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Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 18 févr. 2019 13:49
par Krull
Pour info, une campagne de financement participatif a été lancée par l'éditeur vidéo Sidonis pour une ptite collection Ray Harryhausen en DVD et/ou blu-ray :)

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 18 févr. 2019 17:58
par Rork
C'est vrai qu'ils ont l'air de très beaux coffrets. Mais alors, le score isolé mentionné sur l'édition UK sold out dans un autre sujet, ils l'ont repris ou bien?

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 18 févr. 2019 18:04
par Starfe
A priori non, c'est mentionné nulle part.

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 18 févr. 2019 18:10
par Starfe
Et pour compléter l'info, dans les 2 autres coffrets Harryhausen/Powerhouse-Indicator, il y a les scores isolés de 3 Worlds of Gulliver et Mysterious Island d'Herrmann et de First Men in the Moon de Laurie Johnson.

https://www.powerhousefilms.co.uk/colle ... 55-1960-le

https://www.powerhousefilms.co.uk/colle ... 61-1964-le

Re: Achats Blu-ray

Publié : dim. 26 mai 2019 18:44
par Lee Van Cleef
Plus d'un a dû s'en trouver désarçonné à l'époque. Le cauchemar viscéral et traumatisant, infesté des remugles de la viande morte, qui avait fait office pour Tobe Hooper de rampe de lancement vers le panthéon du cinéma d'horreur, s'était mué douze ans plus tard en train fantôme braillard, véritable manifeste des eighties peinturlurées. Mais est-ce bien là une raison suffisante pour bouder The Texas Chainsaw Massacre 2 ? Pas le moins du monde, nom d'un katana ventousé à une chaîne de tronçonneuse ! Jouant toutes turbines hurlantes la carte de l'outrance, Hooper pousse ses comédiens dans d'hystériques retranchements, ne se fait pas prier pour autoriser Tom Savini à justifier en s'esclaffant son titre de "King of Splatter" et balance sa caméra dans les fabuleux décors souterrains d'un parc d'attraction livré aux herbes folles. Impossible de trouver le temps long face à ce déluge de ravigotante folie ! Moult remerciades, donc, au Chat qui Fume, cousin déluré de notre DarkCat, sous l'égide duquel cette bien belle édition d'une oeuvre mal-aimée rutile de mille feux électriques.

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 19 sept. 2019 19:03
par Lee Van Cleef
Là où les géants inlassablement célébrés que sont Kurosawa, Ozu et Mizoguchi n'avaient pas grande raison de crier à la maltraitance, Mikio Naruse, le quatrième homme du cinéma japonais dit non sans pédanterie "noble", devait jusqu'à présent se contenter comme d'un os à ronger du (très beau, tout de même) coffret délivré douze ans plus tôt par Wild Side. Heureusement, un autre seigneur de longue date dans le petit monde malmené mais résistant toujours de l'édition vidéo française, en l'occurrence Carlotta, a sonné il n'y a guère longtemps la fin des vaches maigres. Cinq films, et pas des moindres, voisinent en toute harmonie au sein d'un joli étui prêt à éblouir une fois encore les zélateurs du maître, ou à frapper de la divine illumination le front des novices attendant, sans le savoir peut-être, d'être convertis. Cinq admirables réussites, dont au moins deux sommets absolus, et un tourbillon de sentiments douloureux, de femmes tourmentées par les vicissitudes d'un amour qui sans cesse échappe à leurs mains tremblantes, de pudeur infinie révélant une sensibilité profondément japonaise et conchiant avec une élégance sans pareille (non, il n'y a rien là d'antinomique) le gros mélo pâteux. Jeunes gens, il n'est pas trop tard pour vous laisser ensorceler à votre tour.

