PREDATORS - 1ère images !

[Rorschach]

donc en gros vive Mc Tiernan ?

ou plutôt vive les eighties?

[Homer]

Non : vive McTiernan.

[Guillaume]

je préfère le Schumacher (comme Berthomieu d'ailleurs, hé hé )

Berthomieu il est pas fan aussi de Kenneth Branagh et de George Lucas?

[Wyatt Earp]

Et puis confier ça à deux jeunes geekos qui boivent du coca, bouffent des pizzas et du pop-corn, fallait oser !

Tu viens là de dresser un portrait très ressemblant de la future génération des jeunes cinéastes de genre français...

[Misquamacus]

Vu. Et bin c'est raté. Trop proche du 1 dans la forme mais avec Mc T en moins et ça change tout ! C'est long, ennuyeux, pas très bien vu, la zique ne sert à rien (autant reprendre la partoche original.) Bref, ça se veut un hommage et ça n'arrive pas à s'affranchir du modèle (là où l'opus 2 que j'adore le faisait formidablement bien)
Bref... C'est dommage et il serait temps de filer une séquelle de Predator à un bon réalisateur avec un bon scénario. tout simplement.

[Cornélius]

Vu. Et bin c'est raté. Trop proche du 1 dans la forme mais avec Mc T en moins et ça change tout !

Ca tu peux le dire Misqua.
C'est vraiment dommage, car j'attendais une remise sur les rails de cette franchise. La présence d'Adrien Brody pouvait laisser espérer mieux.
Hélas, ni le scénario ni la mise en scène ne sont à la hauteur.

Quelques exemples : les protagonistes constatent que le soleil de la planète alien ne bouge pas, puis quelques heures plus tard, il fait nuit. Dans la même veine, un des protagonistes (Lawrence Fishburne) vient à nous parler de saisons. Le même Fishburne, après une résistance héroïque de plusieurs saisons (!!!), se fait dessouder en moins de cinq minutes par un predator (muni de capteurs thermiques, rappelons-le) qui n'avait pas encore eu l'idée d'aller fouiller la vieille raffinerie où il s'était réfugié et qui trône comme le nez au milieu du visage.
Le reste est à l'avenant: on nous propose de nouveaux prédators, semble t-il encore plus belliqueux, mais a aucun moment, on ne comprend pourquoi ils en gardent un (ancienne version) prisonnier et accroché à un "totem" (démesuré le totem, esbroufe totale).
Dans le même genre, les "héros" découvrent qu'ils sont loin de chez eux, lorsqu'ils assistent, en plein jour, à un magnifique ballet de planètes numériques, tellement proches les unes des autres qu'il semble que les lois de l'attraction sont inexistantes (mais c'est très joli, genre couverture de roman de science-fiction, re esbroufe).
L'intellectuel du groupe nous gratifie du nom (en latin semble t-il) d'une plante carnivore locale (rappelons le, nous sommes sur une planète inconnue).
La scène de baston entre les deux espèces de predators est poussives au possible. Rappelez-vous les acteurs en costumes caoutchouteux qui se foutaient sur la tronche dans les "X-Or" et autres "Spectreman".
Même l'affrontement final entre Adrien Brody et le dernier prédator ne parvient jamais à décoller.

Bref, il n'y a pas grand chose à garder, à part, peut-être la prestation de Alice Braga.

[Misquamacus]

Bref, il n'y a pas grand chose à garder, à part, peut-être la prestation de Alice Braga.

Oui, et encore elle est là car il faut toujours une latino avec des cojones dans un film bourrin depuis "Aliens" et la mythique Vasquez... Quelle imagination !