

(Moi, overdose? Jamais!

Homer, ton rêve fait curieusement écho à celui qui s'est emparé de moi pas plus tard que cette nuit. Dans mes songes, vois-tu, tu avais pris place au milieu d'une estrade inondée de lumière et t'étais lancé vaille que vaille dans ta propre interprétation, là aussi à la bouche, du Planet of the Apes du vénéré Jerry. Et pardonne-moi d'avoir à te le confier (bon, après tout, ce n'était qu'un foutu rêve, n'est-ce pas ?), mais ta prestation se révélait un sommet de cacophonie grinçante.Homer a écrit :je me rappelle encore de son interprétation, entièrement à la bouche, de Christus Appolo
Et Herrmann ne t'a pas dit : "no, no, no, no, no... it's the bus of death !!" ?BigJ. a écrit :Il y a quelques années, j'ai failli me faire écraser par un bus, et dans les secondes qui ont suivi, j'ai revécu la scène, mais avec son issue fatale. Je ne sentais plus mon corps et j'étais dans un décor très similaire aux scènes idylliques de WHAT DREAMS MAY COME ("Au-delà de nos rêves"?). Sauf que ce n'est pas Cuba Gooding Jr qui m'accueillait, mais Bernard Herrmann.
Tu ne te trompes pas car ces deux observations me semblent justes,aussi bien l'une que l'autre. Personnellement,je n'ai pas eu de parents pour m'initier à une quelconque musique et,par conséquent,je n'ai pas baigné dès ma plus tendre enfance dans le jazz ou le classique ou la b.o.. Mes vieux n'aimaient pas la musique et sur ce point,le mélomane que je pense être s'est fait tout seul.Walden a écrit :il faut tout simplement que cette personne aie l'esprit ouvert et curieux, pas seulement en musique mais en toute chose de la vie...Ou peut être que je me trompe et que certaines personnes ont des prédispositions, en fonction de leur histoire personnelle,