Re: Achats Blu-ray

Publié : ven. 6 déc. 2019 20:10
par Lee Van Cleef
maintenant que HK Video semble avoir rendu les armes pour de bon, les joyeux loufoques de Spectrum sont seuls au garde-à-vous pour rassasier notre fringale de joyaux azimutés en provenance d'Extrême-Orient. Bien que résolument moderne, l'éditeur ne garde jamais longtemps son oeil loin du rétroviseur et fait régulièrement provision parmi les étals foutraques du cinéma hongkongais, au temps révolu de sa splendeur. Ainsi, Dian Zhi Bing Bing (Cops and Robbers), le premier film d'Alex Cheung tourné au couchant des seventies, demeure l'un des petits classiques qui contribuèrent, pierre après pierre, à bâtir le caractère outrancier et cosmopolite d'un cinéma policier qui se cherchait encore. Cette période de gestation passionnante, qui prit fin lorsque John Woo pulvérisa à grands crachats de flingue le box-office local, recèle moult audaces, témoin l'humeur buissonnière de Dian Zhi Bing Bing. Tour à tour chronique flicarde chaleureuse, fait divers sordide ou récit d'apprentissage tant cocasse qu'âpre, il lui arrive, submergé par sa propre prodigalité, d'accuser quelques légères pertes de vitesse. Mais il ménage en contrepartie une poignée de scènes choc, dont un final sidérant qui pousse tous les curseurs dans la zone rouge, titillant même le grotesque d'un slasher bas de gamme avec un extraordinaire aplomb. Dommage que la copie proposée, pas épargnée par les affres du temps, ne justifie à aucun moment le recours au Blu-ray.

Re: Achats Blu-ray

Publié : mer. 18 déc. 2019 22:49
par Karev
Petite question, vous êtes au courant de l'histoire des Blu Ray defectueux ? Plus de 300 titres complètement morts (surtout entre 2008 et 2011 chez Pathé, Wild Side et M6), la longue et triste liste ici :

http://bluraydefectueux.com/liste-des-b ... efectueux/

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 23 déc. 2019 19:25
par Lee Van Cleef
Ouaip, je l'ai ouï dire. Aurais-je l'audace de me déclarer surpris jusqu'aux tréfonds de l'être ? Par les temps qui courent, tout est calibré, programmé, mesuré, expédié, saboté sans aucun état d'âme, afin que rien de ce que fabriquent les mains de l'homme ne perdure au-delà d'un temps voulu exagérément bref. "C'est la marche du progrès", en déduira-t-on, un tantinet cynique sur la tranche, en haussant les épaules. Ce qui, pourtant, ne me dissuadera pas même une seconde de me jeter l'écume aux lèvres sur les derniers Blu-ray, trésors en puissance, parus sous l'égide d'Elephant Films : une salve entière de pinku eiga, ou "roman porno", appellation quelque peu trompeuse désignant les films érotiques japonais qui, à eux seuls, sauvèrent la Nikkatsu de la banqueroute au cours des seventies. Des grands noms de ce genre bien plus passionnant que les polissonneries de basse extraction se pressent au menu concocté par l'éditeur, tels que Tatsumi Kumashiro, Noboru Tanaka, Masaru Konuma... et même Sono Sion et Hideo Nakata, embringués de bon coeur dans le récent revival d'un cinéma rose tombé en catalepsie à la fin des années 80. Bref, il y a amplement là de quoi dérider le cuir parcheminé du larfeuille !

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 5 mars 2020 13:37
par Scorebob
Alors mon dernier achat c'est ça:



Une Madelaine de Proust , le film est assez raté dans l'ensemble mais je ne peux m'empêcher d'être indulgent en le regardant entre autres grâce au score Dantesque du regretté James Horner et du "Glaive".

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 26 mars 2020 19:07
par walter
Karev a écrit :Petite question, vous êtes au courant de l'histoire des Blu Ray defectueux ? Plus de 300 titres complètement morts (surtout entre 2008 et 2011 chez Pathé, Wild Side et M6), la longue et triste liste ici :

http://bluraydefectueux.com/liste-des-b ... efectueux/
Bien triste découverte ! Je suis entrain de découvrir que j'en possède !

