Topic fourre-tout

[Denshaotoko]

Une petite news concernant les Emmys
https://filmmusicreporter.com/2025/01/0 ... -category/

[DarkCat]

Dites, camarades, un ami, accessoirement amateur de bondage, de Chuck Cirino et de blisters , me pose une question que je vous soumets :

"Dimanche 12 janvier dernier dans l'émission "Question d’Islam". diffusée entre 7 et 8 heures sur France Culture, on entend une musique symphonique qui ressemble à un score de film. J’ai recherché ses références sur le site de Radio France… en vain ! Peut-être pourras-tu trouver à la fois le titre et le compositeur de cette musique ? Les extraits musicaux en question apparaissent à trois reprises, aux timings 16:45, 35:34 et 52:40 : "Enfer et paradis"
D’avance merci pour les recherches !"

[Dadid]

je crois entendre une onde Martenot à la Maurice Jarre, ça ne serait pas "The message" ou "Le lion du désert ?" ? je ne l'ai pas sous la main pour vérifier tout de suite...

[Mortimer]

C'est la musique du film "Le message" de Maurice Jarre

[DarkCat]

Merci les potos. Réponse répercutée.

[Lee Van Cleef]

Braves compagnons ! Il s'en est fallu d'un souffle stertoreux ! Heureusement que vous avez dégainé, avec la célérité fameuse de par la Voie lactée des fines gâchettes d'UnderScores, avant que le vieux Van Cleef ne s'éclabousse lui-même de ridicule en exhibant ce qu'il croyait dur comme le diamant être la bonne réponse :

[Dadid]

Merci les potos. Réponse répercutée.

Pour le chèque et le pack de bière, ton amis peut s'adresser directement à la rédaction. Les virements sont aussi acceptés.

[Haricolin]

Visionnage (en cours) et écoute de Zorro de Julie Roué. Et c'est vraiment bien. Rythmes hispaniques, parties plus rêveuses, thème héroïque enthousiaste... Tout est là est en 45 minutes on a pas le temps de s'ennuyer. Une bonne surprise.

[Haricolin]

Je reste dans le cinéma français avec Un Ours dans le Jura de Sylvain Goldberg. A film plus ambitieux, musique (un peu) plus ambitieuse pour le "duo" Dubosc-Goldberg. Tensions sourdes à la Zimmer, émotion contenue en petite formation et influences Carpenteriennes avec un peu de bruitisme, ça peut paraitre incohérent mais ça fonctionne. Goldberg parvient à rendre les parties d'émotions mémorables. Le seul hic est peut être les musiques sources à la fin qui viennent un peu chambouler tout ça et paraissent un peu hors sujet.

[Lee Van Cleef]

écoute de Zorro de Julie Roué. Et c'est vraiment bien. Rythmes hispaniques, parties plus rêveuses, thème héroïque enthousiaste... Tout est là est en 45 minutes on a pas le temps de s'ennuyer. Une bonne surprise.

C'est pas encore demain, camarade, que je te gratifierai du sobriquet de Rico les Bons Tuyaux, crois-moi sur parole ! Converti depuis belle lurette à l'éternelle lutte du cavalier masqué contre l'injustice et les taxes surnuméraires, j'avais de mon côté fait en sorte que l'imminence de son énième résurrection ne se volatilise jamais vraiment de mon radar — au moins d'un point de vue musical, la perspective d'un OSS 117 transposé paresseusement au pays des sombreros ne me ravissant pas outre mesure. Le temps de regretter que nul n'ait songé à mettre à profit l'aubaine pour sortir Ludovic Bource de sa tenace catalepsie (ratiocineur un jour, ratiocineur toujours !), et je me lançai dans l'écoute avec une curiosité avivée par les deux pouces brandis de Rico... Fatalitas ! De chevauchées à bride abattue, pas l'ombre d'une trace ; de divertissement échevelé, nulle part l'on ne dénichera ; de nuits tempétueuses que la ligne brisée d'un Z barre tout à coup, faites sans plus vous illusionner votre deuil. Le premier degré sans rien de rigolard dans lequel baigne l'ensemble est à louanger, mais je n'y vois pas grand-chose d'autre susceptible de magnétiser les mêmes congratulations. Tout ce fatras à l'exotisme certes prévu mais flingué par l'ankylose n'en finit pas de se traîner à dos de haridelle scabieuse, contrecarrant systématiquement les aguiches disséminées au fil du track-listing (The Panache of the Fox, Zorro Requiem, The Night of the Wild Boar) par une inhabileté aiguë à soulever ne fût-ce qu'une amorce de rythme. De cette mollesse caractérisée ne résulte qu'une gargoulette à peine décorative et, surtout, terrassante d'ennui. Dis, Rico, et si tu inaugurais un cycle Herrmann afin de renouer avec de plus dignes choses ?

