pas manger, grignoter, bouffer...
Donc, vu que j'ai faillit me foutre sur la gueule avec un gros débile de merde pendant un film de merde, je crois que je vais améliorer mon home-cinéma et basta...
Et ce film... Ben c'est prodigieux !!! ça n'arrete pas !!! ça bouge tout le temps !!! ça bouge meme tellement qu'au bout de 10 minutes je ne savais meme plus de quoi ça parlait !!!
Les autres avis sur ce forum ont déjà évoqué la tonne de défauts du film mais je trouve qu'il y a une scène de sympa :
SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER -
Lorsque le méchant attaque le chateau ou sont garder les femmes "pures" il a une discussion avec le roi ou ils parlent de leur passé commun, et là, l'espace d'un instant, entre le coté tragique de Zim et ce passé trouble, la magie a fonctionné... Mais elle n'aura durée que 2 minutes...
Et la 3-D est pourrie...
Je pense que je n'irais plus beaucoup au cinéma apres ce CONAN...
Déja le film est d'une nullité atomique mais les conditions de projections deviennent carrément insupportable... Sur 150 personnes on devait etre 4 a ne pas manger, grignoter, bouffer...
Donc, vu que j'ai faillit me foutre sur la gueule avec un gros débile de merde pendant un film de merde, je crois que je vais améliorer mon home-cinéma et basta...
Et ce film... Ben c'est prodigieux !!! ça n'arrete pas !!! ça bouge tout le temps !!! ça bouge meme tellement qu'au bout de 10 minutes je ne savais meme plus de quoi ça parlait !!!
Les autres avis sur ce forum ont déjà évoqué la tonne de défauts du film mais je trouve qu'il y a une scène de sympa :
SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER - SPOILER -
Lorsque le méchant attaque le chateau ou sont garder les femmes "pures" il a une discussion avec le roi ou ils parlent de leur passé commun, et là, l'espace d'un instant, entre le coté tragique de Zim et ce passé trouble, la magie a fonctionné... Mais elle n'aura durée que 2 minutes...
Et la 3-D est pourrie...