Re: Achats Blu-ray

Publié : mar. 28 avr. 2020 16:29
par Scorebob
Je suis adepte de la 3D et dans le genre celui qui en use avec le plus de maestria c'est Tsui Hark , le dernier opus du Detective Dee est une tuerie visuellement bien supérieur au niveau 3d a l'Avatar de Cameron.
Le côté "fantastique" est plus présent dans cet épisode ce qui nous vaut des effets particulièrement jouissifs au milieu des joutes virevoltantes habituelles de sabres et autres gadgets mortifères.

https://www.ebay.fr/itm/Detective-Dee-U ... Swf-VWYc5L

Re: Achats Blu-ray

Publié : ven. 19 juin 2020 10:11
par Jimbo
Mon coffret Blu-ray Retour vers le futur de 2010 ne passait plus sur mon ancien lecteur Sony. Pensant que c'était un défaut du lecteur, j'ai racheté un lecteur haut-de-gamme Oppo il y a quelques années, et les disques repassaient parfaitement. Mais là, grâce à la liste de Blu-ray défectueux, je viens de découvrir que ce coffret est sur la liste...

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 13 août 2020 18:30
par Lee Van Cleef
Si je connais (et apprécie beaucoup) Cabal, le premier roman de Clive Barker, où la fascination de celui-ci pour les ailleurs ineffables et peuplés d'êtres aussi fascinants qu'horrifiants éclate déjà avec superbe, je suis longtemps resté bien moins familier du film qu'en avait tiré le même Barker. Tout au mieux étais-je parvenu à saisir au vol quelques tronçons de scènes, à l'ère antédiluvienne des Jeudis de l'angoisse sur M6 — c'est vous dire, gentlemen effarés ! La récente parution chez ESC du fameux montage revisité et densifié par l'auteur en personne m'ayant privé du dernier faux-fuyant derrière lequel me réfugier, j'ai donc sauté finalement le pas... pour ma plus térébrante déception.

Ainsi, voilà à quoi ressemble le film devenu culte auprès de hordes entières de fantasticophiles ? L'absolue fidélité qu'il témoigne à son modèle littéraire eût pu être un gage de qualité, elle n'est hélas que broutille et cache-misère face à la mise en scène constamment étriquée d'un Barker bien plus à l'aise, pinceau gras de peinture ou stylo décapuchonné en main, que l'oeil rivé à l'objectif de la caméra. Claquemuré dans le cadre exigu d'un 1.78 on ne peut plus télévisuel, incapable de mettre le feu aux poudres si ce n'est à l'occasion d'un climax hamburger et foutraque, dépossédé de l'envoûtante poésie de son écriture, l'artiste en pleine déconfiture en est réduit à s'accrocher comme il peut aux branches que lui tendent une ambitieuse direction artistique, tout en boyaux souterrains éclaboussés d'une nitescence infernale, et la musique d'un Danny Elfman alors au firmament de sa logorrhée baroque. C'est fichtrement peu pour soustraire Nightbreed à son propre délitement. Voilà ce qui s'appelle, hélas, un rendez-vous manqué.

Re: Achats Blu-ray

Publié : mar. 3 nov. 2020 20:26
par Lee Van Cleef
Le cinéma fantastique a vu passer d'un train de sénateur un certain nombre de majordomes habités par le démon, pas assez sans doute pour représenter un sous-genre à part entière, mais suffisamment malgré tout pour laisser à nos mémoires quelques marques au fer rouge. Il se trouve que je viens de renouer avec deux d'entre eux de manière tout à fait fortuite, alors que je passais un coup de plumeau attendri sur la poussière opacifiant mes antiques années VHS. Dans l'excellentissime Lisa e il Diavolo, ultime virée de Mario Bava dans les venelles serpentines d'une épouvante désuète, le maître de maison arbore les traits patelins et le crâne luisant de Telly Savalas. Loin de l'anomalie de casting que les cinéphiles de peu de foi eussent pu redouter, l'acteur impose ce personnage-clef avec une délectation pas du tout feinte, tire une à une les ficelles d'un imbroglio romantico-macabre sans jamais en avoir l'air et, luxe suprême, gobe les premières d'une longue série de sucettes qui l'aidèrent peu après à faire de Kojak un succès. Carton plein pour le chauve débonnaire.