[Haricolin]

C'est pas encore demain, camarade, que je te gratifierai du sobriquet de Rico les Bons Tuyaux, crois-moi sur parole ! Converti depuis belle lurette à l'éternelle lutte du cavalier masqué contre l'injustice et les taxes surnuméraires, j'avais de mon côté fait en sorte que l'imminence de son énième résurrection ne se volatilise jamais vraiment de mon radar — au moins d'un point de vue musical, la perspective d'un OSS 117 transposé paresseusement au pays des sombreros ne me ravissant pas outre mesure. Le temps de regretter que nul n'ait songé à mettre à profit l'aubaine pour sortir Ludovic Bource de sa tenace catalepsie (ratiocineur un jour, ratiocineur toujours !), et je me lançai dans l'écoute avec une curiosité avivée par les deux pouces brandis de Rico... Fatalitas ! De chevauchées à bride abattue, pas l'ombre d'une trace ; de divertissement échevelé, nulle part l'on ne dénichera ; de nuits tempétueuses que la ligne brisée d'un Z barre tout à coup, faites sans plus vous illusionner votre deuil. Le premier degré sans rien de rigolard dans lequel baigne l'ensemble est à louanger, mais je n'y vois pas grand-chose d'autre susceptible de magnétiser les mêmes congratulations. Tout ce fatras à l'exotisme certes prévu mais flingué par l'ankylose n'en finit pas de se traîner à dos de haridelle scabieuse, contrecarrant systématiquement les aguiches disséminées au fil du track-listing (The Panache of the Fox, Zorro Requiem, The Night of the Wild Boar) par une inhabileté aiguë à soulever ne fût-ce qu'une amorce de rythme. De cette mollesse caractérisée ne résulte qu'une gargoulette à peine décorative et, surtout, terrassante d'ennui. Dis, Rico, et si tu inaugurais un cycle Herrmann afin de renouer avec de plus dignes choses ?

Si tu lisais plus attentivement les Underscorama, tu aurais dû savoir à quel genre t'attendre devant cette BO (et aussi a quelle qualité). Je ne te félicite pas

[Lee Van Cleef]

Je ne m'ovationne pas non plus d'avoir si imprudemment porté foi à tes dires enjoués, l'ami ! La cocasserie de la chose tient à ce que, tandis que je luttais avec la fièvre du désespoir contre les vagues de narcose dont le pâle mariachi Julie Roué me submergeait, une pensée insistante me susurrait que ce Zorro franchouillard était typiquement le genre de score à même de récolter, sinon un enthousiasme hypertrophié, du moins une très honorable moyenne dans les colonnes de l'UnderScorama. Après vérification (laquelle, au passage, m'a rappelé que j'avais déjà bel et bien eu cette page sous les yeux), bingo ! J'en appelle au diablotin écarlate et à ses âmes damnées : quand donc ferez-vous preuve d'audace en réquisitionnant les services d'un implacable sicaire de la béophilie ? Notre attraction vedette a grand besoin de ce genre de prédateur-né qui, chaque mois, se ferait une joie de bouffer en salade les titres fadasses auxquels mes altruistes collègues accordent les trois quarts du temps une incompréhensible mansuétude.

[Hellboy]

A une époque, on avait un chroniqueur à la dent dure dans l’InderScorama. Mais il a plié bagage il y a longtemps déjà. Il s’appelait Benjamin…

[DarkCat]

Le pauvre bougre a hélas perdu sa dent dure en même temps que toutes les autres. Les affres de la vieillesse...

[Lee Van Cleef]

Il a la dent dure ; il ne mâche pas ses mots ; il a une haine mordante. Ainsi parlaient autrefois trois irréductibles Gaulois de l'infâme Amonbofis, ainsi eussent-ils également pu qualifier le vieux Van Cleef, durant son bref mais écarlate séjour dans les venelles de l'UnderScorama. Si ma mémoire ne me mitonne aucune entourloupe, j'avais, entre autres méfaits suintants d'acrimonie, été bien le seul à démantibuler les premiers pas décevants de Thomas Newman dans la galaxie 007. Voici précisément le genre de venin dans lequel la rubrique devrait tremper à nouveau ! Mais qui pour prendre ma succession et brandir le flambeau du massacre ? Quel dommage que le Loup Solitaire, d'encore plus acariâtre disposition que je ne le fus jamais moi-même, ne traîne plus dans les parages sa carcasse efflanquée et son laconisme meurtrier...

