Ballanmire a écrit : ↑ven. 18 oct. 2024 09:54
Ecoute dès potron minet de l'album "Elliot Goldenthal - Music for Film" sous la direction de Dirk Brossé :
- le choix de la filmographie m'a plu à un regret près : il manque "In Dreams" à l'appel mais ce manque est cohérent avec l'approche retenue (voir plus loin)
- comme trop souvent, le mixage est catastrophique : ça manque de dynamique et d'ouverture.. quel dommage
- l'orchestre comme à son habitude s'en sort très bien (merci Dick !) mais....
- .... hormis l'ouverture avec Batman, la suite d'Alien 3 et la suite de "Final Fantasy" qui clôt magistralement l'album (bordel ce que j'aime ce score qui mérite un expanded digne de ce nom !!!), la sélection se veut "accessible" et met (à mon goût) trop de côté ce qui fait le sel des compositions de Goldenthal : approche moderniste, cuivres puissants, etc... un album un peu trop sage qui ne rend pas pleinement justice à l'un des compositeurs les plus intéressants des 90' et début 2000.
En gros il manque son côté Corigliano, quoi (Mon score préféré de Goldenthal est Cobb, bizarrement…)
Ballanmire a écrit : ↑ven. 18 oct. 2024 09:54
Ecoute dès potron minet de l'album "Elliot Goldenthal - Music for Film" sous la direction de Dirk Brossé :
- le choix de la filmographie m'a plu à un regret près : il manque "In Dreams" à l'appel mais ce manque est cohérent avec l'approche retenue (voir plus loin)
- comme trop souvent, le mixage est catastrophique : ça manque de dynamique et d'ouverture.. quel dommage
- l'orchestre comme à son habitude s'en sort très bien (merci Dick !) mais....
- .... hormis l'ouverture avec Batman, la suite d'Alien 3 et la suite de "Final Fantasy" qui clôt magistralement l'album (bordel ce que j'aime ce score qui mérite un expanded digne de ce nom !!!), la sélection se veut "accessible" et met (à mon goût) trop de côté ce qui fait le sel des compositions de Goldenthal : approche moderniste, cuivres puissants, etc... un album un peu trop sage qui ne rend pas pleinement justice à l'un des compositeurs les plus intéressants des 90' et début 2000.
En gros il manque son côté Corigliano, quoi (Mon score préféré de Goldenthal est Cobb, bizarrement…)
Hmmm... Moi qui me faisais une joie de passer à la caisse, je crois que je vais peut-être un peu ranger la carte bleue incandescente ces derniers temps. Surtout si la dynamique de l'orchestre est mal rendue (pour du Goldenthal, c'est pourtant crucial !)....
Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)