Vladimir Cosma
Re: Vladimir Cosma
Merci pour cette version initiale de L'amour en héritage !
Je la préfère à celle de N. Mouskouri, qui est ... datée.
Et bonne nouvelle que ce coffret 5 ! Vladimir en a encore dans les tiroirs...
Je la préfère à celle de N. Mouskouri, qui est ... datée.
Et bonne nouvelle que ce coffret 5 ! Vladimir en a encore dans les tiroirs...
Re: Vladimir Cosma
Pourquoi ?!
Il a reçu 'amour en héritage ?
Enfin, "les affaires sont les affaires"... Quel titre Cosmatique, on ne peut faire mieux (ex aequo avec "Pleure pas la bouche pleine", Petit-déjeuner compris, et autres).
Il a reçu 'amour en héritage ?
Enfin, "les affaires sont les affaires"... Quel titre Cosmatique, on ne peut faire mieux (ex aequo avec "Pleure pas la bouche pleine", Petit-déjeuner compris, et autres).
- Edern
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Re: Vladimir Cosma
Appréciation largement partagée, Lee, concernant L'Adieu aux As, tout comme Tang d'ailleurs. Merci de les avoir évoqués, car ce sont bien tes messages qui m'ont donné envie d'écouter quelques-unes des musiques contenues dans ce 4e coffret, après avoir été longtemps repu avec les volumineux précédents.Lee Van Cleef a écrit : ↑mar. 7 juin 2022 19:20 L'Adieu aux As, partition mono-thématique (a priori, pas d'allègre repiquage à déplorer ce coup-ci) de toute beauté, où le Cosma lyrique et partant pour la grande aventure déploie toute l'envergure de ses ailes.
>> Mon échoppe à CD <<
- Lee Van Cleef
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Re: Vladimir Cosma
Ç'a beau faire la bagatelle de quinze ans que je traîne mon pyjama noir tristement ajouré au hasard des chemins vicinaux d'UnderScores, c'est pour moi toujours le même abasourdissement que de réaliser que des paires d'yeux scrutateurs (comme ici, ceux du Trooper, étincelants sous la visière de son casque) s'affairent à honorer mes élucubrations d'un zeste d'attention... et parfois même y trouvent quelque intérêt caché. Une pléiade de remerciades pour toi, compagnon !
Re: Vladimir Cosma
"Vladimir Cosma s'est vu remettre les insignes d'Officier de la Légion d'honneur en récompense d'une grande et belle carrière. Le Président a salué l'écriture de toutes ces musiques qui ont accompagné les français depuis 60 ans."
Source : FaceBook Vladimir Cosma
Source : FaceBook Vladimir Cosma
Re: Vladimir Cosma
J'ai vu puis écouté Salut l'artiste. Bon le thème doux amer est exceptionnel. On le retient vraiment vu qu'il est très présent dans le film et retranscrit parfaitement le personnage de Mastroianni. Le thème de ses amours dans le même ton est tout aussi réussi et leurs développements superbes. Le reste de l'album est moins remarquable et fait un peu comme souvent chez le Vladoche morceaux de différents genres. Mais le tout reste d'une qualité admirable, chaque morceau est unique et l'ensemble très jazzy est superbement appuyé par Thielemans juste mythique.
- Lee Van Cleef
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Re: Vladimir Cosma
On réussira bien à faire quelque chose de toi, galopin ! Éloquente pièce à conviction en est l'allégresse qui ruisselle de cette bien jolie déclaration à Salut l'Artiste, à sa mélancolie pleine de déambulations qui toujours semblent ramener au point de départ, à sa désinvolture servant tant bien que mal de paravent élimé aux vieux regrets qu'on ne peut s'empêcher de ressasser. Des mots qui définissent autant le merveilleux film d'Yves Robert que l'ode à l'harmonica qu'en tira, mû par sa plus belle verve soliste, notre petit trésor national Cosma.
Re: Vladimir Cosma
De ce que j'ai vu de Robert pour l'instant, j'aime beaucoup. Je pense que parmi les réalisateurs de Cosma que j'ai découvert pour l'instant, c'est celui qui m'intéresse le plus donc d'autres de ses films ne sauraient tarder.
Re: Vladimir Cosma
Ecoute du sublime Un éléphant ça trompe énormément après avoir vu le petit chef-d'oeuvre d'Yves Robert sur Arte. Cosma sait toujours habiller les films de Robert avec une élégance folle. Le thème principal est d'un romantisme fou, et sait parfaitement faire jouer sur l'ambivalence du film avec ses bruits de mer et de mouettes, en même temps assez romantique et ridicule. Les développements sont délicieux, notamment quand le thème déraille face aux différents quiproquos autour du personnage de Rochefort et en plus jazzy sur les deux trois scènes de comédie où Rochefort essaye de rejoindre son amante. Quand même, la première scène de Duperey avec la musique est mythique. Sinon, on a quelques morceaux fanfarons-jazzy. Le thème de Rochefort est assez drôle et reste mémorable. Le reste est sympathique à écouter et comme d'habitude Cosma nous emballe une partition dantesque en seulement 18 minutes. Comme quoi, on a pas tout le temps besoin de plusieurs heures pour faire une pièce d'art.
- Lee Van Cleef
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Re: Vladimir Cosma
Nous le savons, jamais nous ne l'oublierons, Yves Robert et Vladimir Cosma s'aimaient d'un doux amour, partageant dans leur plénitude moult atomes crochus parmi lesquels un sens du comique doux-amer (encore que le deuxième cité, quand il partait baguenauder ailleurs quelque temps, ne renâclait pas à le pratiquer de façon plus rentre-dans-la-viande) et une authentique tendresse qui opposait porte close aux sarcasmes baladeurs. Aujourd'hui, avec l'enthousiasme dont Rico est soulevé tout sourire, le couple vient de s'enrichir d'un nouveau partenaire — non pas pour un triolisme gluant de sudation, mais pour une de ces belles histoires garantes de souvenirs plein la tête. Rico, sacré garnement, vivement que tu t'attaques à Clérambard et Alexandre le Bienheureux !
Re: Vladimir Cosma
Et j'ai fini ma soirée sur Nous irons tous au paradis d'Yves Robert sur Arte, pour respirer un peu après l'éprouvante séance de l'après-midi. En attendant d'explorer le début de la collab Cosma Robert qu'on m'a si hautement conseillé, j'écoute la suite logique de l'éléphant après avoir vu l'un peu plus faible mais non dénué de qualité film. Du tout jazz-blues dans ce film ou le romantisme est plus absent. Et franchement ça passe mieux que je ne l'aurais crut. On a quand même des thèmes jazz bien construits, avec même un développement (miracle chez Cosma) et des musiques qui savent habiller des scènes de franche amitié comme d'humour pure. La reprise du thème de l'éléphant fait aussi plutôt plaisir. Pas de double discours ici, mais plus une honnête rigolade que Cosma partage avec nous assez généreusement.