Merci Dadid pour ta réponse et... pour avoir corrigé ma faute de touche... pas évident de faire la correction soi-même lorsqu'on a moins de 1/10ème aux deux yeux... je ferais de mon mieux la prochaine fois.
Ah? on me dit que c'est maintenant qu'il faut que je me force à mieux faire??
Au passage et en parlant de gens qui voient très mal comme c'est mon cas, j'ai remarqué que les caractères et leur taille employés dans ce bouquin sont suffisamment gros et lisibles ce qui devrait faciliter ma lecture, tant mieux, cela prouve qu'ils ont pensé à nous, les 4 yeux comme on disant dans ma cour de récré!!
Les dernières news concernant l'autre biographie en double volume de Jeff Bond :
"Comme mentionné dans notre précédente communication, nous confions les tâches d'impression aux personnes très compétentes d'A-to-Z Media, qui célèbrent maintenant 30 ans de production réussie. Les livres seront imprimés en République tchèque, puis transportés vers deux centres de distribution différents aux États-Unis et en Europe pour vous être livrés. Nous publierons un calendrier de production et de livraison approprié en novembre dès qu'A-to-Z nous aura transmis les informations."
Bmcready a écrit : ↑lun. 4 nov. 2024 09:19
"nous confions les tâches d'impression aux personnes très compétentes d'A-to-Z Media, qui célèbrent maintenant 30 ans de production réussie. Les livres seront imprimés en République tchèque, puis transportés vers deux centres de distribution différents aux États-Unis et en Europe pour vous être livrés."
Décidément, ce feuilleton me laisse rêveur. Pourtant il s'en édite des bouquins outre atlantique, par tonnes, ne serait que ces monticules de romans, tous ces "Art of..." ciné sur papier glacé... Les "30 ans de production réussie" pour rassurer l'acheteur m'ont fait sourire, on est loin de Gutenberg... Les techniques d'impression aussi, vous me direz !
C'est le même "master", une copie personnelle de Bruce Kimmel sans laquelle cette B.O. n’existerait plus, semble-t-il un peu retouché par Doug Fake mais ça ne devrait pas justifier un rachat.
Ce petit rappel est pour moi une bonne occasion de voir ce film faisant partie du coffret western de Sam Peckinpah.
Connais rien, musique à prendre après si ça colle.
Ce n'est clairement pas avec cette pochade bonhomme, pleine de folk pour rire et de pas grand-chose d'autre, que maître Jerry entérina sa réputation d'intrépide baroudeur des cactus. Jamais déplaisante, jamais grisante non plus, sa minuscule partition pour le très joli et mélancolique western d'un Peckinpah pour une fois loin d'être "Bloody" ressemble, force est au vieux Van Cleef d'en convenir, à un simple appendice éprouvant toutes les peines du monde à saillir d'un corpus qui défie le commun.
Un drôle de western en effet qui tire pas mal sur la comédie avec des vieux cow boys très fatigués , la mort du personnage principal est sans doute l'une des plus inattendue et surprenante pour ce genre de film ...Quoi que.
Je suis entrain de retomber en enfance avec LIONHEART... pas en revoyant le film qui est hélas... bon je passe... mais en réécoutant la musique du maestro... comment est-il arrivé à faire un chef d'oeuvre pareil ?
Je pense qu'il y aura des réfractaires (l'utilisation des synthés qui sonnaient déjà datés à l'époque), mais sérieusement la richesse thématique est à un degré de composition qui est la patte de l'orfèvre... sublime...
Pour moi ce serait plutôt "retomber en jeunesse", je n'étais plus vraiment un enfant à la sortie de Lionheart, mais je plussoie. Le vol.1 refait plus qu'à son tour un passage dans mon salon, lorsqu'une petite écoute in-extenso se fait sentir... Car oui, ça s'écoute intégralement sans voir le temps passer.
Né en 1980, mon premier CD acheté fut Baron of Munchausen de Kamen dans la boutique où j'ai fini par faire des jobs d'étudiants le samedi... et où mon salaire partait dans les arrivages de CD's... à la bonne époque de l'Âme des Rues au Boulevard Anspach... alors mon premier Goldsmith fut Gremlins en LP... puis mon premier CD était le volume 1 de Lionheart...
Ce qui est assez fou c'est qu'avec sa musique rejetée de Timeline... il a eu la même approche... surtout pour le thème des "vilains"...
Reste les envolées dantesques du morceau Matilda... bref comme on dit en bruxellois... j'en ai les kikebiches... à vous de chercher la signification
Le nouveau Papillon, ça ? La chose m'aurait plutôt l'air d'entretenir de solides familiarités avec un Death Warrant... Sache néanmoins, ami Odelay, que tu as bien tort de saupoudrer de poignées de sel réitérées tes inquiétudes à vif. Car il n'est aucun besoin d'écouter la plus infime note de la partition de David Buckley pour savoir, avec une indestructible certitude, qu'elle fonctionnera top-moumoute-de-ta-life dans le film. Enfin, voyons...
Pas vu le remake... mais la musique n'est en aucun cas digne (pour ma part de non compositeur) une véritable composition... ambient music... oui... là chapeau...
Oui, une partition qu'on peut véritablement apprécier (surtout pour ceux qui aiment l'intégration de l'electro à l'orchestre façon "Lionheart" dans le registre médiéval), mais aussi la dernière du Maître (et écouter la dernière plage "To my friends" à la valeur symbolique signifiante procure une émotion rare pour celui qui a toujours été intensément touché par Goldsmith) qui a failli être éclipsée par celle de Brian Tyler qui est paradoxalement (pour moi) certes inférieure mais tout à fait estimable (car a priori, il n'aurait jamais dû y avoir même une once de comparaison possible entre un Tyler et un Goldsmith). La seule chose que je regrette par contre, c'est parfois sa parenté évidente avec "Star Trek Nemesis" et "Deep Rising" qui sont des scores d'une lourdeur souvent embarrassante.
Haaa, les joies des titres putassiers.
D'un autre côté, on n'est pas non plus sur un complot d'ampleur mondial, avec des Illuminati, des Francs-maçons, la CIA et le Spectre.
DarkCat a écrit : ↑jeu. 12 déc. 2024 13:35
Haaa, les joies des titres putassiers.
D'un autre côté, on n'est pas non plus sur un complot d'ampleur mondial, avec des Illuminati, des Francs-maçons, la CIA et le Spectre.