L'autre larbin endimanché cultive, pour sa part, un style radicalement différent. Ils sont légion, ceux qui se souviennent en frissonnant de la forme d'épouvantail au coeur des plus "trauma-tisantes" séquences de Burnt Offerings. Casquette noire digne d'une engeance SS, plantée au-dessus d'impénétrables lunettes pareillement noires, lesquelles surplombent un sourire tel que ne sont capables d'en engendrer que les plus odieux cauchemars : notre homme à tout faire se contente de passer, étrange et spectral, dans le film de Dan Curtis, mais il a su tirer étincelant profit de ce temps de présence excessivement bref et devenir ainsi une silhouette adulée aux quatre coins des terres du fantastique — le génial Megalopolis de Rintaro l'atteste éloquemment.

Bref, les retrouvailles avec ces deux Méphistophélès en livrée ont été fort sympathiques. Tout le plaisir qui en découlait a d'ailleurs presque (j'ai dit presque !) réussi à refouler à l'arrière-plan les pénalisantes carences des Blu-ray Rimini, aux petits soins sur le plan éditorial mais sans pitié pour les noirs profonds de Lisa e il Diavolo, purement et simplement flingués, comme pour les halos moelleux de la photo de Burnt Offerings, rivale crédible du Obsession de Vilmos Zsigmond, mais transformée ici en coton flou au creux duquel Oliver Reed, Karen Black et les autres doivent tant bien que mal s'accommoder du syndrome de la peau d'orange. Au lieu de consommer français, j'aurais mieux fait de musarder du côté d'Arrow, tiens...

Re: Achats Blu-ray

Publié : ven. 23 avr. 2021 19:07
par Lee Van Cleef
Pourquoi ? Qu'est-ce ? Comment ? J'ignore totalement ce qui a bien pu pousser un grand amateur tel que moi du cinéma de John Carpenter à différer pendant tellement d'éons ma découverte de They Live. Mystère et bubblegum — hé-hé-hé. Toujours est-il qu'après m'être admonesté sans prendre de gants ("Oh, t'abuses là, il paraît quand même que dans ce film, Big John défonce le reaganisme titubant avec une férocité orgasmique ! Alors kess' t'attends ?"), j'ai finalement mis à profit le week-end dernier pour sauter enfin le pas. Depuis, je me demande si je ne dois pas à une forme souterraine de prescience ces tergiversations interminables mais, tout bien pesé, salvatrices... Oui, la rébellion prolo que met en scène Carpenter présente quelque chose de réjouissant, à nos yeux torpides d'insectes non-essentiels. Okay, le moment où Roddy "Rowdy" Piper chausse les fameuses lunettes, dévoilant l'envers gris anthracite et aliénant d'un décor on ne peut plus familier, est un gros morceau de satire "hénaurme". Bien sûr, le Scope aux petits oignons, baigné par la superbe lumière du fidèle Gary Kibbe, fait grand honneur à la sensibilité classique de son réalisateur.

Sauf qu'il me faut bien l'avouer, tout marri que j'en suis : They Live est un machin con comme la lune ! Passé une mise en place efficace et sobre, au tendre parfum de western concassé entre les gratte-ciel, les deux malabars avachis du bulbe aux basques desquels le film colle ne font rien qu'à enfoncer le récit dans les abysses de la série B au petit pied, jusqu'au je-m'en-foutisme pas le moins du monde masqué d'un dénouement à des années-lumière de rivaliser avec les plus belles fins conçues par Carpenter. Nonobstant peut-être le tout dernier plan, qui a extorqué le rire graveleux que vous devriez sans mal imaginer de la part du vieux Van Cleef... Bref, c'est une déception. Et des plus maousses.

