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"Black Spider"?!!
édition cd??? où ça?
Ah ouais. D'autant que l'animal m'avait promis de m'envoyer des extraits rarissimes d'une compil CAM contenant des extraits de Piccole Labbra, un autre bijou de Cipriani encore jamais édité. Je sais d'ailleurs pas où il a dégotté un tel enregistrement, le disque n'est même pas référencé. Mais bon depuis le temps que l'ami Rodolphe ne vient plus trainer ses guêtres sur underscores, je crois que je peux faire une croix dessus.Lee Van Cleef a écrit :Ma parole, tes joutes "ciprianiennes" pour le moins homériques avec l'obstiné Rodolphe semblent te manquer !
Le score est sorti chez GDM couplé avec le plus dispensable Il richiamo del lupo. Quand au film, le DVD René Château est dispo facilement pour moins de dix euros.Julien a écrit :Ah Le Mataf, je l'ai encore jamais vu. Encore une rareté !
Tu dois vouloir parler de cette édition-là, j'imagine. Du Cipriani au menu, mais aussi une petite ribambelle d'autres choses qui ne me semblent absolument pas inintéressantes. Néanmoins, comme tu le faisais remarquer avec une pointe de découragement, seule l'intervention inopinée de la Providence pourrait mettre ce vinyle, épuisé depuis belle lurette, sur le chemin du béophile farfouilleur.Julien a écrit :Je sais d'ailleurs pas où il a dégotté un tel enregistrement, le disque n'est même pas référencé.
Dommage que l'interview du Maestro, apparemment issue des tiroirs de l'éditeur vidéo Blue Underground, consiste surtout en un bout-à-bout maladroitement couturé de réponses embryonnaires. Si Morricone avait réellement quelque chose d'intéressant à dire au sujet de sa ténébreuse musique (rarement les cordes auront si impitoyablement cisaillé mon système nerveux), il n'en subsiste plus grand-chose... Cipriani, pour sa part, est logé à plus confortable enseigne. On le voit longtemps s'épandre sur ses débuts dans l'industrie, confesser une admiration éperdue pour Dimitri Tiomkin qui l'aurait influencé de façon décisive (sur ce point quelque peu surprenant, on n'est pas obligé de faire à l'ami Stelvio une confiance aveugle) et revenir sur une brouette de scores testostéronés grâce auxquels il s'est vu sacrer roi du poliziottesco. Il est vrai que son fameux et récurrent ostinato, signature reconnaissable entre mille, a imprimé sur les tympans des amateurs du cinéma populaire européen des traces aussi indélébiles que celles provoquées par les coups de flingue des vigilantes sûrs de leur bon droit, des flics jusqu'au-boutistes et de la racaille anarchiste.Rodolphe738 a écrit :Voici un documentaire très intéressant sur Stelvio Cipriani avec en bonus une petite interview d’Ennio Morricone et Alberto de Martino revenant sur leurs collaborations (L'Antéchrist )
Enjoy !
Comme le sont d'ailleurs à peu près tous les autres titres transalpins des années fastes, que ce soit chez Kronos ou dans la devanture de n'importe quel autre label spécialisé en partoches all'italiana. Cela dit, maintenant que j'y réfléchis, je me rends compte que ces albums atteignaient il y a encore trois ou quatre ans la plus confortable barre des 500 unités. Le petit cercle des amateurs incorruptibles de Cinecittà aurait-il perdu quelques ouailles ?Mortimer a écrit :Il reste d’autres titres chez Kronos que je devrais me prendre avant qu’ils ne disparaissent aussi. La plupart de ces titres étant limités à 300 exemplaires.