[Dadid]

Mordre à pleines dents ça soulage, et ça a le mérite d'être clair. Mais j'avoue, ayant tant lu durant les années 70-80 de critiques onanistes enfermés dans leur chapelle s'auto-congratuler et annihiler par leur grille critique à côté de la plaque des œuvres que j'aimais, comprenais, et souvent reconnues plus tard (les amateurs de SF, Fantasy, BD... le savent tous), que je préfère en général faire la part des choses entre mes goûts et la demande de la B.O. d'aujourd'hui, quitte à être plus las que mordant, en contextualisant... Par exemple ce Zorro : cette série verbeuse qui regarde ses acteurs tenter d'amuser dans des scènes sans rythme, d'une bonne finition technique mais dénuée de verve et d'esprit d'aventure, ne pouvait inspirer qu'une musique mi-figue mi-raisin, nostalgico-référentielle et sans poigne. Je vois mal comment blâmer la compositrice, qui tente d'animer tout ça sans déborder du cadre. Mais bon, heureusement, le Boss nous réserve de temps à autres un petit JunkieXL pour se faire les dents, parce que quand même faut pas déconner !

[Haricolin]

Visionnage et écoute de Reign Over Me de Rolfe Kent. Les ficelles sont connues pour un très beau film indé sur un veuf du 11 septembre : cordes évanescente, piano mélancolique, jazz lounge. Toutefois, c'est fait avec un certain professionnel, avec quelques thématiques et comme le film est vraiment émouvant, la BO garde un peu cette émotion à l'écoute isolée. Mais on est clairement pas sur la révolution du siècle.

[Ratatouille]

J'écoute ceci... ils sont bizarres les 3 mecs... mais la musique est cool... on peut me renseigner ???


Bon... je suis pas Rafik... mais... voilà... attention beaucoup d'abréviatons...
(les choeurs de la fin de Flatliners ce sont ceux d'Edward Scissorhands... et la suite du thème final c'est déjà Saving Private Ryan de JW... JNH inspire JW ?)
(My Girl c'est pas repris dans son DAVE ? Enfin c'est les orchestrations JNH... comme JG est reconnaissable à souhait, JB aussi et WK...)
(Grand Canyon lorgne plus vers Copland...)
(Prince of Tides est sublime... c'est la chanson en fait...)
(Alive... pourquoi on entend un petit oiseau dans le générique fin ?)
(Falling Down... on a déjà les percus et les instruments exotiques de Waterworld....)
(Wyatt Earp... oui le film est en dessous de Tombstone... mais le compositeur Alan Parker a réutiliser un thème de JNH dans une série se nommant RHODES... le morceau s'intitule Horse & Wagons... mais impossible de retrouver sur le net un extrait... - un CD acheté lors d'un voyage scolaire à Glasgow... [img]https://www.discogs.com/master/1762619- ... 9pVad0yeY0)

Oui je fais les commentaires en écoutant et en encodant... pas bien dirait mon chef... mais je vais partager le podcast... il est vraiment fun... et c'est pas parce que je suis sous Valium...

J'adore en fait car vous me faites redécouvrir les compositeurs...

J'attends avec impatience les films avec Costner après ceux de Roberts...

Bon... les mecs... je fais suivre votre podcast à tout le monde de la bibliothèque...

Vivement Postman... Waterworld... bref...

Allez pour consoler Rafik (avec qui on m'a toujours confondu sur Traxzone et au magasin de cinéma où je travaillais comme étudiant... et où on vendait les Mad Movies en plus des CD's livres affiches et autres photos de star... enfin bref car Fakry- mon vrai diminituf de mon prénom- au départ)... un bon et beau Goldsmith...

ou celui-ci...

[Scorebob]

Congo est un très bon score pour un film très médiocre dont on retiendra le comique "involontaire," et la scène de suspens intense pompée sur Planète Interdite.

[Ratatouille]

Me manque 3 livres à encoder...
allez faut que cela chauffe ici...

[Ratatouille]

Beau rendu concert de la série animée...

[Ratatouille]

Arf... allez... une belle cover metal d'un thème que j'adore !!!

[Ratatouille]

Mel Brooks... un génie...

[DarkCat]

Ratatouille a décidément beaucoup trop de temps libre.

[Sam Lowry]

ça faisait 17 heures et 24 minutes que je cherche le point commun entre tous ces extraits.
Merci Darkcat, tu viens de me sauver de la folie qui me guette. Mais ce n'est que partie remise.