Sur un DVD officiel ?Harry a écrit :Mince je pensais qu'il s'agissait de quelque chose d'inédit.
J'ai ce documentaire sur DVD depuis belle lurette.
) fait des siennes sur la musique de Goldsmith, et là ce n'est plus le même film !
Non bien sûr, rien d'officiel.Bmcready a écrit :Sur un DVD officiel ?Harry a écrit :Mince je pensais qu'il s'agissait de quelque chose d'inédit.
J'ai ce documentaire sur DVD depuis belle lurette.
Parce qu'à part quelques bouts récupérés sur le net, c'est la première fois que je le vois dispo en intégralité.
Ah ok, tu me rassures. Ceci dit, si ce n'est pas une nouveauté pour toi, cela l'est pour moi (et peut-être d'autres ?) et c'est bien la première fois que je vois ce doc sur le net.Harry a écrit :Non bien sûr, rien d'officiel.Bmcready a écrit :Sur un DVD officiel ?Harry a écrit :Mince je pensais qu'il s'agissait de quelque chose d'inédit.
J'ai ce documentaire sur DVD depuis belle lurette.
Parce qu'à part quelques bouts récupérés sur le net, c'est la première fois que je le vois dispo en intégralité.
Il s'agit d'une copie à partir d'un enregistrement télé sur VHS. Mais j'ai l'intégralité de ce documentaire depuis les années 90.
Mais je suis gentil.Odelay a écrit :T'es gentil en disant que the Omen IV est une belle daube.
Je pense absolument tout le contraire de toiPatrickB a écrit :Un mot sur The Swarm, reçu et écouté depuis déjà qq temps, et qq autres.
En-dehors du thème principal qui est très bien, l'ensemble me parait pas mal, mais en –dessous de ce qu’on peut attendre d’un Goldsmith période en or.
Pourtant un ami très admirateur de Goldsmith m’avait prévenu : en disant que c’était le « pire » de ces qq années bénies, ou de cette année riche 1978.
Vous me direz, un Goldsmith mineur ou avec faiblesses, ça reste un Goldsmith qui soutiendrait bien la comparaison avec d'autres, et vous aurez raison.
Mais 2 CD pour cela, c’est un peu trop. Toujours cette manie des américains d’en faire toujours plus (Umberto Eco l’avait bien expliqué : pour eux, « more », c’est l’idéal, en tout).
En revanche, quelle jubilation et plaisir dans le double CD de The Mummy ! Grand spectacle, aventure, exotisme et mysticisme, un très agréable voyage.Jusqu'à revoir cette série B ? Pourquoi pas, 20 ans après...
Même Air Force One, avait été une bonne surprise, 1 ou 2 crans au-dessous, bien sûr. Sans revoir ce film comique, bien sûr.
Finissons par (achevons) U.S. Marchals : là, on descend carrément, très profond. Fonctionnelle, collant simplement à l’action, peu inspirée, la musique dans les extraits entendus ça et là et dans le film ne donnent pas du tout envie de prendre le CD. Incompréhensible frénésie de certains sur le forum de FSM… Goldsmith en pilote automatique. Mieux vaut oublier.
Je ne pense pas que cela soit un Goldsmith si faible que cela...... dans tous ses scores, il y a un angle d'attaque, une idée de comment utiliser l’orchestre. Ici, c'est le travail sur les cuivres qui impressionne avec ce "bourdonnement" reproduit par les musiciens. Pour le coup, bravo au pupitre des cuivres qui a vraiment assuré.PatrickB a écrit :Un mot sur The Swarm, reçu et écouté depuis déjà qq temps, et qq autres.
En-dehors du thème principal qui est très bien, l'ensemble me parait pas mal, mais en –dessous de ce qu’on peut attendre d’un Goldsmith période en or.
Pourtant un ami très admirateur de Goldsmith m’avait prévenu : en disant que c’était le « pire » de ces qq années bénies, ou de cette année riche 1978.
Vous me direz, un Goldsmith mineur ou avec faiblesses, ça reste un Goldsmith qui soutiendrait bien la comparaison avec d'autres, et vous aurez raison.
Mais 2 CD pour cela, c’est un peu trop. Toujours cette manie des américains d’en faire toujours plus (Umberto Eco l’avait bien expliqué : pour eux, « more », c’est l’idéal, en tout).
Comme on dit : totaly agree !PatrickB a écrit :En revanche, quelle jubilation et plaisir dans le double CD de The Mummy ! Grand spectacle, aventure, exotisme et mysticisme, un très agréable voyage.Jusqu'à revoir cette série B ? Pourquoi pas, 20 ans après...
Même Air Force One, avait été une bonne surprise, 1 ou 2 crans au-dessous, bien sûr. Sans revoir ce film comique, bien sûr.
Comme dit précédemment pour The Swarm, il y a une approche, un point de vue. Ici, pas de thème à proprement parlé mais plutôt un motif d'alerte qui évoque une forme d'urgence, et que Goldsmith décline tout le long du film aidé en cela par les cuivres, les percussions et les synthés. Certainement pas le score du siècle, mais du travailles ultra pro qui hisse le film au-delà de la simple série B.PatrickB a écrit :Finissons par (achevons) U.S. Marchals : là, on descend carrément, très profond. Fonctionnelle, collant simplement à l’action, peu inspirée, la musique dans les extraits entendus ça et là et dans le film ne donnent pas du tout envie de prendre le CD. Incompréhensible frénésie de certains sur le forum de FSM… Goldsmith en pilote automatique. Mieux vaut oublier.
