Génial pour The River ! Le Totaltrax sur Williams m'avait déjà donné envie de réécouter l'album original mais je n'ai toujours pas pris le temps de me le repasser. Je crois que c'est le moment, pour patienter du coup !
Très joli score en tout cas, très curieux d'entendre la version complète !
Vu - et beaucoup aimé - le film, une histoire rude où Spacek et Gibson sont formidables. Très bon souvenir. J'ai le vinyle, un Williams que j'aime vraiment énormément ! Impossible de me souvenir s'il manque beaucoup de musique, c'est trop loin tout ça. En l'état l'album original est excellent. Je vais donc attendre d'en savoir un peu plus pour passer à la version CD.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Misquamacus a écrit :Vu - et beaucoup aimé - le film, une histoire rude où Spacek et Gibson sont formidables. Très bon souvenir. J'ai le vinyle, un Williams que j'aime vraiment énormément ! Impossible de me souvenir s'il manque beaucoup de musique, c'est trop loin tout ça. En l'état l'album original est excellent. Je vais donc attendre d'en savoir un peu plus pour passer à la version CD.
Oui la film est chouette dans son genre, et les versions films sont parfois (toutes ?) un peu différentes. En plus des deux versions, comme il y aura semble-t-il des musiques qui ne sont pas dans le film, ça laisse de quoi savourer je pense.
Décidément, un jour tu l'as un autre tu ne l'as plus , vivement les tests généralisés (et fiables) pour être au moins savoir à quoi s'en tenir, j' hésite reprendre les transports en commun (même avec un masque) si je n'ai pas déjà chopé la saleté de virus et surtout si je n'ai pas été contaminé.
Yep ! Et la qualité du son est excellente, très détaillée, j'adore !
Très déçu par la tracklist du CD publiée sur JWFan par contre, n'ayant pas de lecteur Blu-ray, j'espérais vraiment un double-cd avec l'intégralité du concert en audio...
À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-chose, et pourtant, nous jouissons d’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »