Depuis plus de quinze ans que je lis Morty, je crois être en mesure d'affirmer en mon âme et conscience qu'aucune exaction sanguinolente à l'encontre de la langue française ne saurait être retenue contre lui !
Mais je te rassure, mon érudit kataneur, je n'avais pas vu d'insulte dans ce que tu as écrit ! Cela dit, je ne suis pas non plus fort surpris de ta réaction étonnée vis-à-vis de ce déferlement de positivité critique : tu es sans doute le plus féroce pourfendeur de compositeurs que je connaisse, et je te soupçonne fréquemment d'user de la pointe acerbe de ton katana pour nous livrer tes plus belles diatribes...et je ne parle pas que de Zimmer !
Where ignorance is bliss, 'tis folly to be wise...
Qu'il paraisse publi-rédactionnel ou chatGPTé ou rien de cela, le commentaire de Morty a fini de me convaincre de faire chauffer la CB, étant moi-même un amateur d'Isham et de l'ancienne édition de Blade.
Hellboy a beau m'avoir dit que la nouvelle édition est chiante, j'irai quand même Merci Morty
Krull a écrit : ↑jeu. 28 nov. 2024 12:30
Qu'il paraisse publi-rédactionnel ou chatGPTé ou rien de cela, le commentaire de Morty a fini de me convaincre de faire chauffer la CB, étant moi-même un amateur d'Isham et de l'ancienne édition de Blade.
Hellboy a beau m'avoir dit que la nouvelle édition est chiante, j'irai quand même Merci Morty
Moi je ne pourrais que te décourager d'acheter cet album. Ayant vu qu'ils étaient dispo en numérique, je ne pouvais passer a côté. Retour donc a l'arrache, vu que je n'ai pas les même scrupules que Morty. Bon. C'est pas terrible quand même. Un style synthétique chiant qui alterne entre longues plages et montées en puissance qui ne mènent nulle part (non, je ne parle pas du dernier Zimmer). Une vague touche gothique avec des choeurs intempestifs et une ambiance sombre. Mais franchement, c'est trop long, il se passe pas grand chose, c'est très peu thématiques et en même temps les morceaux d'action sont totalement oubliables. C'est pas affreux mais ça n'a quand même que très peu d'intérêt.
Haricolin a écrit : ↑jeu. 28 nov. 2024 13:25
Moi je ne pourrais que te décourager d'acheter cet album. Ayant vu qu'ils étaient dispo en numérique, je ne pouvais passer a côté. Retour donc a l'arrache, vu que je n'ai pas les même scrupules que Morty. Bon. C'est pas terrible quand même. Un style synthétique chiant qui alterne entre longues plages et montées en puissance qui ne mènent nulle part (non, je ne parle pas du dernier Zimmer). Une vague touche gothique avec des choeurs intempestifs et une ambiance sombre. Mais franchement, c'est trop long, il se passe pas grand chose, c'est très peu thématiques et en même temps les morceaux d'action sont totalement oubliables. C'est pas affreux mais ça n'a quand même que très peu d'intérêt.
On croirait ma femme après une nuit d'amour avec moi...
De Mark Isham, je possède un cd qui doit être rare aujourd'hui, "The Moderns", film avec Geneviève Bujold. Ce n'est pas un compositeur dont j'achète souvent des BO.
Mark Isham a commencé comme trompettiste... il a ensuite évolué avec les synthés...
Et si vous voulez vraiment faire la synthèse (en tout cas pour moi) de toutes ses capacités c'est dans ce morceau de COOL WORLD...
Je vous souhaite une bonne soirée... une belle charrette de livres à ranger et on va faire la popote à la meute à la maison... il y a un du quartier qui s'invite toujours en fin d'année...
Visionnage et écoute de Point Break. Je trouvais déjà ça un peu vieillot à l'image, en écoute isolée c'est pire. Des synthés très datés aujourd'hui, qui oscillent entre l'illustration minimaliste et des imitations balourdes d'orchestre. Malgré tout, quelques moments de tension ou de lyrisme qui ressortent sur des scènes mouvementées. Mais bon, ça a fait son temps comme BO...
Une des compositions d'Isham qui sort vraiment de son style habituel, très emphatique sur un sujet qui s'y prête bien .
Et curieusement pas d'édition officielle en dehors d'un Fyc plutôt court . Qui aura la bonne idée chez nos labels de sortir cette pépite a moins qu'Isham en ait les droits et le sorte sur son propre label.