Sur tout ? Enfin, c'est inespéré.lonely wolf a écrit : Je pense absolument tout le contraire de toi
Chez certains hurluberlus de périlleuse fréquentation, l'estime semble même avoir tourné à la dévotion spumescente.Dadid a écrit :J'aime beaucoup THE SMARM
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Pareil, et j'en reparle brièvement bientôt (si c'est pas du teasing, ça !)Obiwan71 a écrit : Pour revenir à The Swarm, je rejoins le camp de ceux qui adorent cette partition, toute furieuse dans l'action et diablement efficace (sans parler du thème final fort bien troussé).
Raaaaaggghh ! Merci Lee, c'est corrigé - mais ton message, hélas pour moi, inscrira cette triste coquille dans l'éternité.Lee Van Cleef a écrit :Chez certains hurluberlus de périlleuse fréquentation, l'estime semble même avoir tourné à la dévotion spumescente.Dadid a écrit :J'aime beaucoup THE SMARM
A la fin des années 80, si l'on en juge par les titres qu'égrène ce documentaire, les classiques dont la carrière de maître Jerry fourmille étaient déjà aussi inexpugnables qu'ils le sont aujourd'hui — et le demeureront pour le restant de l'éternité. Planet of the Apes, Chinatown, First Blood, The Omen, Patton... Les candides bourrés d'optimisme qui espéraient que s'immisceraient au sein des réjouissances un Inchon paradant au pas de l'oie ou un Flint pétillant de bulles évanescentes s'en trouvent donc Gros-Jean comme devant ! Néanmoins, pour une fois que les mots sacrés tombant des lèvres de notre suzerain à tous bénéficient de sous-titres français, hors de question de faire la fine bouche, gentlemen. Son intarissable curiosité à l'endroit de l'électronique y tient le rôle d'un fil d'Ariane déroulé avec enthousiasme, et le privilège divin nous est même donné de le voir joindre le geste à la parole au cours des sessions d'enregistrement de Lionheart, où s'active le très (trop) décrié Hungarian State Symphony Orchestra — que le diablotin écarlate et son compère Rafik, les joyeux duettistes de Total Trax, ne cessent de confondre avec un Graunke Symphony Orchestra (allemand, celui-là, et non hongrois) d'infiniment plus flatteuse réputation. Voilà un visionnage recommandé avec chaleur.Bmcready a écrit :Un autre documentaire sur le Maestro vient de refaire surface sur la toile, produit et diffusé par la RTBF en 1987 : Cinemusic Jerry Goldsmith
Enjoy !
Non, on ne confond rien du tout : le Graunke Symphony Orchestra de Munich était effectivement très réputé dans les années 60 et 70, ayant enregistré entre autres les scores de Rozsa pour El Cid et Goldsmith pour The Wind and the Lion. Mais les années 80 ont été difficiles pour eux (je pense à leur horrible performance pour The Sword and the Sorcerer, entre autres) et ils ont atteint un point de non retour avec le départ de Kurt Graunke en 1989, qui avait fondé l'orchestre en 1945. C'est avec le Graunke que Goldsmith a tenté d'enregistrer Total Recall, le résultat étant tellement horrible (ce n'est pas moi qui le dit, c'est Bruce Botnick) que la production s'est relocalisée à Londres après avoir passé trois jours à Munich avec l'orchestre pour n'enregistrer au final qu'une seule et unique piste. Leur réputation était tellement égratignée qu'ils ont changé de nom l'année suivante...Lee Van Cleef a écrit :Lionheart, où s'active le très (trop) décrié Hungarian State Symphony Orchestra — que le diablotin écarlate et son compère Rafik, les joyeux duettistes de Total Trax, ne cessent de confondre avec un Graunke Symphony Orchestra (allemand, celui-là, et non hongrois) d'infiniment plus flatteuse réputation. Voilà un visionnage recommandé avec chaleur.
Ils seraient bien avisé de nous livrer Le Roi des rois avant. Parce que là ils exagèrent quand même un peu. Depuis novembre 2017 ou j'ai payé 110 euros. C'est à cause d'eux que j'ai hésité pour finalement donner que le minimum sur le Tiomkin d'Intrada qui lui est déjà arrivé.Scorebob a écrit :Ah si Tadlow se mettait en tête de réparer l'outrage fait a The Sword and the sorcerer nous en serions reconnaissants, et pourquoi pas dans la foulée une petite reprise de Lionheart?
Oui, et pour compliquer les choses le Grauke a été rebaptisé Münchner Symphoniker (Munich Symphony Orchestra) en 90, source peut-être de la confusion.Hellboy a écrit : Non, on ne confond rien du tout : le Graunke Symphony Orchestra de Munich était effectivement très réputé dans les années 60 et 70, ayant enregistré entre autres les scores de Rozsa pour El Cid et Goldsmith pour The Wind and the Lion. Mais les années 80 ont été difficiles pour eux (je pense à leur horrible performance pour The Sword and the Sorcerer, entre autres) et ils ont atteint un point de non retour avec le départ de Kurt Graunke en 1989, qui avait fondé l'orchestre en 1945. C'est avec le Graunke que Goldsmith a tenté d'enregistrer Total Recall, le résultat étant tellement horrible (ce n'est pas moi qui le dit, c'est Bruce Botnick) que la production s'est relocalisée à Londres après avoir passé trois jours à Munich avec l'orchestre pour n'enregistrer au final qu'une seule et unique piste. Leur réputation était tellement égratignée qu'ils ont changé de nom l'année suivante...