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 8 juil. 2021 19:24
par DarkCat
Je veux faire découvrir le film "Cabal" (putain, j'ADORE ce film !!! [love] ) et comme je n'ai qu'une VHS prise à la TV, j'ai regardé s'il était enfin sorti dans une édition française. Et là, joie, je découvre une édition combo DVD/Blu-ray. Je viens donc de la commander.
Pour ceux qui l'ont déjà, est-ce une bonne version ? La "Director's cut" vaut-elle le coup, par rapport à la version cinéma ?

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 8 juil. 2021 21:41
par Lee Van Cleef
Tu devrais t'en aller trottiner une poignée de posts plus haut, le chat du Cheshire. J'ai ouï-dire qu'un irascible birbe y faisait rien qu'à éructer des trucs pas bien sympathiques à propos du film de Barker...

Re: Achats Blu-ray

Publié : jeu. 8 juil. 2021 22:08
par Krull
T’inquiète DarkCat et n'écoute pas trop le Vieux Grincheux : perso j’ai redécouvert le film avec cette très belle édition 8-)

Re: Achats Blu-ray

Publié : ven. 9 juil. 2021 19:12
par DarkCat
Je ne m'en fais pas, car je sais bien que le vieux fossile, en amoureux défenseur de la "Soupe aux choux", n'a pas le recul nécessaire pour juger sereinement ce "Cabal". 8-)
Krull, ton commentaire sur cette édition me donne encore plus envie de revoir le film. ;)

Re: Achats Blu-ray

Publié : ven. 9 juil. 2021 19:14
par DarkCat
Au fait, savez-vous si la version longue de "Watchmen" existe en DVD (un double DVD plutôt) ? En effet, je ne la trouve qu'en blu-ray. Peut-être un combo DVD/blu-ray ? J'en doute pourtant, n'ayant rien trouvé...

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 12 juil. 2021 02:38
par DarkCat
Ça y est ! J'ai enfin vu le director's cut de "Cabal". J'étais déjà fan du film dans sa version cinéma, mais ce nouveau montage lui est évidemment supérieur, puisqu'il corrige les coupes, souvent aberrantes, opérées par le studio.
Oui, le film a un peu vieilli, notamment dans sa première partie, mais certaines séquences fonctionnent toujours parfaitement (Lori parcourant le sous-sol de Midian à la recherche de Boone, Cronenberg en psy, etc.). Au final, plus qu'un film d'horreur (concept sur lequel il fut vendu), c'est pour moi un véritable conte initiatique qui m'a fait rêver ado et qui me fait encore rêver adulte. [love]
Dommage que Barker n'ait pas pu faire la trilogie qu'il espérait. :-C
N'oublions pas la puissance, la sauvagerie, la douceur et la magie du score de Danny Elfman ! Si elle évoque parfois des musiques passées ou à venir du rouquin, cette B.O. n'en reste pas moins un pur joyaux.

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 12 juil. 2021 10:02
par Sam Lowry
Ah merci Darky !
Je me souviens, à sa sortie en salle, que je m'étais précipité dessus (pour la musique d'Elfman) et j'avais découvert un grand film malade, complètement barré mais contenant quelques séquences assez superbes. Nous étions 3, en tout, dans la salle. NIGHTBREED (CABAL, pas fan du titre français) n'avait pas tenu une semaine à l'affiche. Pourtant, c'est nettement mieux que HELLRAISER ! Pas impossible que je me le prenne ce Blu-Ray.

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 12 juil. 2021 10:38
par Scorebob
Perso j'ai été surpris d'y voir Cronenberg en sérial Killer... Pas tellement en fait :lol:

Re: Achats Blu-ray

Publié : lun. 16 août 2021 11:39
par Sam Lowry
Image Image

Ces deux "merveilles" viennent d'atterrir dans ma boite aux lettres......
Terreur Extra-Terrestre, avec Jack Palance s'il vous plait, est un film que j'ai vu aux premières heures de la 5 je crois..........
Les Monstres de la Mer n'est rien d'autre que... Humanoids from the Deep (avec musique de James Horner)....
2 immenses nanars apparemment (je n'ai jamais vu le second) mais je garde un "bon souvenir" du premier.
8-)