Forrester a écrit : ↑lun. 21 août 2023 15:44
Les trois titres que tu cites sont des échecs au box office et composés par Giacchino qui n'a pas (encore) l'aura de Williams (et pareil, si le cd avait été appelé à perdurer, ils ressortiraient comme certains titres devenus aujourd'hui +/- obscurs qu'ont pu sortir varese ou intrada il y a qques années)....mais je me trompe peut-être. Après pour ma part, cet Indy, si je l'ai, tant mieux, sinon...
Lone ranger c'est Zimmer pas Giacchino
Et pour le coup le score était co-edité avec Intrada je crois. L'echec au BO est un facteur mais pas que surtout que ça doit se savoir que John Carter est le chef d'oeuvre de Giacchino et qu'un expanded lui rendrait justice en plus d'être (je pense) un succès dans notre communauté.
1. IJ5 EST un échec sévère au Box Office,
2. l'aura du compositeur, Disney s'en fout probablement autant que moi de mon premier Zimmer, et surtout
3. comparer avec des situations datant de quelques années ne me semble pas pertinent tant la tendance commerciale évolue, et qu'il s'agit de sous : Disney, ne voulant certainement pas raquer pour augmenter à haut prix son "stock" de re-use fee (droits d'orchestre reversés à l'AFM) doit le répartir sur les différents modes de consommation : quelques LP pour collectionneurs chics, rétrophiles, audiophiles ou néandertaliens (à vous de choisir), quelques CD pour les Don Quichotte de la galette argentée, et surtout, beaucoup beaucoup de quantité pour les téléchargements/copies digitales qui viennent compléter le streaming. Parce que c'est là que ça se passe : pour info, en 2020, le streaming représentait plus de 80% des revenus de la musique.
Bref, il faut surtout espérer qu'un label mobilisé comme Intrada cherche un accord (en se basant sur une édition plus complète), mais ça ne sera certainement pas possible avant quelques années pour des raisons de concurrence avec l'album numérique, si le CD existe encore. Enfin, allez savoir... Si Disney se dit qu'ils peuvent gagner un peu avec ça...
Affirmer, à propos de Yes, Giorgio, qu'il ne représente pas à proprement parler un centre névralgique dans la carrière de ses maîtres d'oeuvre, devrait faire autorité en matière d'euphémisme. Franklin Schaffner découvrait avec effarement les impitoyables années 80, qui marquèrent, comme ce fut le cas pour tant de pointures de l'ancien Hollywood, son arrêt de mort ; Luciano Pavarotti y faisait ses très sonores débuts de comédien en même temps que ses adieux sans aucun espoir de récidive au grand écran ; quant à John Williams, tout le monde, y compris ses thuriféraires acharnés, semble s'être mis d'accord pour reléguer sa (voluptueuse) musique sous les combles, recouverte d'une paire de vieux draps poussiéreux.
L'une des dernières interventions "youtubesques" de Rata, mettant en lumière l'opulente série de concerts Pavarotti and Friends sur laquelle Michael Kamen officia en tant que bon génie, a déclenché en moi l'envie de susciter ne serait-ce qu'un brin de curiosité envers Yes, Giorgio, à défaut de le gratifier d'une fracassante réhabilitation. Et quelle façon d'y parvenir plus habile que de céder la parole à son tandem de voix majuscules ? Entre les deux monstres sacrés, le respect et l'admiration sont palpables, et d'autant plus précieux qu'ils n'ont que rarement court lorsque la scène classique toise d'un oeil généralement condescendant son lointain rejeton de cinéma :
La direction d'UnderScores tient à présenter toutes ses excuses pour l'inopiné aparté de ce niquedouille de Van Cleef, hors de propos ainsi qu'à l'accoutumée. Ces fâcheuses entrefaites une bonne fois réglées, voici venir sans plus attendre la suite du grand feuilleton de l'été, Indiana Jones et la Malédiction du CD Perdu, dont chaque nouvel épisode, garanti sans une once d'additif musical, sait comme aucun autre show TV tenir son public en haleine !
Purée, si Disney avait acheté DC au lieu de Marvel, j'aurais juré que c'était une vente Flash ! Ceci étant ils vont peut-être remettre ça, tout est possible maintenant... Encore merci à Shardar pour l'alerte, et désolé pour les autres ! Je m'étais fait à l'idée comme il ne s'agit pas d'un indispensable, mais quand même...
Wow c'est allé vite ! Pour le coup, si je ne l'avais pas eu lors de la première fournée, je l'aurais eu mauvaise d'avoir loupé la conversation hier !
Sinon, Patrick, effectivement, pas besoin de s'inscrire pour pouvoir commander, il suffit de rentrer tes coordonnées, et ensuite une fois la commande passée, tu reçois un mail avec un lien pour pouvoir la suivre.